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14 septembre 2008 7 14 /09 /septembre /2008 15:48

Verrouiller l'espace pour l'exploiter, voilà le dessein du Pentagone et de la Nasa dont on apprend dans l'article ci-dessous qu'Halliburton collabore aux actuels et futurs plan d'hégémonie spatiale. ON comprend mieux pourquoi Cheney est très impliqué à pousser Bush aux divers conflits mondiaux.

Ils ont donc l'intention de lancer plusieurs missions robotisées chargées de déposer des modules d’habitation à la surface de la Planète rouge. Ces modules emporteront, entre autres deux centrales nucléaires. Ce projet se nomme Prométhée. Tout un symbole quand on sait que ce "dieu" vola le feu -à savoir la Connaissance- pour la donner aux hommes. Mais comme ce sont des machiavéliques, le symbole est à prendre à l'envers. A savoir qu'eux veulent voler la Connaissance pour ne jamais la donner à l'Humanité afin de continuer à l'exploiter et à la dominer. Car le but ultime de cette grande machination est d'y installer « Des réacteurs de grande taille  permettraient de fournir les mégawatts nécessaires à l’alimentation des lasers, des faisceaux de particules neutres, des accélérateurs électromagnétiques ou des canons à rails installés dans l’espace» Ils veulent tout simplement nucléariser l'espace pour au moins 3 raisons :

1 - L’appropriation des différents corps célestes, et donc le contrôle
exercé tant sur leurs ressources que sur les profits...

2 - L’industrie aérospatiale finance déjà de manière importante des organisations comme United Societies in Space, qui ont entrepris de réformer les dispositions du droit de l’espace interdisant à tout individu, entreprise ou pays de réclamer un droit de propriété sur tout ou partie d’un objet planétaire.

3 - Sous prétexte de conquérir l'espace, doter les Etats-Unis d’une défense antimissile capable de protéger le pays contre les « Etats voyous » – s’éclaire à la lumière des projets d’exploitation de l’espace. Le développement d’une technologie offensive permettant aux Etats-Unis de « contrôler et dominer l’espace ».

Je vous conseille d'aller lire le document en PDF en anglais qui explique ce plan

http://www.fas.org/spp/military/docops/usspac/visbook.pdf

Ainsi qu'ici

http://web.archive.org/web/20050826050752/http://wslfweb.org/docs/Final+06+SMP--Signed!v1.pdf

 et là

http://web.archive.org/web/20050425102222/http://wslfweb.org/docs/SBLWP.pdf

pour apprendre qu'ils sont en train de travailler sur un gigantesque Laser destructeur de missiles -en coopération avec Israel- qui doit déjà être bien au point car nul doute que le dernier satellite qu'ils ont détruit devait être un test du fameux Laser... et d'autre part, ils disent avoir détruit des roquettes katiouchas qui, à ce que l'on sache ne sont pas projetées aux Etats-Unis, avec un système laser.

Vous verrez les dessins explicites montrant qu'ils ont l'intention de régner en maître sur la terre, sur la mer, dans les airs et dans l'espace... et après on traitera de conspirationnistes ceux qui disent que des Maîtres du Monde veulent s'emparer de notre planète. Malheureusement, des autres planètes aussi. Ce qui, bien évidemment n'ira pas sans quelques problèmes. Car il est bien évident que d'autres pays comme la Russie ou l'Europe ont aussi des visées spatiales mais les sataniques US sont en train de concocter une loi visant à interdire l'espace à tous les autres. Ceci nous ramène au temps de Christophe Colomb dont le pays revendiquait le "Nouveau Monde", on sait que d'autres nations ne l'ont pas entendu de cette oreille, seulement elles n'avaient pas les mêmes moyens destructeurs qu'aujourd'hui.

La seule chose positive, si l'on puit dire, c'est qu'il se donne jusqu'à 2020 pour mener à bien leur conquête multidimensionnelle. Notre planète Terre ne va pas attendre leur bon vouloir et mettra tout en branle pour que la Catastrophe se produise avant...


Verrouiller l'espace pour l'exploiter


par Bruce K. Gagnon

Coordinateur du Global Network Against Nuclear Power and Weapons in Space (GN), réseau de lutte contre la militarisation et la nucléarisation de l’espace, Brunswick, Etats-Unis.


La NASA finira-t-elle par découvrir des traces de vie sur Mars ? Eternelle question. Mais que ces traces existent ou non, le résultat pour l’industrie aérospatiale est le même : l’exploration de ce nouvel eldorado lui offre une grande bouffée d’oxygène et une véritable manne financière.

Toute une série de missions vers Mars ont déjà été programmées. Du minivéhicule motorisé Pathfinder, qui a permis d’arpenter la surface martienne en 1997, à la navette spatiale Global Surveyor qui tourne en orbite autour de la planète depuis 1999 pour la cartographier, sans oublier les deux robots mobiles – ou « rovers » – alimentés au plutonium et envoyés en 2003, la course vers Mars est engagée.

Lancé le 3 janvier 1999, l’atterrisseur Mars Polar Lander a brusquement cessé de donner signe de vie en approchant du sol de la planète. L’engin, réalisé par Lockheed Martin, avait pour mission de poursuivre la cartographie et l’analyse de la surface martienne. L’agence de presse UPI a révélé, le 21 mars 2000, que les tests entrepris sur les rétrofusées lors de la phase de développement s’étaient révélés négatifs. Mais, plutôt que d’en revoir la conception – entreprise toujours longue et coûteuse –, un responsable de la société avait préféré alléger les critères d’essais pour que les moteurs puissent être déclarés « bons pour le service ».

L’Agence spatiale européenne (ESA), qui avait prévu de coopérer avec la NASA pour lancer sa mission Mars Express en 2003, s’est trouvée confrontée à un problème de budget. Le projet, conçu à l’origine pour étudier la géologie martienne, a été remanié et simplifié. En fait, la question du financement est devenue une obsession pour tous ceux qui travaillent sur les programmes spatiaux américain et européen. D’où viendra l’argent qui permettra d’alimenter demain cette onéreuse aventure ?

Le 19 juillet 1999, dans un éditorial intitulé « Les missions sur Mars sont abordables », Space News admettait que les projections de coût du programme martien ne faisaient qu’augmenter, pour dépasser largement les 400 milliards de dollars, et suggérait de réduire les dépenses sociales aux Etats-Unis pour alimenter les projets spatiaux. Alors que M. George W. Bush vient de relancer le programme Lune/Mars (1), le budget prévisionnel en vue de l’envoi d’astronautes sur Mars pour 2019 s’est accru de manière spectaculaire et dépasse les 500 milliards de dollars.

La NASA entend faire suivre ces missions de collecte d’échantillons martiens par une série de vols habités. Il s’agira d’abord de lancer plusieurs missions robotisées chargées de déposer des modules d’habitation à la surface de la Planète rouge. Ces modules emporteront deux centrales nucléaires, de la nourriture, un laboratoire et un véhicule permettant de rapatrier l’équipage. Une fois l’ensemble de ces modules convenablement installés sur Mars, viendront les vols avec équipage. L’un des problèmes posés tient à la durée du voyage. La NASA, le laboratoire du département américain de l’énergie installé à Los Alamos (Nouveau-Mexique) et le département de génie nucléaire de l’Université de Floride travaillent actuellement à concevoir une fusée à propulsion atomique permettant d’accélérer la traversée. La NASA a toutefois reconnu qu’il s’agissait là d’un sujet « sensible ».

L’administration Bush a donné vie à cette entreprise en subventionnant largement le projet Prométhée, une initiative dotée d’un budget de 3 milliards de dollars et visant à développer des lanceurs ainsi que d’autres dispositifs spatiaux utilisant l’énergie nucléaire.

Peu de temps après son accession au pouvoir, le président américain a nommé M. Sean O’Keefe à la tête de la NASA. Cet ancien secrétaire à la marine de M. George Bush père, qui fut également le collaborateur de M. Richard Cheney au ministère de la défense, est un ardent défenseur de la propulsion nucléaire. Dès sa première conférence de presse, il a annoncé que tous les projets menés par l’agence spatiale américaine seraient désormais à « double usage », ce qui signifie que chaque nouvelle mission spatiale permettra de tester des technologies à visée tout à la fois civile et militaire.

Quelle serait l’utilité militaire du projet Prométhée ? La réponse se trouve depuis longtemps dans les documents du Pentagone et du Congrès. Dans une étude remarquée (2),l’un des fonctionnaires du Congrès, M. John Collins, a souligné que « les réacteurs nucléaires étaient les seules sources d’énergie connues qui soient suffisamment compactes et durables pour alimenter en électricité des forces militaires spatiales ». « Des réacteurs de grande taille notait-il aussi, permettraient de fournir les mégawatts nécessaires à l’alimentation des lasers, des faisceaux de particules neutres, des accélérateurs électromagnétiques ou des canons à rails installés dans l’espace. » La nucléarisation de l’espace donnera de mauvais fruits. Plusieurs accidents se sont déjà produits. En 1964, un satellite militaire américain alimenté par 2,10 livres de plutonium est retombé sur Terre. En brûlant dans l’atmosphère, il y a répandu des particules radioactives qui se sont dispersées sur l’ensemble du globe. En 1996, une mission russe vers Mars, elle aussi chargée d’une demi-livre de plutonium, est retombée sur Terre peu après son lancement, en projetant une pluie de débris sur les montagnes du Chili et de la Bolivie.

Codirecteur d’un centre de recherche de la NASA, M. John Lewis apporte un autre éclairage. « Il paraît impensable, écrit-il, qu’un pays choisisse de consacrer d’importants crédits à l’exploration spatiale par simple amour de la science (3). » L’avenir de l’exploration spatiale passe nécessairement par l’exploitation de l’espace, affirme M. Lewis : « L’univers regorge de minerais et d’énergie. » La NASA songe depuis longtemps aux ressources que représentent l’or des astéroïdes, le magnésium, le cobalt et l’uranium de Mars, l’hélium-3 et l’eau de la Lune. Petroleum News (4) a révélé que la très controversée firme pétrolière Halliburton travaillait avec la NASA au développement de nouvelles technologies de forage adaptées à la planète Mars.

L’appropriation des différents corps célestes, et donc le contrôle exercé tant sur leurs ressources que sur les profits ainsi générés peuvent devenir une importante source de conflits lorsque leur exploitation minière sera devenue rentable. Pour éviter tout problème à l’avenir, les Nations unies ont compris à quel point il était important d’adopter une législation internationale réglementant l’utilisation de l’espace. Toutefois, l’industrie aérospatiale finance déjà de manière importante des organisations comme United Societies in Space, qui ont entrepris de réformer les dispositions du droit de l’espace interdisant à tout individu, entreprise ou pays de réclamer un droit de propriété sur tout ou partie d’un objet planétaire. Quant aux Etats-Unis, ils n’ont jamais signé le traité de la Lune (lire Traités sur les espaces vierges). L’ancien astronaute et ex-sénateur Harrison Schmitt a déclaré à propos de ce traité que « toute interdiction forte frappant l’appropriation de “ressources naturelles” était préoccupante (5 ».

La mission confiée à l’US Space Command – officiellement : doter les Etats-Unis d’une défense antimissile capable de protéger le pays contre les « Etats voyous » – s’éclaire à la lumière des projets d’exploitation de l’espace. Le développement d’une technologie offensive permettant aux Etats-Unis de « contrôler et dominer l’espace », comme l’indique le document de planification Vision for 2020  (6), offrira à l’industrie aérospatiale les moyens d’exercer une domination sans partage sur l’espace et ses ressources.

Toujours dans Military Space Forces, M. John Collins annonce au Congrès américain que, grâce aux bases américaines installées sur la Lune et aux stations spatiales militaires disposées sur les deux faces de notre satellite, « les forces armées pourront attendre et intercepter toute cargaison adverse en route vers la Terre ». La puissance qui parviendra à contrôler le puits gravitationnel Terre-Lune pourra interdire tout accès à l’espace aux autres pays, et donc permettre à son industrie aérospatiale de tirer pleinement profit de l’exploitation minière de l’espace. Un document récent émanant de l’Air Force Space Command est encore plus explicite : « Si notre objectif ultime est vraiment d’“exploiter” l’espace (...), nous ne pourrons pleinement le faire qu’après nous en être assuré le “contrôle”  (7). »

Souvenons-nous de ce qui s’est passé au XVe siècle, lorsque Christophe Colomb a « découvert », pour l’Espagne, le Nouveau Monde. Il a fallu un siècle à ce pays pour contrôler cette nouvelle source de richesses, les routes maritimes et les marchés émergents. Cette situation a mené à la guerre dès que les autres Etats européens ont entrepris de bâtir leur propre flotte pour contester cette suprématie. La NASA et le Pentagone ont les mêmes visées à long terme. Nous pouvons leur opposer un autre programme spatial, résolument pacifique.

(1) Le 14 janvier 2004, dans un discours sur la nouvelle orientation stratégique à l’agence spatiale américaine, le président Bush a mis l’accent sur « l’établissement d’une présence humaine permanente dans le système solaire ».

(2) John M. Collins, « Military Space Forces : the Next 50 Years », Pergamon-Brassey’s International Defense Publishers, Washington, 1989.

(3) John S. Lewis, Mining the Sky : Untold Riches from the Asteroids, Comets and Planets, Perseus Publishing, Philadelphie, 1997.

(4) www.petroleumnews.co m

(5) Space News, New York, 13-19 juillet 1998.

(6) United States Space Command, Vision for 2020, Washington DC, 2001. Pour plus d’informations, voir le site de la Federation of American Scientists (FAS).

(7) Air Force Space Command, « Strategic Master Plan : 2006 and Beyond », janvier 2003.


Sources

Le Monde Diplomatique

Posté par Adriana Evangelizt

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