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28 janvier 2009 3 28 /01 /janvier /2009 15:54




Franck Aletru : “La phrase d’Einstein est une caricature mais elle est proche de la vérité..."


« Si l’abeille venait à disparaître, l’homme n’aurait plus que quelques années à vivre », prophétisait Einstein…


'La phrase d'Einstein est une caricature mais elle est proche de la vérité. Les abeilles sont responsables de la pollinisation donc de la reproduction de plus de vingt mille espèces de plantes. Donc si on voyait ce paysage botanique se désertifier à ce point, il y aurait peu de chances pour que la population humaine trouve à se nourrir. Car la disparition d'espèces végétales entraînera la disparition d'autres espèces animales. Cette suite de causes et d'effets affectera la santé humaine et la survie de l'espèce humaine. L'abeille était présente avant l'homme. Elle a résisté à tous les cataclysmes climatiques, elle a permis la fécondation de multitudes de plantes et sa disparition serait très grave tant son rôle est essentiel dans cet équilibre et dans cette chaîne de vie. L'abeille est aujourd'hui un lanceur d'alerte, un fusible et nous, humains, nous devons être à son écoute et lorsque l'abeille va mal cela veut dire que les humains sont menacés aussi''.

Yves Leconte : ''La disparition des abeilles aurait des effets dramatiques sur l'écosystème...''

Disparition des abeilles : quelles conséquences pour l’écosystème ?

''Les dangers pour l’homme, directement pour l’homme, il n’y en a pas. Les dangers portent sur l’environnement des hommes, sur leur écosystème. Prenons deux exemples d’écosystème. Prenons la sauge. La sauge a besoin de l’abeille. L’abeille vient chercher le nectar au fond de la corolle, elle est obligée de pousser un petit levier qui va déposer le pollen sur le dos de l’abeille. Et quand cette abeille ira féconder une autre plante, une autre sauge , le pollen va mécaniquement se déposer sur le pistil de cette fleur et grâce à l’abeille, l’espèce sauge peut continuer à survivre. Si vous enlevez le pollinisateur , l’espèce sauge ne peut pas s’autopolliniser et donc il n’y aura plus d’espèce sauge. Vous pouvez multiplier cet exemple par autant de plantes qui ont besoin d’un insecte pollinisateur, l’abeille en l’occurrence, pour survivre. L’abeille a donc eu besoin du nectar comme élément énergétique et du pollen comme élément azoté pour survivre et la fleur a besoin de l’abeille pour se reproduire. Il y a donc eu une co-évolution entre les deux espèces. La fleur dans son évolution s’est arrangée avec des artifices pour attirer l’insecte pollinisateur. On peut dire que la survie de l’un est liée à l’autre. Par ailleurs, en ce qui concerne l’activité humaine, prenons l’exemple de la région Rhône-Alpes, vous avez des centaines d’hectares d’arbres fruitiers, de vergers de pommiers ou d’abricotiers qui ont besoin des abeilles pour être pollinisés. Si l’abeille disparaissait, ce serait une catastrophe pour la pollinisation. Vous savez que des colonies d’abeilles sont louées aux apiculteurs le temps de la pollinisation de ces arbres. Grâce à cette pollinisation par les abeilles vous avez de beaux fruits. Sans la pollinisation par les abeilles, il y aurait moins de fruits et des fruits de moins bonne qualité''.


Et si les abeilles disparaissaient ?


par Jacques Tarnero


Au-delà des polémiques autour de certains insecticides (retrait du Régent de la firme BASF, et du Gaucho sur maïs de Bayer), Science actualités a cherché à comprendre ce qui se passait réellement sur la « planète des abeilles » en donnant la parole aux experts et aux éleveurs d'abeilles, les apiculteurs.



Quand les abeilles ne font plus leur miel...


L'histoire des abeilles accompagne celle de l'homme. Depuis l'aube de l'humanité, l'homme en savoure le miel. Aujourd'hui le nectar se fait rare car les abeilles sont malades. Depuis une trentaine d'années, en France, les populations d'abeilles diminuent, se fragilisent. Désigné coupable : l'homme avec la surexploitation industrielle de la nature, l'ajout inconsidéré de produits chimiques pour produire, mieux, plus. Le « plus » s'est transformé en son contraire. Encore une fois, voilà l'écosystème menacé.


Car hormis l'abeille, c'est toute la chaîne complémentaire qui relie l'animal au végétal qui se trouve déréglée. Pas d'abeilles = pas de pollinisation = disparition de certaines espèces végétales = disparition de certaines espèces animales...


Les abeilles en France en quelques chiffres



>>> Nombre de ruches : 1,5 million en 1994 pour 1 million aujourd'hui


>>> 10000 entreprises apicoles auraient disparu en 20 ans


>>> Production de miel : 33000 tonnes en 1995 pour 25000 tonnes en 2003


>>> 22000 tonnes de miel sont aujourd'hui importées en France


>>> 100 000 apiculteurs, dont 1500 professionnels, 75000 amateurs, 3000 pluriactifs


Les abeilles sont elles menacées de disparition ?


Malformations, troubles du système nerveux, désorientation, troubles du comportement, les abeilles présentent toutes sortes de symptômes qui révèlent un état de santé fragile. Certaines abeilles ne retrouvent pas leur ruche. D’autres en sont refoulées parce que non reconnues par le reste du groupe. C'est le constat de différentes études menées par l'INRA depuis une dizaine d'années.


Quelle part de responsabilité aux insecticides ?

Les insecticides nouvelle génération sont accusés de provoquer la mort des abeilles. L’imidaclopride et le fipronil, sensés uniquement protéger la plante, seraient aussi ingérés par les abeilles. Mais les effets nocifs de ces insecticides ne se limiteraient pas aux seules abeilles. Selon certains experts de l’Inra (Institut national de la recherche en agronomie), leurs molécules présentent des dangers multiples pas encore assez évalués. Les molécules employées, ne seraient pas sans effet sur l’homme.


Parmi eux, un neurotoxique, le Régent, produit par la firme BASF, est particulièrement dénoncé par les apiculteurs. La vente du Régent a été suspendue. L’insecticide est soupçonné de décimer les abeilles. Par ailleurs un autre produit, le Gaucho sur maïs, fabriqué par Bayer, et également mis en cause, a été un peu plus tard retiré du commerce.

Pourtant la nocivité de ces molécules n’est pas établie de manière absolue. Des expertises ont donné des résultats contradictoires. Ainsi d’autres recherches menées par l’Inra présentent des résultats moins catégoriques. Les fabricants rejettent, eux, toute responsabilité.


Un problème mondial aux multiples causes…

En trente ans, des pathologies multiples ont touché les abeilles et se sont répandues à la surface du globe. La complexité des causes et la multiplication des facteurs rend les diagnostics difficiles. Ainsi les importations d’espèces ont simultanément importé des pathologies inconnues.

Dans le sud de l’Inde, dans l’Etat de Karnataka, jadis important producteur de miel, jusqu’à 90% des colonies d’abeilles indigènes avaient été détruites au début des années 90 par un virus importé. Le préjudice économique était considérable. Seul un programme complexe de la FAO, comprenant une aide économique et une formation des éleveurs, permet de reconstruire les populations.


Au Québec, dans la région de Rimouski, les populations ont aussi été décimées par des agents parasitaires inconnus.

En Irak, ce sont les effets toxiques de la guerre du Golfe (fumées dues aux incendies des puits de pétrole) qui ont détruit 90% des colonies apicoles.

Il ne s’agit donc ni d’un problème spécifiquement français, ni même ne touchant que les pays pratiquant une agriculture avec usage massif de produits chimiques. Reste malgré tout à quantifier les parts de responsabilité en fonction des différents facteurs en jeu, mais là aucune étude scientifique ne semble en mesure de répondre précisément…


Disparition des abeilles : quelles conséquences pour l'écosystème ?

Les abeilles sont autant productrices de miel qu’elles sont indispensables à la pollinisation des fleurs et des plantes. En effet les abeilles constituent un élément dans la chaîne interactive des écosystèmes. Le rôle de l’abeille est très important dans les divers cycles de la vie des diverses espèces. Pas d’abeilles, pas de miel mais surtout non reproduction et disparition de certaines espèces végétales, donc disparition de certaines espèces animales.


« Si l’abeille venait à disparaître, l’homme n’aurait plus
que quelques années à vivre
», prophétisait Einstein…

L’abeille fait partie du patrimoine de la culture humaine…

Apparue sur la Terre il y a 80 millions d’années, l’abeille a accompagné les pérégrinations humaines. Déjà sur des peintures rupestres, on peut voir des hommes récoltant le miel… Sur les hiéroglyphes comme sur les représentations de la Mésopotamie antique autant que celles de la Chine des premiers siècles de notre ère, la récolte du miel est illustrée. La terre promise est celle où coulent le lait et le miel. Le produit de l’abeille fait bien figure de première douceur pour une humanité balbutiante et souffrante. À l’évidence, en ce début de XXI° siècle, l’homme ne peut toujours pas se passer de l’abeille…

Jacques Tarnero

Sources
Sciences Actualité

Posté par Adriana Evangelizt

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commentaires

(
<br /> <br /> Bonjour,<br /> <br /> <br /> Vous êtes cordialement invité à visiter mon blog.<br />       <br /> Description : Mon Blog(fermaton.over-blog.com), présente le développement mathématique de la conscience humaine.<br /> <br /> <br /> La Page No-20, EINSTEIN ET LA FOI DE MA MÈRE ?<br /> <br /> <br /> Cordialement<br /> <br /> <br /> Clovis Simard<br /> <br /> <br /> <br />
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J
<br /> a mon humble avis il en faudrai un peu plus pour que l'homme disparaisse ; c'est sous estimer la capacité d'adaptation devant la contrainte de l'homme que de penser que la disparaition des abeilles<br /> et les causes a effets qui lui appartiennent ferai disparaitre l'homme<br /> <br /> <br />
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