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  • : La catastrophe planétaire qui s'est produite voilà 12 960 ans est en train de se reproduire mais nul n'en parle... il faut retrouver la Cosmogonie des Anciens pour Savoir.
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10 janvier 2012 2 10 /01 /janvier /2012 16:45

Je pose ci-dessous un article qui date de juin 2008. Car on parle toujours de l'Arctique situé au Pôle nord mais rarement de l'Antarctique, situé au Pôle sud. Or, il s'y produit des choses très étranges qui sont bien évidemment en corrélation avec les phénomènes liés à l'Arctique. Car ces deux régions sont situées aux extrêmités de notre Terre et également près des pôles magnétiques nord et sud.

 

On ne peut pas nier que la fonte des glaciers est effective aux deux endroits. Le Groëndland (au nord) perd 100 MILLIARDS DE TONNES DE GLACES PAR AN. Convertissez cela en litres d'eau. Parallèlement,  en Antarctique (sud), 87 % des 244 glaciers "étudiés" ont reculé de 600 mètres. Il est bien dit "glaciers étudiés", ce qui signifie qu'il y en a beaucoup d'autres dont on ne nous dit rien car ils ne sont pas à l'étude. On peut même supposer que ce qui nous est dévoilé n'est que l'Arbre qui cache la forêt des glaciers fondus. Car, comme je vous l'ai déjà expliqué, les comptes rendus scientifiques sont comme les versets bibliques. Pour connaître la Vérité, il faut les décrypter. Enlever le voile qu'ils collent sur les mots et les expressions. Aussi, lorsque nous lisons que "le Groënland (nord) et l'Antarctique pourraient fondre plus vite que prévu", cela signifie, en temps réel, qu'ils se sont déjà liquéfiés. Car qui va au Groëndland ou en Antarctique pour vérifier ? A part les scientifiques ?

 

Avec ces données vagues de glace fondue qui se comptent par centaines de milliards de tonnes, il n'est pas difficile de comprendre que le niveau des océans a fortement augmenté.  Et pas deTROIS mm comme le serinaient les chercheurs, mais de 1 à 2 m. Et toujours, pas dans cent ans, mais d'ores et déjà. Voilà pourquoi il y a des inondations et la montée des eaux dans toutes les régions du monde. Franchement, si les eaux n'avaient augmenté que de 3 mm, on ne verrait pas tout ce que l'on voit aujourd'hui. Y compris chez nous où le programme PAPI ne se met certainement pas en place par hasard.

 

On voit donc avec ces deux Pôles qu'ils ont une incidence énorme avec l'Elément EAU. Mais également avec l'Elément FEU. Je parlais dans l'article précédent du volcanisme en Sibérie et en Arctique, mais que penser des drôles de phénomènes qui se produisent en Antarctide ? Plusieurs fois par jour, il y a des séismes de magnitude 7 qui ébranle les glaciers. Les scientifiques en ignorent l'origine. Et c'est bien normal puisqu'ils ignorent le fonctionnement de la Terre.

 

Cependant, nul doute que si cela cogne autant, cela signifie que dans le sous-sol, il y a un phénomène volcanique en action. Et l'on peut même fortement penser que les fameuses trapps de Sibérie (nord) qui sont entrées en action dans le passé, ont leurs soeurs jumelles dans le Pôle Sud. Mais comme tout était recouvert de glace, les chercheurs n'ont pas pu encore découvrir les vestiges de ce fait. Ou s'ils l'ont découvert, ils n'en parlent pas.

 

En conclusion, ce qu'il faut retenir, c'est que les Pôles sud et nord sont très actifs depuis environ quatre ans. Et lorsque vous survolez la Terre, vous entrevoyez très bien que le Nord et le Sud sont bien reliés par une ligne de Feu. Je repose la petite video...

 

 

 

 

Des violents séismes en Antarctique...

deux fois par jour

 

 

Enorme surprise des glaciologues : avec une régularité de métronome, la glace de la partie ouest du continent antarctique est secouée par des mouvements équivalant à un tremblement de terre de magnitude 7. A chaque craquement, le glacier avance de quelques dizaines de centimètres.

 

En plantant depuis plusieurs années des sismographes et des récepteurs GPS, une équipe américaine a mis en évidence un gigantesque glacier de cent kilomètres de large sur un kilomètre d'épaisseur. Cette énorme masse glisse vers l'océan au sein de ce que l'on appelle la Calotte Occidentale de l'Antarctique, ou, en anglais, WAIS (pour West Antarctic Ice Sheet). On désigne ainsi la partie du continent du côté des longitudes ouest, et qui contient la péninsule antarctique, cette langue de terre s'avançant en direction de l'Amérique du sud.

 

Entre 2001 et 2003, Douglas Wiens, un sismologue (Washington University in St Louis), avait installé 43 détecteurs en Antarctide (comme on appelle parfois le continent antarctique) pour analyser les inévitables vibrations parcourant la glace en perpétuel mouvement. Il avait alors mis en évidence des tremblements de glace, semblables à ceux que d'autres équipes avaient repérés au Groenland.

 

Mais dans la Calotte occidentale, ce sont de formidables ébranlements que les instruments ont détectés, étonnamment réguliers et violents. Deux fois par jour, les sismographes enregistrent une secousse dont l'énergie correspond à un tremblement de terre de magnitude 7, c'est-à-dire une puissance suffisante pour détruire une ville entière. Le terrible séisme qui a fait tant de dégâts en Chine le 12 mai dernier a été classé à 7,9.

 

Comment de telles secousses ont-elles pu passer inaperçues jusqu'ici ? Parce que ces tremblements de glace s'étalent sur une dizaine à une vingtaine de minutes, expliquent Wiens et ses collègues, alors qu'un séisme libère son énergie en quelques secondes seulement.

 

Saccades géantes

 

Pour mieux comprendre les mouvements de la glace, Wiens a travaillé avec Sridhar Anandakrishnan, un glaciologue de la Pennsylvania State University, qui, en 2004, avait planté une batterie de GPS. En comparant leurs séries de mesures, ces chercheurs ont découvert que cet énorme glacier avance brutalement à chaque secousse, de 46 centimètres en dix minutes, puis reste immobile durant douze d'heures.

 

Quel est le déclencheur de ces fracassants à-coups ? Peut-être la rupture d'un énorme bloc de banquise, à l'extrémité du glacier, là où il flotte sur l'océan et se disloque en icebergs. La brutale libération de contraintes mécaniques engendrerait alors une onde remontant le long du glacier.

 

Rien ne vient pour l'instant étayer cette hypothèse. Mais quelle qu'en soit la cause, le phénomène attire toute l'attention des glaciologues, qui ont désormais du travail devant eux pour expliquer ces tremblements de glace. Jusque-là, la progression d'un glacier était vue comme un mouvement à peu près continu. Mais ces observations en Antarctique évoquent au contraire un type de mouvement par saccades, souvent appelé stick-slip, signifiant à peu près collé-glissé. Ce phénomène physique très commun explique pourquoi un objet posé sur une surface légèrement inclinée ne bouge pas mais démarre brusquement pour ne plus s'arrêter quand l'inclinaison du support dépasse un certain seuil. C'est justement de cette manière que se déclenche un tremblement de terre. Visiblement, les glaciers peuvent aussi s'offrir du stick-slip.

 

Ces recherches présentent encore un autre intérêt. On sait que la fonte des glaces s'est accélérée en Antarctique et la manière dont ces énormes glaciers craquent et se disloquent influe directement sur l'élévation du niveau de l'océan. La vitesse à laquelle la glace coule vers la mer apparaît désormais comme un paramètre important de la régression des calottes polaires, ainsi que l'ont montré plusieurs scientifiques, dont Anny Cazenave et Eric Rignot. Mieux comprendre les mouvements de ces glaciers est donc indispensable pour prédire les effets du réchauffement climatique.

 

Sources :FUTURA SCIENCES

 

Posté par Adriana Evangelizt

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commentaires

C
<br /> (fermaton.over-blog.com),No-6, THÉORÈME ALASKA.- Origine des séismes et catastrophes.<br />
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