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28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 17:13

Lisez attentivement ces deux articles ci-dessous et faites-vous une idée de ce qu'il va advenir des déchets nucléaires lorsque la Terre va commencer sa danse de Saint-Guy. Et ceci ne se passe pas ailleurs qu'en France. Ils sont en train de construire un laboratoire à 500 mètres sous terre pour enterrer des déchets radioactifs. C'est l'Andra qui se charge de cette besogne. Lorsque vous êtes sur leur site, cliquez sur "Où sont les déchets", vous avez une belle carte de France. Cliquez sur les départements et faites le compte.

 

Il existait sur notre territoire, en 2007, 1121 sites sur lesquels on trouve des déchets radioactifs et 3115 communes menacées.  Plus de 90% de la radioactivité de ces déchets est concentrée sur les sites de la Hague dans la Manche et de Marcoule dans le Gard, attendant d'être entreposés sous terre. Ils ont posé leur dévolu sur un site de 32 km2 dans la Meuse. Un des responsables de l'Andra, Marc-Antoine Martin dit, sans rire : "Le but de ce centre de stockage, c'est précisément que les générations futures n'aient pas à se préoccuper de ces déchets." Il vaut mieux entendre ça, que d'être sourd, je vous le dis ! Je souhaite, de tout coeur, que le Monsieur en question se retrouve au milieu des mutants qui peupleront notre Terre dans quelques centaines, voire milliers d'années. Et même qu'il soit l'un deux. Ce qu'il sera sans doute car il récoltera ce qu'il a semé, selon la Loi Harmonique. Je ne veux pas en dire plus pour l'instant car dans  l'article que je vous ai promis ICI, il est question de cela justement.

 

Lorsque la Terre va commencer à tressauter dans tous les sens, on verra ce qu'il adviendra des centrales et déchets nucléaires enfouis dans le sol, sur toute la planète. En sachant que la radioactivité et la toxicité de ce poison mortel va durer des centaines de milliers d'années voire des millions. Vous parlez d'un cadeau pour les générations futures. Il n'y a même pas besoin d'être devin pour imaginer cela. Le fait qu'ils n'y pensent pas prouvent, au mieux, leur courte-vue, au pire, ils se disent qu'ils ne seront plus là pour le voir. Parce que des milliards d'euros sont en jeu, bien entendu. Il n'y a qu'à voir ce que cela donne déjà en Allemagne, par exemple, où le taux des cancers est anormalement élevé près d'un site d'enfouissement. Cancer du sang -leucémie- et cancer de la thyroïde.  Et comment pourrait-il en être autrement ?

 

D'autre part, le fait que la Commission Européenne veuille imposer l'enfouissement en profondeur pour tous les états membres ne peut que nous sembler suspect. Car cette instance oeuvre pour les Maîtres du Monde, Ennemis du Genre Humain, qui savent très bien ce qu'il adviendra dans le Futur avec les déchets enfouis. Car il est clair que certains sites remonteront à la surface avec le bouleversement terrestre, mais d'autres, au contraire, s'enfonceront dans le sol et pourriront l'intérieur de notre planète, dont l'eau. Les êtres, qui plus tard, vivront ici se trouveront donc confrontés à ce mal qu'est l'uranium. Ils ne sauront pas ce que les générations qui les ont précédés, auront fait avec ce poison. Ils ne s'imagineront pas que des individus pervertis, vicieux, malhonnêtes, sans cervelle se sont livrés à de telles abominations. Ils seront peut-être malades sans savoir d'où cela provient. Et cette pourriture est sur toute la planète. Croyez-le, nous n'avons pas à être fier de la science actuelle. C'est une science bassement matérialiste et criminelle. Car non seulement, ces pseudos chercheurs ont contaminé la terre avec le nucléaire, mais ils comptent bien aussi faire de même avec l'enfouissement des déchets sous les océans. Rien ne les arrête. Notre planète, pour eux, est une poubelle. L'Avenir des futurs terriens s'annonce pire que tout ce que l'on peut imaginer avec la mutation de l'ADN que cela va entraîner et la régression totale de notre espèce. Notre Planète sera peuplée de monstres, de mutants et de zombies. J'exagère à peine.

 

Lisez aussi cet article, sur le Monde Diplomatique, Ces déchets nucléaires dont on ne sait que faire.

 

 

 

Les déchets radioactifs,

 

une question hautement sensible 1/3

 

 

par Mickaël Bosredon

 

ENVIRONNEMENT - Prévu par la loi, l'enfouissement des déchets de haute et moyenne activité fait débat. 20 minutes.fr s'est rendu dans la Meuse visiter le laboratoire de recherche souterrain de l'Agence des déchets radioactifs.

Ils pèsent seulement 4% du volume total des déchets radioactifs en France. Mais représentent 99% de la radioactivité produite sur le territoire... Les déchets radioactifs de haute et de moyenne activité à vie longue, essentiellement les combustibles usés utilisés pour faire fonctionner les réacteurs nucléaires, vont peser très lourd dans les débats ces prochains mois et ces prochaines années. Certains sont déjà entreposés depuis une quarantaine d'années au centre de la Hague dans la Manche pour leur refroidissement, dans l'attente de leur stockage sous terre. «Ils sont en sécurité à La Hague, rassure Fabrice Boissier, directeur de la maîtrise des risques à l'Andra (Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs), et ils peuvent encore y rester plusieurs dizaines d'années s'il le faut, mais une loi de 2006 a institué le stockage géologique profond réversible comme solution pour leur gestion à long terme.»

«Stabilité et imperméabilité de la roche»

Afin de trouver un site l'Andra a créé en 2006 sur la commune de Bure dans la Meuse un laboratoire à 500 mètres sous terre, au milieu d'une couche d'argile. C'est ce matériau qui est testé pour vérifier sa compatibilité avec le stockage de déchets de haute activité. Il a été préféré au granit pour «sa stabilité et son imperméabilité» explique Marc-Antoine Martin, chargé de communication du Centre Meuse-Haute-Marne de l'Andra.

 

Les expérimentations réalisées ont conforté les scientifiques dans leur choix de l'argile comme matériau de stockage, et une zone d'intérêt pour la reconnaissance approfondie (Zira) de 30 km2, située à quelques kilomètres du laboratoire, a été délimitée comme possible futur centre de stockage. Les travaux pourraient démarrer en 2016, pour une ouverture en 2025. Cela à condition que le débat public national, qui aura lieu en 2013, s'avère favorable à cette solution. Mais pour le Réseau sortir du nucléaire, les dés sont déjà jetés. «L'Andra a déjà commencé à acheter des terrains sur le site, et d'importantes sommes ont déjà été engagées. Ce débat public sera une mascarade», dénonce Corinne François, qui suit ce dossier de très près au sein du réseau.

«Mauvaise solution» pour le réseau Sortir du nucléaire

La solution même de l'enfouissement est aussi remise en cause par l'association. «La durée de toxicité de ces déchets est de plusieurs centaines de milliers d'années, voire de millions d'années pour certains. L'enfouissement ne peut pas constituer une solution durable. Le conditionnement se dégradera un jour, les galeries s'affaisseront, que fera-t-on lorsque cette radioactivité remontera à la surface?»  Pour l'Andra, ce cas de figure ne pourra pas se présenter avant la fin de la radioactivité des produits, étant donné l'extrême lenteur de la circulation de l'eau dans ces roches. «Le but de ce centre de stockage, c'est précisément que les générations futures n'aient pas à se préoccuper de ces déchets», explique Marc-Antoine Martin.

 

Par mesure de sécurité, la loi exige aussi que le stockage de ces déchets soit «réversible» durant une période de cent ans, c'est-à-dire que l'on puisse les retirer. Au cas où. «Cette période de cent ans est beaucoup trop courte. En 2125 on aura tout juste fini d'entreposer les déchets», dénonce Corinne François, qui estime qu'en l'état actuel des connaissances, il faudrait «poursuivre la surveillance des déchets radioactifs en surface, car le plus sûr, c'est encore de les avoir sous les yeux.» Le débat ne fait que commencer.

 

Sources : 20 Minutes

 

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L'avenir des déchets radioactifs se joue

 

au centre de la Terre (2/3)

 

 

par Mickaël Bosredon

 

 

 

ENERGIE - L'Andra a creusé à 500 mètres sous terre un laboratoire pour tester la capacité du sous-sol à recevoir des déchets radioactifs...

 

Un laboratoire à… 500 mètres de profondeur. L’Andra (Agence nationale des déchets radioactifs) a tenu à se placer «en conditions réelles» pour tester la capacité du sous-sol à accueillir des déchets radioactifs de haute et moyenne activité. Il faut sept à huit minutes pour atteindre le site, au moyen d’un ascenseur.

 

Situé sur la commune de Bure, dans la Meuse, il a été creusé au milieu de la couche argileuse. De l’argile dur comme du béton, et choisi pour «sa faible porosité, et la très lente circulation de l’eau. Ici il faut 300.000 ans à une goutte d’eau pour parcourir un mètre», assure Marc-Antoine Martin, responsable de la communication au laboratoire de recherche.

 

Depuis 2006, ingénieurs, scientifiques, sondent la roche pour tester sa capacité de résistance. A la chaleur tout d’abord. «Actuellement les déchets radioactifs susceptibles d’être stockés en sous-sol, sont en phase de refroidissement depuis 1969 sur notre site de la Hague, dans la Manche. Ils doivent en effet descendre en-dessous de 100° C pour être stockés.» Mais ils continueront tout de même à dégager de la chaleur durant des milliers d’années. Et il ne faut pas que la structure de la roche en soit modifiée. Des éléments radioactifs sont également injectés dans l’argile pour analyser leur vitesse de déplacement.

Une couche géologique vieille de 160 millions d'années

En tout environ 3.000 capteurs ont été plantés le long des immenses galeries du laboratoire souterrain. Jusqu’ici les scientifiques ont été confortés dans leur choix de ce matériau. «Nous apprécions particulièrement la stabilité de la roche. Cette couche géologique est vieille de 160 millions d’années, et elle n’a plus bougé depuis 135 millions d’années. Nous estimons qu’elle doit encore rester stable un million d’années pour ne pas perturber le stockage. A l’échelle géologique ce n’est rien, nous sommes donc confiants.» Une zone de 30 km2, située à quelques kilomètres du laboratoire, est à ce jour pressentie pour accueillir les déchets radioactifs, en 2025. Ce serait alors le premier site en sous-sol au monde à stocker des déchets de haute activité.

 

Les plus radioactifs seraient coulés dans du verre, et insérés dans des fûts, qui seraient ensuite glissés au fond d’alvéoles. L’Andra prévoit de devoir stocker 5.000 m3 de déchets à haute activité (DHA), et 50.000 m3 de déchets de moyenne activité (DMA). «La chaleur des DHA déterminera l’espacement entre les alvéoles, qui pourrait varier entre 20 et 30 mètres. C’est très important car cela va jouer sur le dimensionnement du projet.» De nombreuses incertitudes planent encore autour de ce centre de stockage, notamment sur la livraison des colis de déchets radioactifs, et la manière de les installer dans les alvéoles, sachant qu’il faudra éviter au maximum leur manipulation par l’homme.

 

Des incertitudes qui génèrent une forte contestation au sein des associations écologistes, qui estiment que l’on ne peut pas prévoir la réaction de la roche à la radioactivité sur des périodes de centaines de milliers d’années. Pour Fabrice Boissier, Directeur de la maîtrise des risques à l’Andra, «l’enfouissement est la technique qui fait consensus au niveau international.»

 

Sources 20 Minutes

 

A venir : Prochain volet de notre série: le stockage des déchets de faible activité

 

Posté par Adriana Evangelizt

 

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