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28 janvier 2009 3 28 /01 /janvier /2009 12:11
Les océans intoxiqués par le gaz carbonique



L'augmentation continue du CO2 dans l'atmosphère entraîne le réchauffement de la planète mais aussi l'acidification des océans. Certains organismes marins commencent déjà à en souffrir sérieusement.

Quelques semaines après que 190 pays se sont réunis à Poznan, en Pologne, pour négocier l'application des accords de Kyoto pour lutter contre le réchauffement climatique, des chercheurs américains montrent pour la première fois que le gaz carbonique dissous dans les océans commence déjà à modifier les écosystèmes marins, avec une réduction notamment des moules dans certains secteurs de l'ordre de 30 %.


Durant huit ans, les chercheurs de l'Université de Chicago ont étudié la répartition des organismes vivant dans la zone de marée sur l'île Tatoosh, près de Seattle, dans le Pacifique. Parallèlement, un appareil mesurait la salinité, la température et l'acidité de l'eau, effectuant ainsi le plus long enregistrement continu de ces paramètres en zone côtière tempérée. Les résultats de l'étude, publiés tout récemment dans les comptes rendus de l'Académie nationale des sciences américaine (1), ont surpris tous les spécialistes. «Nous avons observé une augmentation de l'acidité dix fois plus rapide que celle prédite par les modèles, indique J. Timothy Wootton, premier auteur du travail. Et de tous les paramètres étudiés qui pouvaient être liés à ce changement, seule la concentration en gaz carbonique atmosphérique évoluait de la même manière.» Or, la dissolution du gaz carbonique dans l'eau augmente son acidité.


L'autre surprise de l'étude est la grande sensibilité de certains organismes à cette augmentation d'acidité : beaucoup d'espèces fixant le calcaire, telles que les moules, les algues calcaires et certains crustacés, commencent déjà à régresser sur le littoral.

 

Concentration critique

 

«En moins de dix ans, nous avons observé une réduction des moules qui doit être globalement de 30 %, précise Timothy Wootton, et cela dans un environnement que l'on peut retrouver le long de toute la côte pacifique, du sud-est de l'Alaska au sud de la Californie.» Jusqu'à présent, seules des mesures faites en laboratoire ou dans des conditions naturelles particulières avaient montré la sensibilité d'organismes marins à l'augmentation du gaz carbonique dissous. «Mais ici, pour la première fois, il s'agit d'observations sur le terrain, qui portent de plus non sur une seule espèce mais sur tout l'écosystème côtier», commentent Jean-Pierre Gattuso et Laurent Bopp, spécialistes français respectivement au laboratoire d'océanologie de Villefranche-sur-Mer (CNRS - Université Paris-VI) et à l'Institut Pierre-Simon-Laplace des sciences de l'environnement à Paris.


Coorganisateur du deuxième congrès international sur la question, qui s'est tenu en octobre dernier à Monaco, Jean-Pierre Gattuso souligne que les signaux alarmants d'acidification affluent maintenant de tous les coins du globe. Dans l'océan Antarctique, où les eaux froides et ventées sont propices à la dissolution du gaz carbonique, les analyses effectuées en pleine mer depuis dix ans par une équipe australienne révèlent une solubilisation progressive du calcaire. Selon eux, elle va devenir problématique pour une grosse partie du zooplancton dès 2030, lorsque la concentration critique en gaz carbonique atmosphérique de 450 ppm (parties pour million) sera franchie. «Cette disparition du zooplancton aura des conséquences incalculables sur tout le réseau alimentaire des océans polaires, s'inquiète Jean-Pierre Gattuso. C'est la raison pour laquelle nous avons lancé pour 2009-2010 la campagne d'étude européenne Epoca (European Project on Ocean Acidification) et que les Américains s'apprêtent à faire de même.»


Bien plus au sud, dans le vaste espace des Caraïbes, les chercheurs de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) tirent eux aussi la sonnette d'alarme : là encore, la solubilisation du calcium n'a cessé d'augmenter ces dernières années et menace de bientôt perturber la calcification des nombreux récifs coralliens de la région. Et ils montrent que ce changement est directement en rapport avec l'augmentation du gaz carbonique dissous dans les eaux tropicales.

 

Acidification

 

En Australie, la fixation du calcium dans la Grande Barrière de corail a chuté de 21 % en seize ans, une première depuis des siècles, selon une étude du gouvernement australien publiée cette année. Outre les effets néfastes du réchauffement et de la pollution sur la croissance des coraux, l'acidification due au CO2 dissous pourrait aussi en être la cause, estiment les chercheurs.


Depuis deux siècles, les océans ont patiemment absorbé le tiers des émissions de gaz carbonique dues à l'homme, mais cette capacité semble avoir atteint ses limites. «Une augmentation aussi forte et aussi rapide de l'acidité des océans ne s'est pas produite depuis plus de 20 millions d'années au moins, prévient Jean-Pierre Gattuso. Nous savons que toute augmentation supplémentaire du gaz carbonique atmosphérique affecte désormais profondément la vie dans les océans.»


(1) «Pnas», 105, 18848-53 (2 décembre 2008).

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28 janvier 2009 3 28 /01 /janvier /2009 12:10
Trois volcans en éruption et un cyclone

paralysent le Kamtchatka



PETROPAVLOVSK-KAMTCHATSKI, 28 décembre - RIA Novosti. Les malheurs ne cessent pas d'accabler la presqu'île russe de Kamtchatka, où trois volcans se sont réveillés et où un cyclone venant du Japon sévit depuis trois jours.


Après le Chiveloutch et le Klioutchevskoï, réveillés depuis 2006 et 2007, le Koriakski, situé à 30 km de Petropavlovsk-Kamtchatski, le chef-lieu de la région avec une population de 200.000 habitants, connaît une activité volcanique accrue. Des nuages de cendres qu'il dégage depuis quelques jours s'étirent sur une centaine de kilomètres et viennent perturber l'aviation.


L'Institut de volcanologie et de sismologie auprès de l'Académie russe des sciences a appelé les autorités à prendre sans tarder des mesures de précaution pour épargner la population et les transports aériens.


Haut de 3.456 m, le Koriakski est inscrit au Patrimoine mondial culturel et naturel de l'UNESCO. Sa dernière éruption date de 1956.


Par ailleurs, de fortes chutes de neige et des rafales de vent inouïes se sont abattues sur Petropavlovsk-Kamtchatski, résultat d'un cyclone né au large du Japon. Le cyclone a provoqué la fermeture de l'aéroport local où des avions restent bloqués depuis trois jours.


Les météorologues prédisent que les intempéries se poursuivront encore pendant au moins cinq jours.

Sources
Ria Novosti

Posté par Adriana Evangelizt

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28 janvier 2009 3 28 /01 /janvier /2009 11:58

Pratiquement tous les volcans du monde sont éruptifs ou redoublent d'activité ce qui dénote l'activité intense du coeur de la Terre... le but du jeu étant qu'ils se rallument tous et qu'ils entre tous en éruption en même temps pour tracer une ligne de FEU autour de la Terre, le fameux SERPENT ANCIEN dont il est question dans l'Apocalypse. Il faut bien comprendre ce que produit un volcan dans l'atmosphère lorsqu'il est actif. Déjà les nuées de cendre obscurcissent le ciel, masquent le Soleil et entraînent un refroidissement climatique pouvant aller jusqu'à une ère de glaciation. Or, ceci s'est déjà souvent produit. Aux divers réchauffements climatiques ont succédé dès ères glaciaires.

 




Récapitulatif des volcans en activité ou éruptifs pour décembre



Dépêche n°2835 du 26-12-2008
Soufriere Hills, Royaume-Uni, 915 m

L'activité se poursuit sur le Soufriere Hills. Le VAAC de Washngton émet quotidiennement des bulletins indiquant la présence de panaches de cendres émis par l'édifice. Les cendres se disperses sur parfois de grandes distances (source: VAAC de Washington).


Dépêche n°
2834 du 26-12-2008
Karangetang, Indonésie, 1784 m

L'activité se poursuit au Karangetang. Le MODIS a en effet capté hier une anomalie thermique au niveau du cratère sommital. Aucun détail n'est donné par les volcanologues indonésiens quant à la situation sur place(source: MODIS).


Dépêche n°
2833 du 26-12-2008
Klyuchevskoy, Russie, 4835 m

La situation est stable sur le Klyuchevskoy. L'activité éruptive est toujours présente, avec ses explosions stromoliennes dans le cratère sommital, et l'importante effusion sur le versant nord-ouest de l'édifice. Les panaches de cendres produits montent à plus de 3000m au-dessus de l'édifice (source: KVERT).


Dépêche n°
2832 du 26-12-2008
Piton de la Fournaise, France, 2631 m

L'éruption du Piton se poursuit. Le niveau du trémor, variable, montre toutefois toujours une tendance à l'augmentation. L'observatoire indique dans son bulletin de ce matin qu'il est actuellement trois fois supérieur à ce qu'il était en début d'éruption (source: OVPF).


Dépêche n°
2831 du 25-12-2008
Koryaksky, Russie, 3456 m

Peu avant 01h00 du matin (TU) cette nuit un second panache de cendres a été repéré par le VAAC de Tokyo. Dans leur bulletin émis vers 02h20 du matin (TU) ils indiquent que la cendre se trouve à environ 3900 m d'altitude (soit 600 m plus haut que le sommet de l'édifice) et se dirige vers le nord-est. Le panache était dissipé à 05h59 du matin (TU) (source: VAAC de Tokyo).


Dépêche n°
2830 du 25-12-2008
Tungurahua, Equateur, 5023 m

L'activité éruptive est toujours en augmentation au Tungurahua. Une activité strombolienne a été observée dans le cratère sommital, dans la nuit du 23 au 4 décembre. La sismicité va crecendo, avec es épisodes de trémors asez intenses, et des secousses ressenties par les populations (source: IG d'Equateur).


Dépêche n°
2829 du 25-12-2008
Cleveland, Etats-Unis, 1730 m

Suite au repérage d'une anomalie thermique sur des images satellites, les volcanologues de l'AVO ont décidé hier de monter le niveau d'alerte volcanique du vert au jaune (source: AVO).


Dépêche n°
2828 du 24-12-2008
Koryaksky, Russie, 3456 m

Le VAAC de Tokyo a rapporté la formation d'un panache de cendres sur le volcan Koryasky, ce matin à 05h08 (TU). Ce dernier est visible sur les images MT-SAT, et emporté par les vents vers le nord-est. Rappelons que cet édifice se trouve à proximité de Petropavlovsk, capitale du Kamchatka, et qu'il manifeste depuis quelques semaines une activité fumerolienne. Pour l'instant nous ne savons pas si le niveau d'alerte volcanique a été modifié par le KVERT suite à cet événement. La dernière éruption a eu lieu en 1957, et une importante crise sismique, qui n'avait abouti à rien de particulier, avait eu lieu en mars-avril 1994 (source: VAAC de Tokyo).


Dépêche n°
2827 du 24-12-2008
Llaima, Chili, 3125 m

Après plusieurs mois de tranquilité, le Llaima a connu hier un soubresaut d'activité. Une émission de cendres, d'une durée de deux minutes environ, a animé le cratère sommital et produit un panache haut de 500m. Les membres du POVI indiquent sur leur site qu'il s'agit d'une activité phréatomagmatique. Par ailleurs on peut voir, toujours sur leur site, qu'une anomalie thermique avait été repérée sur l'édifice le 18 décembre dernier (source: POVI).


Dépêche n°
2826 du 23-12-2008
Soufriere Hills, Royaume-Uni, 915 m

L'activité se poursuit sur Soufriere Hills, avec l'émission de panaches de cendres. Le niveau d'alerte volcanique a été passé à 4 (sur une échelle de 1 à 5) hier par le MVO. L'extrusion de magma juvenil se fait mainteant par toute la zone sommitale du dôme précédent. La situation devient donc sérieuse (source: MVO).


Dépêche n°
2825 du 23-12-2008
Piton de la Fournaise, France, 2631 m

Depuis le début de l'éruption, il y a maintenant plus d'une semaine sur le Piton de la Fournaise, le trémor volcanique, assez variable au cours de la période est depuis dimanche soir installé à un niveau constant plus élevé. L'éruption demeure cantonnée à l'intérieur du cratère Dolomieu (source : OVPF).


Dépêche n°
2824 du 23-12-2008
Tungurahua, Equateur, 5023 m

Le nombre des explosions comptées sur le Tungurahua va crescendo. En effet, dans son dernier bulletin (du 22 décembre), l'IGEPN, dénombre 63 explosions d'intensité variable. Cependant on est encore loin des centaines d'explosions journalières qui pouvaient être enregistrées lors des événements éruptifs de juillet-août. L'absence de pluie importante et la faible teneur en cendre des panaches émis a pour conséquence une absence de lahars en ce moment (source : IGEPN).


Dépêche n°
2823 du 22-12-2008
Tungurahua, Equateur, 5023 m

L'activité continue sur le Tungurahua mais son style a changé, avec un tremor qui varie en intensité et où, en plus, on enregistre des explosions dont certaines sont relativement fortes et ont fait vibrer le sommet à Pillate. Les explosions sont accompagnées de panaches, avec une assez faible proportion de cendre, qui ne dépassent pas les 1,5 km de hauteur sauf lors des plus fortes explosions où la colonne atteint les 2 à 3 km de haut. Néanmoins, on rapporte la retombée de cendre à Choglontus et El Manzano. L'épaisse couverture nuageuse actuellement en place sur le volcan empêche toute observation satellitaire pour une activité pour le moment de relativement faible ampleur (sources : VAAC Washington, igepn).


Dépêche n°
2822 du 22-12-2008
Rabaul, Papouasie Nouvelle-Guinée, 688 m

Le RVO indique qu'une activité de bas niveau (pour le volcan) existe encore en ce moment sur le Rabaul. Elle se traduit par l'émission de panaches de cendres visibles depuis les satellites. Le code d'alerte volcanique pour l'aviation est à l'orange. (source : VAAC Darwin).


Dépêche n°
2821 du 21-12-2008
Kilauea, Etats-Unis, 1222 m

Si l'activité des cratères Halemaumau et Pu'u'O'o est relativement tranquille (dégazage et absence d'incandescence), en revanche l'effusion de lave au niveau du Pacifique est très active depuis quelques jours. Les volcanologues ont ainsi observé de très nombreuses entrées de lave en mer (front de plus de 2km de long!) avec production d'un important panache de gaz accompagné d'une vigoureuse activité de spattering (explosions dues au contact eau/lave). La zone étant instable et en évolution constante il est recommandé de se tenir à bonne distance. (source: HVO)


Dépêche n°
2820 du 21-12-2008
Tungurahua, Equateur, 5023 m

Depuis ces deux derniers jours, la nouvelle activité s'intensifie sur le Tungurahua avec l'apparition d'un tremor d'émission intense et permanent. Les émissions de surface associées sont cependant relativement faible pour le moment avec peu de cendre. Les panaches ont atteint les 2 kilomètres de hauteur et sont poussés vers le sud est. Cette activité explosive est toutefois très bruyante. Une légère retombée de cendre fine a été détectée à Riobamba mais rien d'autre aux environs du volcan ces derniers jours. Depuis l'espace on observe aujourd'hui des émissions continues de cendre et une très nette anomalie thermique au sommet (sources : IGEPN, VAAC Washington).


Dépêche n°
2819 du 21-12-2008
Klyuchevskoy, Russie, 4835 m

L'activité éruptive est toujours signalée sur le Klyuchevskoy avec des panaches de cendre observés au-dessus du volcan. La prudence reste toujours de mise pour les lignes aériennes locales ou internationnales survolant la zone, le niveau d'alerte demeure à l'orange pour ce volcan, ce qui signifie qu'une activité explosive de grande ampleur est envisageable même si pour le moment l'activité reste modérée pour l'édifice (source : KVERT, VAAC Tokyo).


Dépêche n°
2818 du 20-12-2008
Alu, Ethiopie, 429 m

Deux nouvelles anomalies thermiques ont été détectées hier dans la zone du volcan Alu. Faibles, elles peuvent être le signe d'une activité persistante dans la zone(source: MODIS).


Dépêche n°
2817 du 20-12-2008
Soufriere Hills, Royaume-Uni, 915 m

Les volcanologues du MVO confirment dans leur dernier bulletin qu'une nouvelle extrusion est en cours sur le versant sud-ouest du dôme du Soufriere Hills. L'analyse d'images montre que cette dernière a commencé le 08 décembre ce qui permet de poser l'hypothèse du lien entre elle et l'importante coulée pyroclastique qui s'est mise en place le 10 décembre. Le taux estimé (mesure à confirmer) d'extrusion est d'environ 1 m3/seconde de magma juvénile (=neuf). Par ailleurs les panaches détecté ces derniers temps par le VAAC de Washington sont dus à des épisodes de "ash venting" (intense dégazage emportant des quantités assez importes de cendres) qui apparaissent en plusieurs point du dôme, et à quelques coulées pyroclastique assez importantes (celle du 17 décembre à produit un panache co ignimbritique (nom du panache qui se forme pendant la progression d'une coulée pyroclastique) qui a atteint 5000m d'altitude. L'activité globale sur le Soufriere Hills est donc en augmentation, avec une légère tendance à la baisse depuis le 17 décembre (source: MVO).


Dépêche n°
2816 du 19-12-2008
Soufriere Hills, Royaume-Uni, 915 m

Le MODIS détecte à nouveau une anomalie thermique sur le Soufriere Hills et le VAAC de Washington met en ligne tous les jours des bulletins indiquant que les émissions de cendres se poursuivent. (sources: MODIS; VAAC de Washington)


Dépêche n°
2815 du 19-12-2008
Klyuchevskoy, Russie, 4835 m

La situation reste inchangée au Klyuchevskoy. L'activité strombolienne est toujours présente au sommet et la coulée est toujours présente sur le versant nord-ouest du majestueux strato-cône.(source: KVERT)


Dépêche n°
2814 du 19-12-2008
Cerro Machìn, Colombie, 2650m

Un essaim de secousses sismiques a été enregistré hier dans la zone du Cerro Machìn. Ce sont 96 séismes qui ont secoués l'édifice entre 02:35 et 07:42 du matin (heure locale). Les foyers se trouvaient entre 2 et 6 km de profondeur, au sud-ouest des dômes sommitaux, et les secousses ont été ressenties par les habitants proches de l'édifice. (source: INEGOMINAS)


Dépêche n°
2813 du 19-12-2008
Piton de la Fournaise, France, 2631 m

L'activité effusive se poursuit toujours et connaît même un regain depuis hier après-midi. Les nouvelles coulées ont entièrement recouvert les coulées des deux éruptions précédentes. Une reconnaissance par les volcanologues de l'OVPF est prévue aujourd'hui. (source: OVPF)


Dépêche n°
2812 du 18-12-2008
Santa Maria, Guatemala, 3772 m

Hier, trois nouvelles coulées pyroclastiques se sont formées sur le dôme Caliente du Santiaguito. Toutes, regroupées le matin (04:48, 05:50, 08:53, heures locales) ont été produites par des explosions d'intensité modérée (source: INSIVUMEH).


Dépêche n°
2811 du 17-12-2008
Tungurahua, Equateur, 5023 m

Après cinq mois de trève pour les populations, l'activité est de retour au Tungurahua depuis avant-hier soir. Des épisodes de trémor accompagnent des explosions assez faibles qui produisent des panaches peu importants et contenant des quantités variables de cendres. Des blocs incandescents ont été expulsés par certaines d'entre elles, et de faibles chutes de cendres ont été rapportés dans la localité de Runtun (source: I.G d'Equateur).


Dépêche n°
2810 du 17-12-2008
Santa Maria, Guatemala, 3772 m

L'activité explosive se maintient toujours à un niveau faible sur le dôme Caliente du complexe Santiaguito. Les explosions, faibles à modérées, ont toutefois donné naissance à une coulée pyroclastique avant-hier. Par ailleurs, la lave lentement extrudée au sommet du Caliente continue d'alimenter l'épaisse et très courte coulée qui s'épanche sur le versant sud-ouest. La déstabilisation de son front donne naisance à de nombreuses avalanches de blocs (source: INSIVUMEH).


Dépêche n°
2809 du 17-12-2008
Pacaya, Guatemala, 2552 m

Avant-hier le Pacaya a connu un changement d'activité avec l'apparition d'explosions stromboliennes au sommet du cône Mac Kenney, ces dernières expulsant blocs et bombes jusqu'à 50 m de hauteur. L'activité effusive se poursuit toujours sur le versant sud-est du cône Mac Kenney, donnant naissance à plusieurs lobes de lave (entre 2 et 5 selon les jours). Les coulées ont pu être observées depuis la côte Pacifique (source: INSIVUMEH).


Dépêche n°
2808 du 16-12-2008
Chaitén, Chili, 1122 m

La croissance du second nouveau dôme se poursuit et s'accompagne toujours de déstabilisations de sa carapace superficielle. Ainsi se forment des avalanches de blocs et cendres, et des panaches parfois importants visibles sur la webcam installée dans la ville de Chaitén, et relevés par le VAAC de Buenos Aires. Les volcanologues du SERNAGEOMIN explorent les scénarii possibles si ce dôme continue sa croissance actuelle. L'un d'entre eux fait intervenir l'ancien dôme, maintenant écrasé par le poids des deux nouveaux dômes qui se sont édifiés. Cet ancien dôme, fortement altéré par le dégazage qui accompagne l'éruption, est maintenant fragilisé : il est donc envisageable qu'il s'effondre, ce qui entrainerait une destabilisation des deux nouveaux dômes et une explosion latérale dirigée vers le sud, en direction de la ville de Chaitén. Un autre scenario envisageable (et pas forcément incompatible avec le premier) est le remplissage complet de la caldera soit par la seule édification du dôme n°2 (ce qui lui confèrerait un énorme volume), soit par l'édification d'un troisième dôme (ou plus). Une fois la caldera comblée, le dôme se mettrait alors à déborder en dehors de celle-ci. A noter qu'en direction du sud, les avalanches de blocs et cendres liées à la croissance des nouveaux dômes ont encombré la partie amont du Rio Chaitén, ce qui pourra être la source de lahars importants en direction de la ville éponyme lors des futures pluies. Le niveau d'alerte volcanique est maintenu au rouge. (source: SERNAGEOMIN).


Dépêche n°
2807 du 16-12-2008
Piton de la Fournaise, France, 2631 m

L'éruption débutée hier se poursuit, bien que le trémor se soit légèrement affaiblit (source: OVPF).

Dépêche n°2804 du 15-12-2008
Dukono, Indonésie, 1185 m

Le VAAC de Darwin a rapporté, ce matin, la présence d'un panache de cendres en provenance du Dukono. Les cendres ont été détectées à une altitude de 3000 m environ (source: VAAC de Darwin).

Dépêche n°2802 du 14-12-2008
Puracé, Colombie, 4650m

L'observatoire INGEOMINAS de Popayan a émis hier un bulletin concernant le Puracé dans lequel il est indiqué que l'édifice montre un accroissement de sa sismicité depuis le 12 décembre. Les secousses possèdent les caractéristiques propres aux mouvements de fluides, et les épicentres se trouvent à la verticale de la mine de soufre "El Vinagre", à une profondeur de 2,8 km. Les travailleurs de la mine n'ont rien ressenti de ces secousses, dont la magnitude n'excède pas 1 (échelle de Richter). Aucun phénomène de surface (fumerolle, etc) n'a été observé pour le moment. Au total, en 24 heures, ce sont tout de même 625 secousses qui ont été enregistrées (source: INGEOMINAS).

Dépêche n°2796 du 11-12-2008
Barren Island, Inde, 354 m

Une équipe de tournage se trouvant en ce moment sur Barren Island nous a contacté hier en nous indiquant que l'éruption est bel et bien toujours en cours sur l'île. Il s'agit d'une activité strombolienne, accompagnée d'une coulée relativement peu active car invisible le jour. Ils n'ont malheureusement pas pu aller sur l'île car les gardes-côtes leur ont barré l'accès (source: équipe de Saint-Thomas Production).

Dépêche n°2794 du 10-12-2008
Fuego, Guatemala, 3763 m

Bien que l'activité du Fuego reste sur le même modèle que ces derniers mois (activité explosive de style strombolien au sommet et coulée), elle connaît un un accroissement ces derniers jours. Les explosions sont un peu plus puissantes et la coulée mesure maintenant plus de 500m de long. Le front de cette dernière, se trouvant dan une pente forte, s'émiette et donne d'abondantes avalanches de blocs incandescents qui roulent dans la pente de la ravine Ceniza et atteignent maintenant la limite de végétation (source: INSIVUMEH).

Dépêche n°2792 du 08-12-2008
Batu Tara, Indonésie, 748 m

Une anomalie thermique repérée hier par le capteur MODIS, et un bulletin émis aujourd'hui par le VAAC de Darwin, indiquent que l'activité semble se poursuivre sur l'île de Batu Tara. toujours aucun détail n'est transmis sur ce qui se passe réellement sur cette île isolée (sources: VAAC de Darwin; MODIS).


Dépêche n°2791 du 07-12-2008
Stromboli, Italie, 926 m

L'INGV de Catane a fait part dans ces derniers bulletins d'une explosion particulièrement forte hier soir à 21h48 (d'une puissance 3 fois supérieure au dernier événement de ce type le 29 février 2008). Cet événement a duré 2 minutes et a été suivi de retombées de blocs sur les parties hautes du volcan et dans la Sciara del Fuoco. Depuis, l'activité sismique et volcanique a repris des valeurs habituelles (source : INGV Catania).


Sources
Activolcans

Posté par Adriana Evangelizt

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27 décembre 2008 6 27 /12 /décembre /2008 19:17

"Vous serez jugés à vos oeuvres..." voilà où il faut remettre certaines paroles prononcées par les visionnaires prophétiques en ce qui concerne leur comportement avec "Dieu" la Terre qui fait vraiment la pluie et le beau temps et dont est responsable l'Humanité. Imaginez un peu quand le sol de notre pays va commencer à tressauter, à trembler, à se fissurer, ce qu'il va advenir des beaux joujoux de Sarkozy, le promoteur du nucléaire, qui n'y voit pas plus loin que le bout de son nez car c'est un compulsif, impulsif, jouissif immédiat -comme beaucoup de ses condisciples- et qu'il est incapable d'imaginer que les tremblements de terre vont aussi toucher la France. Vendons du nucléaire que diable ! Qu'Areva fasse de l'artiche ! Dans notre petit Hexagone, nous approchons des soixante sites nucléaires. Imaginez... quand ça va brinquebaler dans tous les sens ! Un aveugle y verrait. Mais Nicolas Sarkozy ne voit rien, n'entend rien... il ne sait pas lire les signes du temps...



EDF et GDF Suez ont sélectionné des sites pour le 2e réacteur nucléaire EPR, selon un journal


EDF et GDF Suez ont sélectionné des sites pour la construction du deuxième réacteur nucléaire EPR, pour laquelle ils sont tous deux en compétition, affirme le Figaro dans son édition de samedi.


Selon le quotidien, GDF Suez envisage, s'il est sélectionné par l'Elysée, les sites de Tricastin (Drôme) et de Marcoule (Gard) pour accueillir la construction du 2e EPR français.


"Chez EDF, le site de Penly (Seine-Maritime), qui possède déjà une centrale, pourrait accueillir le deuxième EPR", poursuit le Figaro.


Joints par l'AFP, des porte-parole de GDF Suez et d'EDF ont décliné tout commentaire.


Le président de la République, Nicolas Sarkozy, avait annoncé début juillet qu'il voulait lancer la construction en France d'un deuxième réacteur nucléaire de troisième génération EPR, qui serait conçu par le groupe nucléaire français Areva mais exploité par GDF Suez ou EDF.


M. Sarkozy avait également souhaité qu'une décision d'implantation soit prise "d'ici à 2009", et que la "première pierre soit posée en 2011".


Sources AFP

Posté par Adriana Evangelizt  

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27 décembre 2008 6 27 /12 /décembre /2008 08:04

La disparition du Gulf Stream ne sera pas sans conséquences sur notre planète...





Coup de froid sur la planète







Posté par Adriana Evangelizt

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27 décembre 2008 6 27 /12 /décembre /2008 06:25

Pratiquement tous les volcans du monde sont éruptifs ou redoublent d'activité ce qui dénote l'activité intense du coeur de la Terre... le but du jeu étant qu'ils se rallument tous et qu'ils entre tous en éruption en même temps pour tracer une ligne de FEU autour de la Terre, le fameux SERPENT ANCIEN dont il est question dans l'Apocalypse. Il faut bien comprendre ce que produit un volcan dans l'atmosphère lorsqu'il est actif. Déjà les nuées de cendre obscurcissent le ciel, masquent le Soleil et entraînent un refroidissement climatique pouvant aller jusqu'à une ère de glaciation. Or, ceci s'est déjà souvent produit. Aux divers réchauffements climatiques ont succédé dès ères glaciaires.

 




Récapitulatif des volcans en activité ou éruptifs pour décembre



Dépêche n°2835 du 26-12-2008
Soufriere Hills, Royaume-Uni, 915 m

L'activité se poursuit sur le Soufriere Hills. Le VAAC de Washngton émet quotidiennement des bulletins indiquant la présence de panaches de cendres émis par l'édifice. Les cendres se disperses sur parfois de grandes distances (source: VAAC de Washington).


Dépêche n°
2834 du 26-12-2008
Karangetang, Indonésie, 1784 m

L'activité se poursuit au Karangetang. Le MODIS a en effet capté hier une anomalie thermique au niveau du cratère sommital. Aucun détail n'est donné par les volcanologues indonésiens quant à la situation sur place(source: MODIS).


Dépêche n°
2833 du 26-12-2008
Klyuchevskoy, Russie, 4835 m

La situation est stable sur le Klyuchevskoy. L'activité éruptive est toujours présente, avec ses explosions stromoliennes dans le cratère sommital, et l'importante effusion sur le versant nord-ouest de l'édifice. Les panaches de cendres produits montent à plus de 3000m au-dessus de l'édifice (source: KVERT).


Dépêche n°
2832 du 26-12-2008
Piton de la Fournaise, France, 2631 m

L'éruption du Piton se poursuit. Le niveau du trémor, variable, montre toutefois toujours une tendance à l'augmentation. L'observatoire indique dans son bulletin de ce matin qu'il est actuellement trois fois supérieur à ce qu'il était en début d'éruption (source: OVPF).


Dépêche n°
2831 du 25-12-2008
Koryaksky, Russie, 3456 m

Peu avant 01h00 du matin (TU) cette nuit un second panache de cendres a été repéré par le VAAC de Tokyo. Dans leur bulletin émis vers 02h20 du matin (TU) ils indiquent que la cendre se trouve à environ 3900 m d'altitude (soit 600 m plus haut que le sommet de l'édifice) et se dirige vers le nord-est. Le panache était dissipé à 05h59 du matin (TU) (source: VAAC de Tokyo).


Dépêche n°
2830 du 25-12-2008
Tungurahua, Equateur, 5023 m

L'activité éruptive est toujours en augmentation au Tungurahua. Une activité strombolienne a été observée dans le cratère sommital, dans la nuit du 23 au 4 décembre. La sismicité va crecendo, avec es épisodes de trémors asez intenses, et des secousses ressenties par les populations (source: IG d'Equateur).


Dépêche n°
2829 du 25-12-2008
Cleveland, Etats-Unis, 1730 m

Suite au repérage d'une anomalie thermique sur des images satellites, les volcanologues de l'AVO ont décidé hier de monter le niveau d'alerte volcanique du vert au jaune (source: AVO).


Dépêche n°
2828 du 24-12-2008
Koryaksky, Russie, 3456 m

Le VAAC de Tokyo a rapporté la formation d'un panache de cendres sur le volcan Koryasky, ce matin à 05h08 (TU). Ce dernier est visible sur les images MT-SAT, et emporté par les vents vers le nord-est. Rappelons que cet édifice se trouve à proximité de Petropavlovsk, capitale du Kamchatka, et qu'il manifeste depuis quelques semaines une activité fumerolienne. Pour l'instant nous ne savons pas si le niveau d'alerte volcanique a été modifié par le KVERT suite à cet événement. La dernière éruption a eu lieu en 1957, et une importante crise sismique, qui n'avait abouti à rien de particulier, avait eu lieu en mars-avril 1994 (source: VAAC de Tokyo).


Dépêche n°
2827 du 24-12-2008
Llaima, Chili, 3125 m

Après plusieurs mois de tranquilité, le Llaima a connu hier un soubresaut d'activité. Une émission de cendres, d'une durée de deux minutes environ, a animé le cratère sommital et produit un panache haut de 500m. Les membres du POVI indiquent sur leur site qu'il s'agit d'une activité phréatomagmatique. Par ailleurs on peut voir, toujours sur leur site, qu'une anomalie thermique avait été repérée sur l'édifice le 18 décembre dernier (source: POVI).


Dépêche n°
2826 du 23-12-2008
Soufriere Hills, Royaume-Uni, 915 m

L'activité se poursuit sur Soufriere Hills, avec l'émission de panaches de cendres. Le niveau d'alerte volcanique a été passé à 4 (sur une échelle de 1 à 5) hier par le MVO. L'extrusion de magma juvenil se fait mainteant par toute la zone sommitale du dôme précédent. La situation devient donc sérieuse (source: MVO).


Dépêche n°
2825 du 23-12-2008
Piton de la Fournaise, France, 2631 m

Depuis le début de l'éruption, il y a maintenant plus d'une semaine sur le Piton de la Fournaise, le trémor volcanique, assez variable au cours de la période est depuis dimanche soir installé à un niveau constant plus élevé. L'éruption demeure cantonnée à l'intérieur du cratère Dolomieu (source : OVPF).


Dépêche n°
2824 du 23-12-2008
Tungurahua, Equateur, 5023 m

Le nombre des explosions comptées sur le Tungurahua va crescendo. En effet, dans son dernier bulletin (du 22 décembre), l'IGEPN, dénombre 63 explosions d'intensité variable. Cependant on est encore loin des centaines d'explosions journalières qui pouvaient être enregistrées lors des événements éruptifs de juillet-août. L'absence de pluie importante et la faible teneur en cendre des panaches émis a pour conséquence une absence de lahars en ce moment (source : IGEPN).


Dépêche n°
2823 du 22-12-2008
Tungurahua, Equateur, 5023 m

L'activité continue sur le Tungurahua mais son style a changé, avec un tremor qui varie en intensité et où, en plus, on enregistre des explosions dont certaines sont relativement fortes et ont fait vibrer le sommet à Pillate. Les explosions sont accompagnées de panaches, avec une assez faible proportion de cendre, qui ne dépassent pas les 1,5 km de hauteur sauf lors des plus fortes explosions où la colonne atteint les 2 à 3 km de haut. Néanmoins, on rapporte la retombée de cendre à Choglontus et El Manzano. L'épaisse couverture nuageuse actuellement en place sur le volcan empêche toute observation satellitaire pour une activité pour le moment de relativement faible ampleur (sources : VAAC Washington, igepn).


Dépêche n°
2822 du 22-12-2008
Rabaul, Papouasie Nouvelle-Guinée, 688 m

Le RVO indique qu'une activité de bas niveau (pour le volcan) existe encore en ce moment sur le Rabaul. Elle se traduit par l'émission de panaches de cendres visibles depuis les satellites. Le code d'alerte volcanique pour l'aviation est à l'orange. (source : VAAC Darwin).


Dépêche n°
2821 du 21-12-2008
Kilauea, Etats-Unis, 1222 m

Si l'activité des cratères Halemaumau et Pu'u'O'o est relativement tranquille (dégazage et absence d'incandescence), en revanche l'effusion de lave au niveau du Pacifique est très active depuis quelques jours. Les volcanologues ont ainsi observé de très nombreuses entrées de lave en mer (front de plus de 2km de long!) avec production d'un important panache de gaz accompagné d'une vigoureuse activité de spattering (explosions dues au contact eau/lave). La zone étant instable et en évolution constante il est recommandé de se tenir à bonne distance. (source: HVO)


Dépêche n°
2820 du 21-12-2008
Tungurahua, Equateur, 5023 m

Depuis ces deux derniers jours, la nouvelle activité s'intensifie sur le Tungurahua avec l'apparition d'un tremor d'émission intense et permanent. Les émissions de surface associées sont cependant relativement faible pour le moment avec peu de cendre. Les panaches ont atteint les 2 kilomètres de hauteur et sont poussés vers le sud est. Cette activité explosive est toutefois très bruyante. Une légère retombée de cendre fine a été détectée à Riobamba mais rien d'autre aux environs du volcan ces derniers jours. Depuis l'espace on observe aujourd'hui des émissions continues de cendre et une très nette anomalie thermique au sommet (sources : IGEPN, VAAC Washington).


Dépêche n°
2819 du 21-12-2008
Klyuchevskoy, Russie, 4835 m

L'activité éruptive est toujours signalée sur le Klyuchevskoy avec des panaches de cendre observés au-dessus du volcan. La prudence reste toujours de mise pour les lignes aériennes locales ou internationnales survolant la zone, le niveau d'alerte demeure à l'orange pour ce volcan, ce qui signifie qu'une activité explosive de grande ampleur est envisageable même si pour le moment l'activité reste modérée pour l'édifice (source : KVERT, VAAC Tokyo).


Dépêche n°
2818 du 20-12-2008
Alu, Ethiopie, 429 m

Deux nouvelles anomalies thermiques ont été détectées hier dans la zone du volcan Alu. Faibles, elles peuvent être le signe d'une activité persistante dans la zone(source: MODIS).


Dépêche n°
2817 du 20-12-2008
Soufriere Hills, Royaume-Uni, 915 m

Les volcanologues du MVO confirment dans leur dernier bulletin qu'une nouvelle extrusion est en cours sur le versant sud-ouest du dôme du Soufriere Hills. L'analyse d'images montre que cette dernière a commencé le 08 décembre ce qui permet de poser l'hypothèse du lien entre elle et l'importante coulée pyroclastique qui s'est mise en place le 10 décembre. Le taux estimé (mesure à confirmer) d'extrusion est d'environ 1 m3/seconde de magma juvénile (=neuf). Par ailleurs les panaches détecté ces derniers temps par le VAAC de Washington sont dus à des épisodes de "ash venting" (intense dégazage emportant des quantités assez importes de cendres) qui apparaissent en plusieurs point du dôme, et à quelques coulées pyroclastique assez importantes (celle du 17 décembre à produit un panache co ignimbritique (nom du panache qui se forme pendant la progression d'une coulée pyroclastique) qui a atteint 5000m d'altitude. L'activité globale sur le Soufriere Hills est donc en augmentation, avec une légère tendance à la baisse depuis le 17 décembre (source: MVO).


Dépêche n°
2816 du 19-12-2008
Soufriere Hills, Royaume-Uni, 915 m

Le MODIS détecte à nouveau une anomalie thermique sur le Soufriere Hills et le VAAC de Washington met en ligne tous les jours des bulletins indiquant que les émissions de cendres se poursuivent. (sources: MODIS; VAAC de Washington)


Dépêche n°
2815 du 19-12-2008
Klyuchevskoy, Russie, 4835 m

La situation reste inchangée au Klyuchevskoy. L'activité strombolienne est toujours présente au sommet et la coulée est toujours présente sur le versant nord-ouest du majestueux strato-cône.(source: KVERT)


Dépêche n°
2814 du 19-12-2008
Cerro Machìn, Colombie, 2650m

Un essaim de secousses sismiques a été enregistré hier dans la zone du Cerro Machìn. Ce sont 96 séismes qui ont secoués l'édifice entre 02:35 et 07:42 du matin (heure locale). Les foyers se trouvaient entre 2 et 6 km de profondeur, au sud-ouest des dômes sommitaux, et les secousses ont été ressenties par les habitants proches de l'édifice. (source: INEGOMINAS)


Dépêche n°
2813 du 19-12-2008
Piton de la Fournaise, France, 2631 m

L'activité effusive se poursuit toujours et connaît même un regain depuis hier après-midi. Les nouvelles coulées ont entièrement recouvert les coulées des deux éruptions précédentes. Une reconnaissance par les volcanologues de l'OVPF est prévue aujourd'hui. (source: OVPF)


Dépêche n°
2812 du 18-12-2008
Santa Maria, Guatemala, 3772 m

Hier, trois nouvelles coulées pyroclastiques se sont formées sur le dôme Caliente du Santiaguito. Toutes, regroupées le matin (04:48, 05:50, 08:53, heures locales) ont été produites par des explosions d'intensité modérée (source: INSIVUMEH).


Dépêche n°
2811 du 17-12-2008
Tungurahua, Equateur, 5023 m

Après cinq mois de trève pour les populations, l'activité est de retour au Tungurahua depuis avant-hier soir. Des épisodes de trémor accompagnent des explosions assez faibles qui produisent des panaches peu importants et contenant des quantités variables de cendres. Des blocs incandescents ont été expulsés par certaines d'entre elles, et de faibles chutes de cendres ont été rapportés dans la localité de Runtun (source: I.G d'Equateur).


Dépêche n°
2810 du 17-12-2008
Santa Maria, Guatemala, 3772 m

L'activité explosive se maintient toujours à un niveau faible sur le dôme Caliente du complexe Santiaguito. Les explosions, faibles à modérées, ont toutefois donné naissance à une coulée pyroclastique avant-hier. Par ailleurs, la lave lentement extrudée au sommet du Caliente continue d'alimenter l'épaisse et très courte coulée qui s'épanche sur le versant sud-ouest. La déstabilisation de son front donne naisance à de nombreuses avalanches de blocs (source: INSIVUMEH).


Dépêche n°
2809 du 17-12-2008
Pacaya, Guatemala, 2552 m

Avant-hier le Pacaya a connu un changement d'activité avec l'apparition d'explosions stromboliennes au sommet du cône Mac Kenney, ces dernières expulsant blocs et bombes jusqu'à 50 m de hauteur. L'activité effusive se poursuit toujours sur le versant sud-est du cône Mac Kenney, donnant naissance à plusieurs lobes de lave (entre 2 et 5 selon les jours). Les coulées ont pu être observées depuis la côte Pacifique (source: INSIVUMEH).


Dépêche n°
2808 du 16-12-2008
Chaitén, Chili, 1122 m

La croissance du second nouveau dôme se poursuit et s'accompagne toujours de déstabilisations de sa carapace superficielle. Ainsi se forment des avalanches de blocs et cendres, et des panaches parfois importants visibles sur la webcam installée dans la ville de Chaitén, et relevés par le VAAC de Buenos Aires. Les volcanologues du SERNAGEOMIN explorent les scénarii possibles si ce dôme continue sa croissance actuelle. L'un d'entre eux fait intervenir l'ancien dôme, maintenant écrasé par le poids des deux nouveaux dômes qui se sont édifiés. Cet ancien dôme, fortement altéré par le dégazage qui accompagne l'éruption, est maintenant fragilisé : il est donc envisageable qu'il s'effondre, ce qui entrainerait une destabilisation des deux nouveaux dômes et une explosion latérale dirigée vers le sud, en direction de la ville de Chaitén. Un autre scenario envisageable (et pas forcément incompatible avec le premier) est le remplissage complet de la caldera soit par la seule édification du dôme n°2 (ce qui lui confèrerait un énorme volume), soit par l'édification d'un troisième dôme (ou plus). Une fois la caldera comblée, le dôme se mettrait alors à déborder en dehors de celle-ci. A noter qu'en direction du sud, les avalanches de blocs et cendres liées à la croissance des nouveaux dômes ont encombré la partie amont du Rio Chaitén, ce qui pourra être la source de lahars importants en direction de la ville éponyme lors des futures pluies. Le niveau d'alerte volcanique est maintenu au rouge. (source: SERNAGEOMIN).


Dépêche n°
2807 du 16-12-2008
Piton de la Fournaise, France, 2631 m

L'éruption débutée hier se poursuit, bien que le trémor se soit légèrement affaiblit (source: OVPF).

Dépêche n°2804 du 15-12-2008
Dukono, Indonésie, 1185 m

Le VAAC de Darwin a rapporté, ce matin, la présence d'un panache de cendres en provenance du Dukono. Les cendres ont été détectées à une altitude de 3000 m environ (source: VAAC de Darwin).

Dépêche n°2802 du 14-12-2008
Puracé, Colombie, 4650m

L'observatoire INGEOMINAS de Popayan a émis hier un bulletin concernant le Puracé dans lequel il est indiqué que l'édifice montre un accroissement de sa sismicité depuis le 12 décembre. Les secousses possèdent les caractéristiques propres aux mouvements de fluides, et les épicentres se trouvent à la verticale de la mine de soufre "El Vinagre", à une profondeur de 2,8 km. Les travailleurs de la mine n'ont rien ressenti de ces secousses, dont la magnitude n'excède pas 1 (échelle de Richter). Aucun phénomène de surface (fumerolle, etc) n'a été observé pour le moment. Au total, en 24 heures, ce sont tout de même 625 secousses qui ont été enregistrées (source: INGEOMINAS).

Dépêche n°2796 du 11-12-2008
Barren Island, Inde, 354 m

Une équipe de tournage se trouvant en ce moment sur Barren Island nous a contacté hier en nous indiquant que l'éruption est bel et bien toujours en cours sur l'île. Il s'agit d'une activité strombolienne, accompagnée d'une coulée relativement peu active car invisible le jour. Ils n'ont malheureusement pas pu aller sur l'île car les gardes-côtes leur ont barré l'accès (source: équipe de Saint-Thomas Production).

Dépêche n°2794 du 10-12-2008
Fuego, Guatemala, 3763 m

Bien que l'activité du Fuego reste sur le même modèle que ces derniers mois (activité explosive de style strombolien au sommet et coulée), elle connaît un un accroissement ces derniers jours. Les explosions sont un peu plus puissantes et la coulée mesure maintenant plus de 500m de long. Le front de cette dernière, se trouvant dan une pente forte, s'émiette et donne d'abondantes avalanches de blocs incandescents qui roulent dans la pente de la ravine Ceniza et atteignent maintenant la limite de végétation (source: INSIVUMEH).

Dépêche n°2792 du 08-12-2008
Batu Tara, Indonésie, 748 m

Une anomalie thermique repérée hier par le capteur MODIS, et un bulletin émis aujourd'hui par le VAAC de Darwin, indiquent que l'activité semble se poursuivre sur l'île de Batu Tara. toujours aucun détail n'est transmis sur ce qui se passe réellement sur cette île isolée (sources: VAAC de Darwin; MODIS).


Dépêche n°2791 du 07-12-2008
Stromboli, Italie, 926 m

L'INGV de Catane a fait part dans ces derniers bulletins d'une explosion particulièrement forte hier soir à 21h48 (d'une puissance 3 fois supérieure au dernier événement de ce type le 29 février 2008). Cet événement a duré 2 minutes et a été suivi de retombées de blocs sur les parties hautes du volcan et dans la Sciara del Fuoco. Depuis, l'activité sismique et volcanique a repris des valeurs habituelles (source : INGV Catania).


Sources
Activolcans

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27 décembre 2008 6 27 /12 /décembre /2008 06:24
Koronas-Photon étudiera le Soleil



Par Iouri Zaitsev,
conseiller titulaire de l'Académie des sciences du génie



Les tests complexes de l'appareil spatial Koronas-Photon sont achevés. La Commission officielle a pris la décision, le 10 décembre, de l'acheminer jusqu'au cosmodrome de Plessetsk pour les préparatifs d'avant lancement. Selon les projets de Roskosmos (Agence spatiale russe), le tir aurait dû avoir lieu au quatrième trimestre de cette année. Mais, on y est habitué, pour achever une entreprise qui s'étale sur plusieurs années, il manque toujours quelques jours. C'est la raison pour laquelle le lancement ne pourra être réalisé qu'au début de l'année prochaine.


Koronas-Photon sera le premier satellite scientifique russe mis sur orbite depuis près de dix ans, et le troisième appareil spatial de la série Koronas (initiales russes pour Observations spatiales orbitales circumterrestres de l'activité du Soleil) du Programme russe à long terme d'étude du Soleil et des liens Soleil-Terre. Ces trois appareils sont des observatoires orientés vers le Soleil, permettant de réaliser des observations d'ensemble du Soleil dans la totalité de ses gammes de rayonnement. Cela donne la possibilité d'étudier aussi bien la structure de notre astre que son atmosphère, ainsi que la nature et les mécanismes des diverses manifestations de l'activité solaire. Par exemple, l'origine et l'accélération du vent solaire, qui exerce une influence directe sur la Terre et l'espace circumterrestre ; ou bien les mécanismes de pénétration des différents types d'énergie solaire à l'intérieur de la magnétosphère et dans l'ionosphère de la Terre.


Les aspects concrets de ces recherches consistent à mettre en évidence l'influence de l'activité du Soleil sur l'atmosphère et la biosphère de la Terre, sur l'organisme de l'homme et les structures technogènes - lignes électriques, systèmes de canalisations et de conduites, etc.


A la différence de ses prédécesseurs, Koronas-Photon est destiné à réaliser des observations du Soleil dans une gamme de rayonnements plus durs - X et gamma. L'un des principaux objectifs de cette mission est d'étudier les processus d'accumulation de l'énergie et de sa transformation en énergie de particules accélérées lors des éruptions solaires, et la corrélation entre l'activité solaire et les processus physico-chimiques dans l'atmosphère supérieure de la Terre. Les chercheurs espèrent découvrir, en particulier, comment le rayonnement solaire se modifie avec l'augmentation de l'activité de notre astre et comment ces modifications se répercutent sur les processus climatiques de notre planète. C'est important si l'on veut distinguer l'influence qu'exercent respectivement sur le climat terrestre le Soleil et l'activité de l'homme. Cela permettra de comprendre si le réchauffement global annoncé est la conséquence d'une action anthropogène ou si la cause est à rechercher dans les mécanismes de l'activité de cette étoile, la plus proche de nous.


Voilà bien des années que l'activité du Soleil se trouve à son niveau le plus élevé depuis qu'existent les observations de notre astre. On a noté dans le même temps, à l'échelle géologique, un net réchauffement climatique. Il est tout à fait possible que la pollution anthropogène de l'environnement soit pour quelque chose dans ce processus. Toutefois, de l'avis de nombreux chercheurs, le plus probable est qu'il existe un lien entre les changements climatiques globaux et le Soleil.


Nous en voulons pour exemple l'activité solaire nettement moindre constatée lors de seconde moitié du XVIIe siècle. C'est précisément à cette époque que l'on avait observé en Europe une baisse considérable des températures annuelles moyennes : on avait alors assisté à ce que l'on a appelé le "petit âge glaciaire". On estime que cela avait été lié à une diminution de l'incidence solaire sur le climat terrestre.


Le lien empirique entre l'activité de notre astre et les processus les plus divers sur notre planète a été mis en évidence il y a longtemps déjà. L'augmentation de l'intensité de ce que l'on appelle le vent solaire - ce flux de plasma de la couronne solaire, qui s'accroît brusquement avec le renforcement de l'activité solaire - provoque non seulement des aurores boréales, mais aussi des perturbations dans la magnétosphère de la Terre. Les tempêtes magnétiques, à leur tour, peuvent engendrer des pannes sur les lignes de communication et les lignes électriques, sur les systèmes de conduites de gaz et de pétrole ; elles influent directement sur la santé des gens, sur leur santé non seulement physique, mais aussi psychique.


Durant les onze années du cycle de l'activité solaire, il se produit en moyenne environ 600 tempêtes magnétiques - des oscillations du champ magnétique de la Terre dans son ensemble, qui apparaissent à la suite de la collision avec notre planète du plasma rejeté du Soleil. Ce faisant, l'atmosphère se réchauffe et s'étend : elle "gonfle", littéralement. Le résultat peut être, par exemple, que des satellites qui "volent bas" soient freinés et quittent même prématurément leur orbite. C'est la raison pour laquelle la station orbitale américaine Skylab et la station orbitale soviétique Saliout-7 se sont consumées dans l'atmosphère. Saliout-7 avait été mis en état d'hibernation, car l'on se proposait de la réutiliser au bout de quelques années en régime habité. Lors de sa chute vers la Terre, la station était devenue incontrôlable, ce qui aurait pu avoir de graves conséquences. Selon les statistiques mondiales, les dépenses consacrées à rétablir le fonctionnement des engins spatiaux ayant souffert des manifestations de l'activité solaire se montent annuellement à une centaine de millions de dollars.


L'électronique, tant spatiale que terrestre, souffre tout particulièrement de la radiation solaire. Aujourd'hui, les Terriens dépendent tellement de la radio-électronique qu'une activité solaire d'intensité élevée pourrait désorganiser le fonctionnement des systèmes vitaux à l'échelle planétaire.


Les prévisions de la "météo" spatiale sont importantes, aussi, pour les vols habités.


Selon les représentations de notre époque, on distingue trois types de radiation spatiale : les rayons cosmiques galactiques (RCG), les rayons cosmiques solaires et la ceinture de radiations de la Terre.


Les RCG se présentent sous la forme de noyaux d'éléments chimiques accélérés à une énergie élevée, parmi lesquels prédominent des noyaux d'hydrogène, d'hélium et d'autres éléments légers. De par leur capacité de pénétration, ils surpassent tous les autres types de radiations, excepté les neutrinos. Pour absorber totalement les RCG, il faudrait un écran de plomb de 15 mètres d'épaisseur. Leur intensité dépend très fortement de l'activité solaire. Le rayonnement solaire influe sur les champs magnétiques interplanétaires, lesquels, à leur tour, dispersent les particules galactiques, les empêchent de pénétrer dans les régions internes du Système solaire. Par conséquent, durant les années de maximum d'activité solaire, leur flux diminue, tandis qu'il augmente lors des années de minimum.


On estime que durant la période du vol prévu des Terriens vers Mars (2018-2026), l'activité solaire sera considérablement inférieure à ce qu'elle est actuellement, note Youri Kotov, chef du projet Koronas-Photon et directeur de l'Institut d'astrophysique de l'Institut d'ingénierie physique de Moscou (MIFI). Et c'est précisément à ce moment, souligne-t-il, que peut augmenter l'intensité du flux de protons qui créent la principale menace pour la santé et la vie des cosmonautes. Les chercheurs disposent toutefois de suffisamment de temps pour élaborer des mesures efficaces de nature à assurer la sécurité de cette mission habitée vers Mars.

Sources
Ria Novosti

Posté par Adriana Evangelizt

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27 décembre 2008 6 27 /12 /décembre /2008 06:23

Alors là, très drôle, si l'on puit dire. Car Claude Allègre et les trois chercheurs de l'IPGP se sont mis à dos les "chercheurs patentés" parce qu'ils sont persuadés que le réchauffement climatique n'est pas dû à l'activité humaine. Pour eux, il y a une corrélation entre les variations du champ magnétique terrestre, du rayonnement solaire et des températures à la surface du globe. Et ils ont raison. Car les pôles magnétiques terrestres sont en train de basculer comme on peut le voir dans des videos ICI. Le Soleil est entré dans son 24 e cycle, ce que les chercheurs russes ont bien signalé. Eux aussi pensent que le Soleil n'est pas neutre dans le réchauffement climatique. La Terre est en train de nous préparer une catastrophe planétaire comme il y a 12 960 ans mais les "scientifiques patentés" -qui palpent des milliards pour raconter des sornettes et induire en erreur le populo- continuent de désinformer.





Des géophysiciens proches de Claude Allègre accusés de népotisme




Trois chercheurs de l'Institut de physique du globe de Paris (IPGP) sont accusés d'être intervenus pour publier dans une prestigieuse revue des articles de scientifiques issus de leur institut, devenant ainsi à la fois juge et partie, rapporte Le Monde vendredi.


L'actuel directeur de l'IPGP Vincent Courtillot, Paul Tapponnier et Claude Jaupart ont chacun siégé au comité éditorial de Earth and Planetary Science Letters (EPSL), respectivement de 2003 à 2005, de 1992 à 1996 et de 2006 à 2008, selon le journal.


Plusieurs dizaines de fois, ils se sont emparés d'articles soumis à EPSL par des membres de l'IPGP, au mépris des lignes de conduite éthiques que doivent respecter les membres du comité éditorial de cette publication du groupe de presse néerlandais Elsevier.


"Nous n'avons identifié aucun autre cas de grand nombre d'articles provenant d'une institution et traités par un membre de la même institution", a déclaré au Monde Friso Veenstra, responsable de la publication d'EPSL, alerté l'été dernier.


Suite à une étude bibliométrique, M. Veenstra estime que certains des articles incriminés "n'auraient pas dû être publiés", car ils n'ont pas été suffisamment cités par d'autres auteurs. En conséquence, l'IPGP a été exclu du comité éditorial d'EPSL, poursuit le Monde.

Selon les chercheurs mis en cause, il ne peut y avoir de stricte séparation entre auteurs et relecteurs dans leur petite communauté de spécialistes. "Lorsque j'étais éditeur à EPSL, c'est à moi qu'étaient soumis les papiers de paléomagnétisme en provenance du monde entier", se défend M. Courtillot dans Le Monde.


L'affaire éclate au moment où le nom de l'ancien ministre socialiste Claude Allègre, lui-même ancien patron de l'IPGP et auteur de plusieurs articles publiés par EPSL et relus par ses ex-collègues, est à nouveau cité pour un poste ministériel.


M. Allègre, qui considère que la responsabilité de l'homme dans le réchauffement climatique n'est pas établie, s'est fait des ennemis chez les climatologues, dont il nie la légitimité.


Il y un an, M. Courtillot avait déjà été accusé de manque d'intégrité par d'autres scientifiques pour avoir publié, également dans EPSL, des données tronquées dans le but d'accréditer sa thèse d'une corrélation entre les variations du champ magnétique terrestre, du rayonnement solaire et des températures à la surface du globe.

 


Sources AFP

Posté par Adriana Evangelizt

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27 décembre 2008 6 27 /12 /décembre /2008 06:21

Voilà le genre d'articles qui raconte n'importe quoi. Ils disent que l'Asie-Pacifique se trouve menacée de catastrophes naturelles de grande ampleur à cause du réchauffement climatique, de l'explosion démographique et de la pénurie alimentaire. Cette information vient d'Australie où se trouve l'antenne souterraine de Pine-Gap dont personne ne parle jamais. Cette antenne se trouvant dans un trou de 8 à 15 km de profondeur et servant à capter les signaux des sous-marins soit disant. D'autres disent à recharger leur batterie par les émissions ELF, voir ce site où ils en parlent ICI. Là, c'est un peu comme HAARP (video),  -voir aussi le rapport du GRIP présenté au Parlement Européen, Haarp, science ou désastre ?- le plus grand flou règne quant aux expériences qui y sont menées. Mais quand on sait que le Pentagone y a sa poigne dessus, on ne peut qu'être dubitatif. Les individus sans scrupules qui mènent des expériences avec le bouclier magnétique de notre planète vont sans doute précipiter la Catastrophe planétaire qui se prépare. J'ai déjà posé Mercredi 24 sur Apocalypse une video en FR et un autre avec un article en anglais où il est question d'une brèche géante ouverte dans le champ magnétique terrestre. Je vous ferai remarquer qu'aucun media patenté n'en a parlé. Et pourtant la nouvelle est d'importance et concerne toute l'Humanité. Car cela signifie que toutes les particules et radiations cosmiques peuvent maintenant atterrir sur notre planète sans problème.

A voir sur mon autre blog, les videos que j'ai posé :

Inversion des pôles, la Terre, cet Aimant géant

Une série de videos où dans la dernière, il est question du basculement des pôles magnétiques qui entraînerait le basculement des pôles géographiques, voilà pourquoi il y eu le déluge dont il est fait mention dans la Bible : La Terre en expansion

Très intéressant aussi sur le danger du méthane qui est en train de remonter à la surface :
Mystère des profondeurs

Pour comprendre que des éruptions planétaires se sont déjà produites par le passé et que là, nous y sommes à deux doigts, trois videos Supervolcans

Trois videos intéressantes sur l'Apocalypse 2012, en relation avec les catastrophes naturelles L'Apocalypse ou la Fin du Monde

Une video intéressante sur le Mascaret, notamment le passage qui se déroule en Chine où une vague gigantesque fait son apparition tous les ans, on la surnomme depuis la nuit des temps le Serpent Noir... Mascaret. Ce qui prouve bien que tous les symboles que l'on trouve dans l'Apocalypse sont en rapport avec des catastrophes et phénomènes naturels mais les peuples anciens dans leur inculture croyaient que Dieu en était le responsable. Et les religieux, bien entendu, les maintenaient dans leur Ignorance. Vous verrez d'ailleurs que les prêtres sacrifient toujours des animaux pour conjurer ce fait.

Je vous conseille de vous abonner à la newsletter Apocalypse car à partir d'aujourd'hui, je vais commencer à poser le véritable décryptage de l'Apocalypse et vous prouver que la Catastrophe qui se prépare, nommé Jugement dernier par les religieux, est bien présente dans cette tradition ancestrale léguée en témoignage par les Anciens.

Et pour en revenir à l'article qui dit que l'Indonésie et les Philippines sont menacées d'une catastrophe d'ampleur, j'ose dire que c'est le monde entier qui est en danger, y compris la France. Depuis le 19 décembre, donc en huit jours, pas moins de 25 séismes ont eu lieu dans le monde dont CINQ en Europe - Portugal, Italie, Belgique, Suède, Bulgarie-, tous les continents sont touchés y compris l'Amérique du Nord et du Sud.

La Terre est en période de travail, le fameux passage -dont j'ai déjà parlé ICI- où il est question d'une femme dans les douleurs est complètement d'actualité, n'en déplaise à ceux qui m'écrivent pour me traiter d'Illuminée ! Je sais ce que je dis et je sais ce qu'il va advenir sous peu. L'image est très parlante, il s'agit de la Terre...

Un grand signe parut dans le ciel: une femme enveloppée du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête.

Elle était enceinte, et elle criait, étant en travail et dans les douleurs de l'enfantement.
Apocalypse 12, 1 et 2.


Maintenant, que j'ai "repris" contact avec elle, notre Mère, le texte de l'Apocalypse, de Daniel, d'Ezechiel, mais bien avant de Moïse -dont la Loi Orale a été dénaturée- sont très parlants. Si les religieux ne nous avaient pas menti, tout le monde saurait...


L'Asie-Pacifique menacée de catastrophes naturelles d'ampleur (étude)



L'explosion démographique et les effets du réchauffement climatique risquent d'amplifier l'effet des catastrophes naturelles en Asie-Pacifique, selon la presse australienne de vendredi citant une étude gouvernementale.


Selon un rapport de l'institut public Geoscience Australia cité par le Sydney Morning Herald, la Chine, l'Indonésie et les Philippines comptent parmi les pays les plus exposés de la région face aux séismes qui pourraient faire jusqu'à un million de morts.

L'explosion démographique, le réchauffement climatique et les pénuries alimentaire risquent de décupler l'effet des catastrophes (séismes, tsunamis et éruptions volcaniques) au cours des prochaines années, relève l'étude.


Ses conclusions ont conduit le Premier ministre australien Kevin Rudd et le président indonésien Susilo Bambang Yudhoyono à créer un centre de recherches et d'entraînement conjoint consacré aux catastrophes naturelles, selon le journal.


L'institut Geoscience Australia n'a pu être joint.


Quelque 220.000 personnes avaient péri le 26 décembre 2004 lors d'un tsunami qui avait ravagé les côtes de l'Asie du Sud-Est et tout particulièrement l'Indonésie.

Sources
Le Monde

Posté par Adriana Evangelizt

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27 décembre 2008 6 27 /12 /décembre /2008 06:20

Je pose cet article sur Nibiru car dans ma recherche, j'ai trouvé quelque chose en rapport avec cette mystérieuse étoile qui se rapprocherait du Soleil et influerait sur la Terre à date fixe. On trouve la corrélation avec le jeu du Tarot. Je vous explique un peu. Le Jeu du Tarot dit divinatoire est une tradition qui vient d'Egypte. Les 22 arcanes correspondent au 22 lettres hébreues dont l'origine se trouve en Egypte. Ces 22 arcanes correspondent au Livre Codé de Thot mais ils sont aussi les 22 sentiers de l'Arbre de la Qabbale qui reflètent les structures identiques de l'homme et de l'Univers. Les 12 premières lettres correspondent aux 12 constellations zodiacales. L'arcane XVII se nomme l'Etoile. Or que voit-on sur cette carte ? Une femme en train de verser de l'EAU, symbole du Verseau, avec au-dessus de sa tête un Soleil entouré de 7 planètes. Est-ce que cela ne correspondrait pas à l'alignement dont il est question au sujet de cette fameuse planète X lors de l'entrée dans l'ère du Verseau ? Voilà encore des symboles qui ont traversé le temps et que les voyants et astrologues ont complètement dévoyé. Car, à la base, les Coupes, Bâtons, Epées, Denier correspondaient aux Quatre Eléments et sont devenus des piques, coeurs, carreau et trèfle. D'autre part, après l'Etoile, on trouve la Lune, le Soleil, le Jugement, le Monde -quatre cartes en rapport avec une catastrophe cosmique- et le Mât -symbole de l'homme qui n'est que de passage en ce bas-monde avec son baluchon sur le dos. Or justement, ces arcanes correspondent à ce qui va se passer avec notre Terre et sont en corrélation avec les mêmes symboles dans l'Apocalypse. J'expliquerai cela plus longuement.  


NIBIRU - PLANETE X


A la recherche de la dixieme planète


La NASA a cherché longtemps cette planète éxclusive et cherche encore aujourd'hui.

Les Sumériens conaissaient déjà l'existence de la planete il y a 6000 ans !

Nibiru, (en sumérien) la planète mythique, a reçu différents noms à travers les âges. Les Babyloniens et les Akkadiens l’appelaient Mardouk (Marduk), ce qui signifie en Akkad "grand Astre du Ciel" ou "Roi des Cieux" (cependant dans la plupart des textes babyloniens, Marduk, le dieu de Babylone, souverain des dieux et des hommes est identifié avec la planète Jupiter).

Les Égyptiens et les anciens Hébreux la représentaient sous la forme d’un disque ailé à cause de son immense orbite elliptique en forme d’ailes déployées, les Grecs l’appelaient " Nemesis". Les Prophètes l’ont rebaptisée "Étoile Rouge" ou " Croix de la Destinée", ainsi que " Messager Ardent" et "Comète de la Fatalité".

L’Apocalypse de Saint-Jean mentionne cet astre, le baptisant du nom "d’Absinthe, amertume", [Apoc. VIII, 11]. Cette planète gigantesque, habituellement désignée sous le nom d’ Hercólubus (ou Hercolobus), est appelée par certains la "Planète Froide" et d’autres la nomment la "Planète Rouge" ; elle est incontestablement beaucoup plus grande que Jupiter, le géant colossal de notre système solaire.

Selon les mythes, les Nibiriens (le peuple de Nibiru), sont souvent appelés les Anunnaki, en Hébreu ce sont les Nephilim (ceux qui sont descendus des cieux sur Terre), Elohim (pluriel de Dieu), ou encore Marduks ou Mardukiens.

Dans l'Antiquité, au moins cinq planètes de notre système solaire étaient connues des astronomes : Mercure, Vénus, Mars, Jupiter, Saturne, qui avec le Soleil et la Lune étaient les seuls corps errants dans la sphère des étoiles fixes et ont ainsi donné leur nom aux jours de la semaine. Depuis le 16ème siècle jusqu'à nos jours une pléthore d'objets est venue peupler le système solaire connu et le nombre de planètes est désormais porté à neuf depuis la découverte de Pluton en 1930. Cependant, un texte majeur d'astronomie le "Mul. Apin" (1000 avant J.-C) liste 66 constellations (ou astérismes). Première carte céleste connue (découverte à Ninive). C'est un planisphère en argile, divisée en 8 sections, et montrant une ou deux constellations avec les étoiles importantes (Sirius, l'Épi, Pégase, la Balance, etc.).

En 1978, 2 astronomes de l'observatoire de la Marine US à Washington, R. Harrington et T. Van Flanders établirent que les orbites de Neptune et Uranus avaient subi des perturbations venant de l'attraction gravitationnelle d'un mystérieux corps céleste non identifié et qui fut appelé la PLANETE X pour traduire à la fois son caractère énigmatique et le rang de dixième planète qu'elle occuperait au sein du système solaire. L'existence d'une planète au-delà de l'orbite de Pluton a été avancée pour rendre compte des perturbations observées sur le mouvement d'Uranus et Neptune, perturbations que la présence de Pluton seule n'arrivait pas à expliquer. Toutefois, les recherches visant à la mettre en évidence sont restées vaines, mais on a découvert depuis 1992 des astéroïdes trans-neptuniens. On attribue l'existence de ces astéroïdes à la présence d'une vaste région au-delà de l'orbite de Neptune peuplée de planétésimaux (stéroïdes et noyaux cométaires) : la ceinture de Kuiper.

Cette étoile brune et un groupe de comètes arrivent dans notre système solaire en même temps. Comme le "feu" s'est éteint il y a longtemps, cette naine brune ne donne pas de lumière. Cette étoile brune, compagne du soleil, a une masse qui représente 56% de la masse du soleil. Quand elle commencera réellement à approcher le système solaire, et qu'ils tournent en tandem, cela signifie que le soleil commencera à sentir sa gravité. Un léger effet de "vacillement" sera perceptible sur Terre par des mesures. Le basculement des pôles est cyclique (100.000 ans), cette perturbation magnétique sert simplement de mécanisme de déclenchement.

Cette mystérieuse planète aurait précédemment éjecté Pluton et Charon de leurs anciennes positions (comme satellites de Neptune). Selon des astronomes, la planète X était une intruse que le soleil aurait piégé dans une orbite très excentrique, très inclinée sur l'écliptique. Cette planète aurait 3 aux 4 fois la masse de la terre. Depuis fort longtemps les astronomes sont pour la plupart convaincus qu'il existe réellement une planète supplémentaire dans notre système solaire, raison pour laquelle elle fut appelée la 10e planète ou planète X.


À LA RECHERCHE DE LA PLANETE X

Même la NASA en 1982 va reconnaître l'existence possible d'une planète X. Puis, en 1983, le satellite Iras repère dans l'espace lointain un objet mystérieux, ainsi que le rapporte le 30 décembre 83 le Washington Post après avoir interviewé le responsable de l'Iras qui déclare "un corps céleste, peut-être aussi gros que la planète Jupiter et peut-être orienté vers la terre au point de faire partie du système solaire, a été découvert dans la direction de la constellation d'Orion par un télescope en orbite... nous ne savons pas ce que c'est".


Dans les années qui suivirent, on fut plus discret, mais les recherches continuèrent indiquant que X. devait avoir une orbite inclinée de 30 degrés sur l'écliptique, qu'elle devait se trouver trois fois plus loin du soleil que Pluton et avoir 3 à 4 fois la masse de la terre.

En 1987, la NASA reconnaît officiellement l'existence de cette planète, ainsi que le rapporte Newsweek du 13/7/87 "... La semaine dernière, la NASA fit une déclaration étrange : une 10e planète, excentrique, pourrait être en orbite (ou non) autour du soleil...".
Le 7 avril 2001, le rapport de Science News titre "l'orbite singulière d'une comète suggère une planète cachée " écrit " bien au-delà des neuf planètes connues un objet aussi massif que Mors pourrait avoir fait partie de notre système solaire et pourrait bien s'y trouver encore".

Ci-contre: Observation de Sedna par le télescope spatial Hubble


Cet article rapporte la découverte par une équipe d'astronomes, l'année précédente, d'une comète désignée cette fois-ci sous le nom de 2000-CR/105, sur une orbite solaire elliptique qui la situe à 4,5 milliards de kilomètres du soleil et (ajoute Sky And Télescope du 05/04/2020) cette orbite à une périodicité de 3300 ans (3600 ans selon d'autres sources).

Une autre étude de l'équipe de L'observatoire de Nice Côte d'Azur, parue dans Icare suppose que l'orbite de la comète pourrait être l'œuvre d'une planète encore invisible aussi grosse que Mars. La mystérieuse planète alimente les conversations des astronomes et des ufologues... De toute évidence la planète est bien là, toujours aussi mystérieuse. Certain prophétisent le retour, dans les temps présents, de cette planète, qui se nommerait "Nibiru" (la Nibiru des Sumériens).

La dixième planète peut être plus grande que prévue. Les astéroïdes, les comètes, et des objets de la ceinture de Kuiper changent considérablement dans leurs signatures infra-rouge en fonction de leur chaleur interne. Une erreur d'observation a pu avoir minimisé la taille de la dixième planète. Le télescope qui avait estimé l'objet céleste temporairement appelé Xena (2003UB313) à partir de sa cible infra-rouge était mal positionné lors de cette mesure qui avait été enregistrée dans les bases de données des astronomes.


XENA - SEDNA - QUAOAR - ET LES AUTRES ...

Rappelons ce que sont les objets de Kuiper et de Oort. Ces objets se trouvent dans des zones dans lesquelles des calculs théoriques placent plusieurs milliards de "petits" corps glacés en orbite autour du Soleil. Comme l’existence de Neptune a été prédite par l’observation de l’orbite d’Uranus avant sa découverte effective au télescope, Ceinture de Kuiper et Nuage de Oort ont été "prédits" bien avant que leurs premiers objets soient réellement observés. Les comètes ne seraient que des objets de Kuiper ou de Oort que des perturbations orbitales amènent près du soleil. Les premiers objets de Kuiper observés ont été découverts en 1992. Ceinture de Kuiper et Nuage de Oort sont les grands oubliés des représentations classiques du système solaire. Il est vrai qu’ils ne représentent que 99,9999 % de l’espace occupé.

Les représentations de Pluton, Quaoar, Sedna et Xéna ne sont que des dessins correspondant à une
estimation, la surface de ces astres n’ayant jamais pu être photographiée avec une bonne résolution.

Si une dixième planète existe, il est peu probable qu'elle soit originaire du système solaire : des études détaillées de l'écliptique ont été prises en compte, concluant qu'aucune planète de la taille de la terre ou d'une taille supérieure ne pouvait exister sur le plan de l'écliptique à une distance plus petite que 60 UA. Par conséquent, une dixième planète devrait être sur une orbite fortement inclinée, et par conséquent avoir été capturée par le système solaire et non formée en même temps que lui. Divers objets de grande taille (plus petits que Pluton mais plus grands que 1 Cérès) tels que Sedna, Quaoar, Xena ou Orcus ont été découverts, mais ils ne correspondent pas aux objectifs de la recherche, la plupart des astronomes s'accordant à dire qu'ils seraient trop petits pour être considérés comme des planètes. Cependant les mesures des bases de données des astronomes sont peut-être erronés !

SEDNA

Mike Brown, Chad Trujillo (Observatoire Gemini) et David Rabinowitz (Université de Yale) ont découvert Sedna (2003VB12), le premier objet du Nuage d'Oort le 14 novembre 2003 au moyen du télescope de 1,2 mètre Samuel Oschin de l’Observatoire du Mont Palomar, près de San Diego. En l’espace de quelques jours, la découverte fut confirmée par des observations réalisées en Espagne, au Chili, en Arizona et à Hawaii. Spitzer, le nouveau télescope spatial de la Nasa, a également été braqué en direction de Sedna.

Cet objet, le plus distant tournant autour du soleil, est presque aussi grand que Pluton et il est situé à une distance équivalente à trois fois la distance entre Pluton et notre étoile. Situé dans un espace estimé vide par les astronomes, celui-ci est plus rouge et plus lumineux que n’importe quel objet du système solaire.

Il est possible que Sedna appartienne à un groupe de corps célestes formés suite à une perturbation gravitationnelle engendrée par une étoile passant près du Soleil aux premiers jours du système solaire.

Selon Mike Brown, cette étoile se serait rapprochée suffisamment près de la Terre pour briller plus que la pleine Lune et aurait été visible en plein jour durant 20000 ans. Elle aurait délogé les comètes situées dans le Nuage de Oort conduisant à un intense bombardement cométaire qui aurait pu être à l'origine de la vie sur Terre!

L’objet, nommé Sedna (en hommage à la déesse Inuit de l’Océan), est actuellement distant de 13 milliards de kilomètres, soit aux marches du système solaire. Les observations effectuées depuis la découverte de Sedna en novembre 2003, ont permis de déterminer que cette dernière suivait une trajectoire très elliptique. Les scientifiques pensent que, comme Pluton, Sedna pourrait provenir de la ceinture d'astéroides de Kuiper. En combinant les données disponibles sur ces différents corps célestes, Mike Brown estime que la taille de Sedna est environ à mi-chemin entre celle de Pluton et de Quaoar, un planétoïde plus petit découvert par la même équipe en 2002. Ces objets auraient été poussés par la gravitation des planètes géantes pendant 4,6 milliards d’années, âge actuel du système solaire.

La composition de Sedna est encore inconnue mais on estime qu’elle est composée principalement de glace et de roche. Cependant, Sedna est presque aussi rouge que Mars. La raison de cette couleur n’a pas été déterminée actuellement. La découverte de Sedna est cependant à considérer avec un certain recul.

L'institut de recherche binaire (BRI) a constaté que les caractéristiques orbitales du planétoïde récemment découvert "Sedna", démontre la possibilité que notre soleil puisse faire partie d'un système d'étoile double.

Dans un système binaire, le premier soleil tient le rôle principal en tant que force gravitationnelle. Contrairement à ce que l’on pensait dans le passé, les systèmes doubles sont maintenant considérés comme courant dans la voie lactée.

Notre soleil a t’il un compagnon ? Sedna décrit une orbite elliptique fort peu commune, qui pourrait être expliqué par un deuxième soleil dans notre système. Sedna ne devrait pas être là. Si elle s’éloigne autant de notre soleil, elle ne devrait pas revenir vers lui au-delà d’une certaine limite. L’elliptique de son orbite rend sa présence impossible sans un autre facteur gravitationnel jusqu’ici inconnu !

Sedna s’approchera un peu de la Terre dans les années qui viennent. Mais même lorsqu’il sera au plus proche, dans 72 ans, il sera en fait encore très loin, bien au-delà de Pluton. Alors il entamera le voyage de retour vers les confins du Système solaire. La dernière fois que Sedna s’est trouvée aussi proche du Soleil, la Terre sortait tout juste du dernier age glaciaire. La prochaine fois qu’elle repassera, que sera devenue la Terre? Si Sedna n'est qu'un morceau de roche glaciare, il est fort peu probable que ce soit la Planète X, la Nibiru des sumériens... En effet, si la taille de Sedna, bien que relativement grande par rapport à la plupart d'autre KBO, est trop faible, elle ne peut perturber mesurablement Neptune ou toute autre chose.


XENA
Des astronomes de l'Institut de Technologie de Californie ont découvert que Xena (2003UB313), possède une lune (elle a été repérée le 10 septembre 2005), 100 fois plus faible que "Xéna" et orbitant autour de la planète en deux semaines. XENA est bien plus grande que Pluton. Son diamètre est estimé à quelque 3000 km. D'autres mesures sont prévues, et si elles se confirment, il s'agira du plus grand objet du Système Solaire trouvé depuis la découverte de Neptune en 1846. Lors de l'annonce de sa découverte en juillet 2005, 2003 UB313 était le plus lointain des objets connus dans le système solaire. La distance actuelle de l'objet ainsi que la forte inclinaison de son orbite sont les deux raisons qui l'ont conduit à ne pas avoir été détecté avant.



XENA posssède aussi une lune. Mike Brown estime que cette lune, "Gabrielle" (Les astronomes l'ont nommée Gabrielle, en référence à la série télévisée "Xena : la Guerrière'") mesure au moins un dixième de la taille de Xéna, qui est supposée avoir un diamètre d'environ 2700 km (2274 kim pour Pluton).

La découverte de cette lune est d'importance, car elle devrait permettre d'évaluer la masse la masse de cette dixième planète. En effet, plus la masse d'une planète est grande, plus elle attire ses satellites qui subissent alors une rotation plus rapide. A l'inverse, si une planète a une masse faible, sa lune sera plus éloignée et sa rotation plus lente.

Pour calculer la taille de XENA, l’équipe de Frank Bertoldi, du laboratoire de radio-astronomie de l’Institut Max Planck, a mesuré la radiation thermique de l’objet.


Une observation réalisée par le Télescope spatial Hubble les 9 et 10 décembre 2005 avère que sa taille serait seulement légèrement plus grande que Pluton : 2400 km de diamètre soit approximativement 100 km de plus que la neuvième planète. Cette nouvelle estimation oblige à réviser à la hausse l'albédo de 2003 UB313 (0,86), ce qui en ferait l'objet le plus brillant du système solaire avec Encelade, le satellite de Saturne.


Estimer la taille de la planète s'est révélé plus ardu : même connaissant sa magnitude, les astronomes doivent en effet savoir quelle fraction de la lumière incidente elle reflète. Or, l'objet est trop distant et trop froid pour être saisi par les télescopes à infrarouge qui pourraient livrer une telle information. L'équipe estime néanmoins que la planète doit réfléchir entre 50 et 100 pour cent de la lumière incidente, ce qui lui conférerait un diamètre supérieur à celui de Pluton (2.300 kilomètres), sans excéder 3.000 km au total. En 2006 les astronomes étaient conscients que la taille de Sedna était importante et attendaient d'autres mesures plus fines pour se prononcer sur ses caractéristiques.

Depuis la découverte initiale, les astronomes ont multiplié les observations et les calculs en vue de déterminer avec davantage de précision la taille et la magnitude de la planète. Ils pensent qu'elle est proche du point le plus éloigné de l'orbite qu'elle met 560 ans à parcourir autour du soleil au point le plus proche, la planète n'en serait éloignée que de 36 fois la distance séparant la Terre du soleil. Fait inhabituel, son orbite est inclinée de 44 degrés par rapport au plan de l'écliptique où gravitent la plupart des autres planètes, ce qui, selon M. Brown, pourrait tenir à une série de passages à proximité de Neptune

XENA est actuellement situé à 97 ua du Soleil et tourne autour de celui-ci selon une orbite très inclinée (environ 45 degrés) d'environ 557 ans. XENA se trouve actuellement (2006) dans la constellation de la Baleine.

QUAOAR

Plus petit et découvert en octobre 2002, fait parti, comme Pluton, des objets de la Ceinture de Kuiper. Pluton et Quaoar seraient ainsi plus semblables à des comètes ratées, des mondes glacés dont le nom de planète est très discuté au sein de la communauté scientifique. Ils sont considérés officiellement comme des objets de la ceinture de Kuiper (des KBO) mais Pluton cumule également le titre de planète grâce à son diamètre plus important que Quaoar.

HERCOLUBUS

L’Apocalypse de Saint-Jean mentionne cet astre, le baptisant du nom "d’Absinthe, amertume", [Apoc. VIII, 11]. Cette planète gigantesque, habituellement désignée sous le nom d’Hercolobus, est appelée par certains la "Planète Froide" et d’autres la nomment la "Planète Rouge" ; elle est incontestablement beaucoup plus grande que Jupiter, le géant colossal de notre système solaire.

V. M. Rabolù, Indien d'Amérique du Sud, confirme dans "Hercolobus, planète rouge" édité en 2002, l'approche de Nibiru, qu'il a rebaptisée Hercolubus. Il décrit l'objet comme une énorme planète et confirme qu'elle influence et perturbe d'ores et déjà la Terre.

Voici ce que dit Rabolù à propos de la planète rouge : “Nous allons parler d’Hercolubus ou Planète Rouge, qui se dirige vers la Terre. Les scientifiques, selon leurs dires, l’ont même déjà pesé, il pèse tant de tonnes et mesure tel diamètre, comme s’il s’agissait d’un jouet pour enfants; mais ce ne pas ainsi. Hercolubus ou Planète Rouge est 5 ou 6 fois plus grand que Jupiter, c’est un énorme géant que rien ne peut arrêter ou dévier .../... L’axe de la Terre n’est déjà plus à sa place, et avec les secousses, les tremblements de terre, les raz-de-marée, il finira par lâcher et l’enfoncement commencera. Ne croyez pas cher lecteur, que la planète va s'enfoncer d'un seul coup. C’est un processus long, lent, angoissant”.

HYPOTHESE DE NEMESIS

Selon l'hypothèse de Némésis, le Soleil aurait comme compagnon une naine brune (une naine brune n'est ni une planète, ni une étoile, c'est en quelque sorte une étoile ratée) orbitant à grande distance. Tous les vingt-quatre millions d'années environ, son orbite traverserait une région plus dense du nuage de Oort, perturbant l'orbite de comètes qui entreraient alors en collision avec la Terre et les autres planètes.


Les naines brunes ne sont pas facilement observables, puisqu'elles n'émettent qu'un faible rayonnement dans l'infrarouge. C'est seulement depuis le milieu des années 1990 qu'on a pu établir leur existence.

Cette hypothèse a été proposée en 1983 par Richard Muller pour expliquer les grandes extinctions d'espèces, après que les deux paléontologistes David Raup et John Sepkoski aient découvert un intervalle régulier à ces extinctions.

Elle s'appuie également sur un article de 1979 par le prix Nobel de physique Luis Walter Alvarez, expliquant l'extinction des dinosaures il y a 65 millions d'années par l'impact d'un astéroïde. La remise en cause du caractère périodique des extinctions de masse rend aujourd'hui l'hypothèse de Némésis plus contestée, mais la théorie sur les grandes extinctions d'espèces l'est aussi...

Dans la mythologie Grecque, Némésis est la Déesse de la Vengeance et de la Justice distributive. Pour Hésiode, elle était fille de la Nuit; suivant d'autres, fille d'Erèbe, ou de l'Océan ou de la Justice. D'après une légende, elle était la mère d'Hélène. Némésis personnifait le loi morale qui réprouve tout excès et la jalousie divine qui frappe la propérité trop éclatante. Son temple le plus célèbre était celui de Rhammonte, en Attique. Sur les monnaies de Smyrne, Némésis était représentée debout sur un char, aux côtés d'Adrasté, la fille d'Anankê, l'index de la main droite sur la bouche pour recommander la discrétion et le silence.

Note: On donne également des noms de la mythologie à d'autres corps célestes, tels que les astéroïdes Certains astéroïdes possèdent des satellites et un satellite de l'astéroïde n°128 fut baptisée Némésis.

NIBIRU ET LES SUMERIENS

Il y a 6000 ans, la première grande civilisation sumer, fut fondée entre l'Euphrate et le Tigre, par les Sumeriens. Zecharia Sitchin (sitchin.com), historien d'origine Russe s'intéressant aux langues, à l'histoire et à l'archéologie de l'Orient ancien, conclut en 1976 une genèse de l'homo sapiens en accord avec celle des Tibétains, des Hawaiiens, des aborigènes d'Australie, des Indiens d'Amérique du Nord (Apaches, Hopis et Sioux), des Mayas (d'après le prêtre de la confrérie blanche des Mayas, Miquel Angel). Les Annunakiens des mythes Sumériens, "ceux qui descendaient du ciel sur la Terre", étaient des extra-terrestres venant d'une planète encore inconnue de notre système solaire qui fait le tour du soleil en 3600 ans, la planète Nibiru.

Il est curieux de noter que les phases évolutives de l'humanité se font au rythme de 3600 ans c'est-à-dire qu'à chaque retour de la planète Nibiru, une nouvelle phase civilisatrice commence. 11 000 ans Av. J.C. : l'agriculture ; 75 000 av. J.C. la culture néolithique puis 3800 ans av. J.C. la civilisation sumérienne.

La dernière fois que Nibiru serait passé, était à l'époque de Moïse. 1300 - 1250 ans av J.C. Deux faits furent marquant: d'abord la manne céleste. Son explication tient au fait que Nibiru, planète-comète, aurait une queue. Celle-ci, outre des particules allant du gravier aux pierres plus grosses, contiendrait des substances pétrolifères qui au contact de notre atmosphère se précipitent telle une rosée sucrée très riche en protéines et comestible. L'autre point serait l'ouverture de la Mer Rouge devant les Hébreux. Il s'est agi sous l'effet de l'attraction de Nibiru de remontées de plaques tectoniques qui ont momentanément scindé la mer en deux avant de s'effondrer engloutissant ainsi les Egyptiens. Dans ce ca, la Planète, sera au plus près de nous dans 250 à 300 ans par rapport à la date estimée de la vie de Moïse. Certains de ses passages ont été catastrophiques d'autres non. En tout cas, cela valide les écrits sumériens.

Sur le cylindre (sceau), les tailles des planètes montrées peuvent être considérées comme des approximations. Néanmoins, il est évident que Nibiru ait été considéré non seulement beaucoup plus grande que Pluton, mais également que la terre. Ce n'était donc pas "une roche glaciale" dans la ceinture de Kuiper. Nibiru, pour les Babyloniens, était le corps céleste lié au dieu Marduk. En Akkadien cela signifie "l' endroit de croisement " ou "l'endroit de la transition". Mais dans la plupart des textes babyloniens Marduk est identifié avec la planète Jupiter.

Selon des chercheurs et ufologues, les habitants de cette planète, les Nibiriens, (ou les Anunnaki, Nephilim, Elohim, Mardukiens, etc.), atterrirent sur notre Terre pour la première fois il y a environ 450.000 ans pour sauver leur planète. Ils se mirent à extraire l'or et d'autres matières premières dont ils avaient besoin et créèrent l'homo sapiens il y a 300.000 ans environ par manipulations génétiques sur des femelles d' hominiens. Ils avaient besoin d'aide, car ils ne voulaient plus extraire eux-mêmes ces matières premières. La Mésopotamie fut leur première colonie.

Marc Douby

Source:
http://secretebase.free.fr/planetes/nibiru/nibiru.htm

Sources
Québec Jeunes

Posté par Adriana Evangelizt

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