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  • : Le blog de Adriana Evangelizt
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L'Apocalypse est pour demain

 

 

 

 

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10 septembre 2010 5 10 /09 /septembre /2010 22:51

Alors... l'explosion de gaz en Californie, il est bien évident que ce n'est pas "un attentat terroriste", mais ils sont capables de dire que c'en est un pour camoufler la Vérité, à savoir qu'il y a eu beaucoup de tremblements de terre dans cet Etat, ces derniers mois, que la faille de San Andreas doit sérieusement avoir la bougeotte avec ce que Dame Terre est en train de nous préparer. Dans un de mes derniers commentaires, je parlais justement de ce qu'il adviendrait des canalisations d'eau et des lignes électrifiées s'il y avait un tremblement de terre, j'avais oublié les canalisations de gaz ! En tout cas, un témoin a bien cru que c'était un séisme, il y a eu plusieurs secousses... est-ce que l'une d'entre elles aurait fait se rompre la canalisation ??? L'eau, le gaz et l'électricité seront donc les premiers éléments dont nous serions privés en cas de grosses secousses...

 

 

 

 

 

 

Explosion au gaz meurtrière en Californie:

 

les causes de l'accident inconnues

 

 

 

 

Le gigantesque incendie provoqué jeudi soir par la rupture, pour une raison inconnue, d'une canalisation de gaz près de San Francisco, a fait 4 morts et plus de 50 blessés, un bilan qui pourrait s'alourdir alors que les pompiers luttent toujours contre les flammes.

 

L'accident s'est produit jeudi soir à San Bruno, une ville résidentielle située à trois km à l'ouest de l'aéroport international de San Francisco.

 

Toute la nuit, les pompiers ont lutté contre l'impressionnant brasier, qui a offert de la ville une image de dévastation, qualifiée de "dantesque" par plusieurs habitants.

 

Vendredi matin, le chef des pompiers de San Bruno, Charlie Barringer, avait annoncé au quotidien Los Angeles Times que six personnes avaient péri, mais le gouverneur adjoint de Californie, Abel Maldonado, a revu le bilan à la baisse, au moins temporairement, lors d'un point presse à San Bruno.

 

Selon M. Maldonado, le bilan provisoire fait état de 4 morts, plus de 50 blessés, dont trois personnes dans un état critique brûlées au troisième degré, 38 bâtiments détruits et 7 bâtiments endommagés. L'incendie, qui s'est étendu sur plus de 6 hectares, était contenu vendredi matin à 75%.

 

Le bilan pourrait cependant s'alourdir dans les prochaines heures, au fur et à mesure que les recherches avanceront dans les décombres avec l'aide de chiens.

 

"Vous avez entendu les chiffres, ils ne peuvent qu'augmenter", a averti le maire de San Bruno, James Ruane.

 

"C'est une tragédie horrible", a déclaré pour sa part M. Maldonado. "Les vies de nombreuses personnes ont été soudainement bouleversées pour toujours, et j'adresse mes prières à chacune d'entre elles", a-t-il ajouté.

 

A l'approche du 9e anniversaire des attentats du 11-Septembre, l'explosion avait réveillé les craintes d'une attaque terroriste ou d'un crash aérien, mais les pompiers ont vite établi que la déflagration était accidentelle.

 

"Nous savons qu'une canalisation de gaz s'est rompue hier vers 18H24 (01H24 GMT) mais nous en ignorons la cause. Nous allons le déterminer très vite", a précisé M. Maldonado, qui a déclaré l'état d'urgence dans la région.

 

Jeff Smith, porte-parole de la compagnie Pacific Gas & Electric, fournisseur de San Bruno en gaz et électricité, a parlé d'un accident "absolument horrible". Si l'entreprise était mise en cause, "nous en assumerions la responsabilité", a-t-il assuré.

 

Certains témoins ont rapporté que l'explosion avait creusé un cratère de plusieurs mètres de diamètre.

 

Jeudi soir, les pompiers envoyés sur place s'étaient vite retrouvés débordés par l'ampleur de l'incendie, qui dégageait une chaleur telle que les fenêtres de leurs camions, pourtant garés à bonne distance, s'étaient mises à fondre.

Les services d'urgences des hôpitaux de la région ont été mis en état d'alerte.

 

"C'est une tragédie", a déploré Karl Sonkin, porte-parole du complexe médical Kaiser Permanente. "Nous faisons de notre mieux pour traiter les patients".

 

"J'ai entendu un bruit comme celui que fait un avion lorsqu'il vole à basse altitude, et puis tout à coup la maison s'est mise à trembler", a expliqué Tina DiIoia, qui était chez elle avec son bébé au moment de l'explosion, à 800 mètres de là.

 

"Puis il y a eu une autre explosion. Je suis sortie et il y avait des débris qui volaient de partout", a-t-elle ajouté.

 

Un autre témoin a assuré à la chaîne de télévision CNN qu'il avait cru à un tremblement de terre, parlant de plusieurs secousses successives pendant une dizaine de minutes.

 

Avec Orange

 

Posté par Adriana Evangelizt

 

 

 

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4 septembre 2010 6 04 /09 /septembre /2010 14:25

Très bel article de Mister le Professeur Chems Eddine Chitour...

 

 

 

 

A quoi servent les religions : Peut-on vivre sans Dieu ?

 

 

par Pr Chems Eddine Chitour

 

Articles de l'Auteur sur Agora Vox

 

 

« L’existence est une mer sans cesse agitée par les vagues. De cette mer, les gens ordinaires ne perçoivent que les vagues. (…) tandis que la mer reste cachée sous les vagues ».

Jâmî (mystique iranien)

 

En ce début du mois de Ramadan, il nous plait de contribuer modestement  par une série de contributions au débat spirituel. Il est connu que l'inquiétude voire l’angoisse  par rapport au monde de l'invisible a toujours été une constante de l’humain. L'homme de la préhistoire était hanté par le surnaturel et avait la préoccupation de communiquer avec ce monde inconnu.  Sur de nombreux sites, les scientifiques ont découvert des pierres dressés vers le ciel, pouvant être un culte, une façon de communiquer avec les dieux en liant ciel et terre, un lieu de sépulture.  Il a marqué un fort attachement à ses origines, ses morts, ses ancêtres. Ces expressions sont l'image d'une révolution mentale, psychique de l'homme !  Pour Rémy Chauvin : « L'homme est le seul animal qui allume le feu et enterre ses morts ».

 

En 1968, Ralph Solecki découvre un squelette néandertalien abondamment entouré de pollen fossile. Rituel funéraire, geste symbolique destiné à provoquer la guérison du malade, ou à le ressusciter ?  Il y a donc au moins 30.000 ans l’homme commençait à prendre conscience de la finitude de son espèce. Il essaie alors de se concilier les éléments naturels en adorant tout ce qu’il ne pouvait pas comprendre. On explique ainsi, les cultes dédiés au soleil.   Au fur et  à mesure de sa connaissance de la nature il perfectionne  son rapport à l’au-delà.

 

Pour comprendre d’où nous venons et que représentons nous à l’échelle de l’univers  Cette  réflexion élégante du mystère de l’harmonie de l’univers nous est donnée par une série d’entretiens du philosophe Jean Guitton avec les deux astrophysiciens biens connus Igor et Grichka Bogdanov Ecoutons les :

 

« À l'échelle macroscopique pense Igor Bogdanov, , la présence de structures ordonnées caractérisant l'univers reste, en dépit de nos connaissances, un mystère. Prenons la question de l'homogénéité des galaxies : l'uniformité et l'isotropie de la distribution de la matière sont stupéfiantes ; rappelons-nous que la taille de l'univers observable est de l'ordre de 1028 centimètres ; à cette échelle, la matière a une densité uniforme que l'on peut mesurer avec précision de l'ordre de 10-5. Toutefois, à des échelles inférieures, l'univers cesse d'être homogène : il est constitué d'amas de galaxies contenant des galaxies qui, elles mêmes, sont composées d'étoiles, etc. Or, comment l'inhomogéniéité régnant à petite échelle a-t-elle pu engendrer un ordre si élevé à grande échelle ? »(1)

 

Ce à qui amène  Jean Guitton à poser la question fondamentale sur le « moteur » de cette  mécanique céleste: « Si un ordre sous-jacent gouverne l'évolution du réel, il devient impossible de soutenir, d'un point de vue scientifique, que la vie et l'intelligence sont apparues dans l'univers à la suite d'une série d'accidents, d'événements aléatoires dont toute finalité serait absente. En observant la nature et les lois qui s'en dégagent, il me semble, au contraire, que l'univers tout entier tend vers la conscience. »  

 

    « Nous touchons répond Grichka Bogdanov  là au grand mystère : Rappelons-nous que la réalité tout entière repose sur un petit nombre de constantes cosmologiques : moins de quinze. Il s'agit de la constante de gravitation, de la vitesse de la lumière, du zéro absolu, de la constante de Planck, etc. Nous connaissons la valeur de chacune de ces constantes avec une remarquable précision. Or, si une seule de ces constantes avait été un tant soit peu modifiée, alors l'univers – du moins tel que nous le connaissons –, n'aurait pas pu apparaître. Un exemple frappant est donné par la densité initiale de l'univers :si cette densité s'était écartée un tant soit peu de la valeur critique qui était la sienne dès 10-35 seconde après le big bang, l'univers n'aurait pas pu se constituer. Aujourd'hui, le rapport entre la densité critique de l'univers et la densité critique originelle est de l'ordre de 0,1; or il a été incroyablement près de 1 au départ jusqu'à laquelle nous remontons. L'écart avec le seuil critique a été extraordinairement faible (de l'ordre de 10-40) un instant après le big bang de sorte que l'univers a donc été «équilibré» juste après sa naissance. Ceci a permis le déclenchement de toutes les phases qui ont suivi. Un autre exemple de ce fantastique réglage : si nous augmentions de un pour cent à peine l'intensité de la force nucléaire qui contrôle la cohésion du noyau atomique, nous supprimerions toute possibilité aux noyaux d'hydrogène de rester libres, il se combineraient à d'autres protons et neutrons pour former des noyaux lourds. Dès lors, l'hydrogène n'existant plus, il ne pourrait plus se combiner aux atomes d'oxygène pour produire l'eau indispensable à la naissance de la vie. Au contraire, si nous diminuons légèrement cette force nucléaire, c'est la fusion des noyaux d'hydrogène qui devient impossible. Sans fusion nucléaire, non plus de soleils, non plus de de sources d'énergie, non plus de vie. (...) » (2)

    

Jean Guitton pose alors la question du hasard :

 

«   (...) Ni les galaxies et leurs milliards d'étoiles, ni les planètes et les formes de vie qu'elles contiennent ne sont un accident ou une simple «fluctuation du hasard». Nous ne sommes pas apparus «comme ça», un beau jour plutôt qu'un autre, parce qu'une paire de dés cosmiques a roulé du bon côté. Laissons cela à ceux qui ne veulent pas affronter la vérité des chiffres ». « Il est vrai conclut Igor Bogdanov, que le calcul des probabilités plaide en faveur d'un univers ordonné, minutieusement réglé, dont l'existence ne peut être engendrée par le hasard. Certes, les mathématiciens ne nous ont pas encore raconté toute l'histoire du hasard : ils ignorent même ce que c'est. Mais ils ont pu procéder à certaines expériences grâce à des ordinateurs générateurs de nombres aléatoires. A partir d'une règle dérivée de solutions numériques aux équations algébriques, on a programmé des machines à produire du hasard. Ici, les lois de probabilité indiquent que ces ordinateurs devraient calculer pendant des milliards de milliards d'années, c'est-à-dire pendant une durée quasiment infinie, avant qu'une combinaison de nombres comparable à ceux qui ont permis l'éclosion de l'univers et de la vie puisse apparaître. Autrement dit, la probabilité mathématique que pour que l'univers sait été engendré par le hasard est pratiquement nulle.(...) » (3)

 

Nous sommes donc en présence du mystère de la création de l’Univers, de la vie sous toutes ses formes et de l’avènement de l’homme ce tard venu dans l’échelle du temps et qui se prend pour le nombril du monde et n’a de cesse comme le montre l’anomie actuel  de perfectionner des armes pour  détruire son espèce et détruire  la nature par un mode de vie scandaleux. 

 

Nous allons aborder maintenant le deuxième questionnement et la nécessité d’un arbitre   transcendant Pourquoi a-t-on besoin de croire en un Dieu ? Pour trois raisons extrêmement puissantes, trois questions plus exactement, dont la résolution est donnée par les religions: a ) d’où je viens ? b) pourquoi suis-je sur Terre ? c ) où irai-je après ma mort ? Ces interrogations sont totalement insupportables à tout un chacun, quel que soit son niveau humain (c’est à dire de réflexion, d’appréhension de l’univers). Les religions, car il ne saurait y avoir Dieu sans religion répondent à ces trois interrogations : a ) je viens de la création du Seigneur qui a désiré ma venue  b ) je suis sur Terre pour servir Dieu et préparer : c ) ma vie éternelle après ma mort.   Sans foi l’athée, a d’autres réponses : je viens de la création qui s’est faite par hasard ; je suis là pour vivre ma vie, avec la signification que je lui donnerai ; après ma mort, je vais pour l’éternité dans le néant.(4)

 

Peut-on décider qu'un événement est bon ou mal si Dieu n'existe pas ? "Si Dieu n’existe pas, qui est en droit de décider de manière absolue de ce qui est bien ou mal ?" Personne. Et c'est vrai ! Comme le dit bien Dostoïevski dans Les Frères Karamazov : « Mais alors, que deviendra l'homme, sans Dieu et sans immortalité ? Tout est permis, par conséquent, tout est licite ? »  Personne n’a rien à nous dire sur notre manière de vivre. En effet, s’il n’y a pas de Dieu, alors il n’y pas de règles objectives qui dictent ce qui est bon ou mauvais.  Par conséquent, dans un monde sans Dieu, qui est en droit de dire ce qui est bien ou mal ? Qui a le droit de juger que ce qu’a fait Hitler est inférieur à ce qu’a fait l’abbé Pierre ? Dire que ceci est bon, ceci est mauvais perd toute signification dans un univers sans Dieu. Car, dire que quelque chose est mauvais parce que c’est interdit par Dieu est parfaitement compréhensible à quelqu’un qui croit en un Législateur divin.(5)

   

Le concept d’une obligation morale, qui existerait en dehors de l’individu, est parfaitement incompréhensible sans l’idée de Dieu. Dans un monde sans Dieu, il n’y a pas de loi objective qui dicte ce qui est absolument mauvais et ce qui est absolument bon, il n’existe que des jugements personnels ou culturels relatifs. Bien sûr on dit que la philosophie cet « art de vivre »  qui n’est pas à la portée du citoyen lambda est un garde fou mais a-t-elle le même pouvoir dissuasif qu’un pouvoir omnipotent de référence et dont le rôle est justement de « peser » nos actions. Il n’y a rien dans un univers clos qui puisse dicter à l’homme ce qui est bien ou mal. Personne ne peut dire à personne : « c’est vraiment mal ce que vous faîtes. »

 

Dans un sondage réalisés  en France il y a quelques années 49% des personnes interrogées constatent effectivement que : « plus les connaissances scientifiques progressent, plus il est difficile de croire en Dieu ». « La moitié des chercheurs du C.N.R.S. déclaraient aujourd'hui avoir la foi ou quelque chose qui s'en approche »  et « 70% d'entre eux s'accordent à penser que la science ne peut à ce jour exclure ou réhabiliter l'idée de Dieu »  Ainsi, même si « on a longtemps pensé que la science allait chasser la fonction religieuse, c'était une erreur », comme le souligne l'astrophysicien Hubert Reeves.

 

Cependant    il faut bien être conscient que  science et religion n'abordent pas les mêmes questions : La science décrit les phénomènes, les mécanismes, le comment ça marche  les principes auxquels nous sommes soumis. Cependant, «  notre soif de signification et d'espérance n'est pas prise en compte par la science car on ne sait pas l'introduire dans les équations ! »  dixit Pierre Karli de l’Académie des Sciences  La foi, de son côté, s'intéresse aux questions existentielles concernant le sens de notre vie ici-bas et dans l'au-delà, l'existence de Dieu, notre relation avec Lui, en un mot le pourquoi ça marche  et le but de  notre existence. 

     

Osons donc les vraies questions  Dieu existe-t-il ?  S'il m'a créé, qu'attend-t-il de moi ?  Qu'y a t-il après la mort ?  Questions essentielles, déterminantes même dans une société moderne... qui donne des signes de déclin du sens ?    Si nous sommes issus du hasard, comme l’écrit Jacques Monod, ou d'une soupe cosmique bien impersonnelle, nous n'aurons de compte à rendre à personne, et nous resterons les petits maîtres de notre vie, comme l'exprimait Sartre : “ 11 n'y a rien au ciel, ni bien, ni mal. ni personne pour me donner d'ordres, car je suis un homme, Jupiter, et chaque homme doit inventer son chemin ! ”  Si par contre nous sommes créés par Dieu, quelles seront les implications dans nos vies ? 

   

La relation entre science et religions s’est traduite parfois   par un engouement autour du créationnisme-concordisme, du dessein intelligent –Intelligent Design- dans les milieux du protestantisme américain. En islam c’est la thématique des miracles scientifiques du Coran. Pourquoi créationnisme fixiste, dessein intelligent et miracles scientifiques ont-ils eu un tel écho auprès d’un large public ? A quoi est dû cet engouement doublé d’une ignorance de la nature du fait scientifique et de sa distinction du phénomène religieux ?   Comment répondre de manière appropriée et faire entendre la voix des savants ?  

 

Deux grands types de réflexion nous interpellent ; d’une part celle autour du principe anthropique et de ses implications philosophiques et théologiques ensuite celle autour de la façon dont les causes finales nous échappent à travers l’emboîtement successif des théories astrophysiques. Dieu horloger, Dieu ordinateur, Dieu qui joue ou ne joue pas aux dés… Pourquoi les scientifiques posent la question du créateur ? Dans quels termes l’énoncent-il ? De quel Dieu est-il question ? Sur le chapitre spirituel, la représentation de l’univers et son rapport avec l’incommensurabilité de Dieu interpelle aussi les religions   Les conceptions du monde, issues du progrès des connaissances scientifiques, peuvent elles entrer en résonance avec les intuitions de certaines traditions spirituelles ? Sans y voir en aucune façon des preuves, le scientifique peut-il voir des « signes » que le monde n’est pas un pur chaos, mais semble correspondre à un processus ayant une signification ? 

     

Devant les conquêtes de la science les savants enivrés par leur désir de puissance sur la matière et aveuglés par les victoires éphémères de la science pensent que tout est démontrable et que tout peut-être mis en équation. A côté de ce manque d’humilité, d’autres pensent au contraire qu’il y a quelque chose qui gouverne à la fois les lois physiques de la nature  et celles plus complexes de l’esprit humain.  On rapporte l’angoisse d’Einstein qui n’hésitait pas à écrire que « la science s’arrête aux pieds de l’échelle de Jacob »  Si Einstein est respecté et écouté, il n’en est pas moins, à la fin de sa vie, en bute avec la jeune génération de physiciens comme Heisenberg, Pauli et surtout Bohr. En effet, Einstein a posé les fondations d’une nouvelle théorie, la théorie quantique, qu’il n’accepte pas. Cette théorie interdit toute représentation réelle des objets physiques élémentaires comme les électrons, les protons, etc. Ils ne peuvent être décrits qu’en termes de probabilité : probabilité qu’ils suivent une certaine trajectoire, qu’ils aient une certaine position, une certaine vitesse. Or Einstein n’adhère pas à cette vision probabiliste de la réalité. Pour lui, Dieu ne joue pas aux dés . Il refuse que le résultat d’une expérience ne puisse être unique et prédit avec certitude. Pour lui, la mécanique quantique est sinon inexacte, du moins incomplète.

 

Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? Est-ce que le temps est né avec la création de l’univers ? Ainsi “pour expliquer la fabuleuse précision du réglage, il faut postuler l'existence d'un principe créateur et organisateur. ” Telle est la conclusion de l'astrophysicien Trinh Xuan Thuan. Il compare même la probabilité que notre univers soit issu du hasard à celle d'un archer réussissant à planter sa flèche au milieu d'une cible carrée de 1 cm de côté et située à l'autre bout de l'univers.  Autant dire que cette probabilité est quasi-nulle . De plus « l'origine de la vie  déclare Francis Crick prix Nobel de Biologie paraît actuellement tenir du miracle, tant il y a de conditions à réunir pour la mettre en œuvre ».  A ce stade, nous atteignons les limites de la science.  L'étape suivante n'est pas de son ressort, mais de celui de la foi et c’est là que les religions apportent un certain secours aux croyants.(6)

 

Notes

 

   

 

 

1.Jean Guitton, Igor et Grichka Bogdanov. Dieu et la science,  Entretiens Ed Grasset 1991.

 

2. Ibid.

 

3. Ibid.

 

4. http://comprendre-la-vie.blogspot.com/2006/11/  

 

5. http://www.questionsuivante.fr/philosophies_et_spiritualite-139.html

 

6. Chems E. Chitour. Science , foi et désenchantement du monde . Rééditions. OPU 2006

 


Professeur Chems Eddine Chitour



Chems Eddine Chitour est un collaborateur régulier de Mondialisation.ca.  Articles de Chems Eddine Chitour publiés par Mondialisation.ca



 

Sources Mondialisation Ca

 

 

Posté par Adriana Evangelizt

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4 septembre 2010 6 04 /09 /septembre /2010 13:26

Je vais commencer à poser des articles personnels dans une nouvelle rubrique. Ces articles n'apparaîtront pas avec les autres. Vous verrez à droite, le nouveau cadre. Mais, de toute façon, vous serez prévenus de leur parution.

 

En Bolivie, les poissons meurent par millions...

 

 

 

 

 

Bolivie : La vague de froid décime des millions de poissons

 

dans l’Ouest du pays

 

 

 

 

Bienvenue dans l’ère glaciaire…

 

 

La situation a été qualifiée de catastrophe environnementale, un pic de mortalité a atteint 27 espèces animales, essentiellement des poissons mais aussi des lézards, des tortues et des capybaras (le plus gros rongeur au monde). Plus de six millions de poissons, ainsi que d’autres animaux, ont péri dans la région ouest de la Bolivie en raison de la vague de froid polaire qui depuis deux semaines paralyse la région Oriente provoquant même des gelées au niveau des trois principaux fleuves.

 

 

 Le gouverneur du département de Santa Cruz, Rubén Costa, juge la situation plus que préoccupante, il a reçu lundi un rapport de scientifiques qui ont effectué des relevés dans la zone afin d’analyser l’étendu des dégâts sur les trois fleuves majeurs que sont los ríos Grande, Ichilo et Piraí. Au vu des faits énoncés, Rubén Costa a placé la province en alerte orange, soit un degré en dessous du niveau d’urgence le plus sévère existant (alerte rouge), il a annoncé que l’accès aux fleuves était interdit jusqu’à nouvel ordre. Le département de Santa Cruz est le plus vaste de Bolivie, situé à la frontière entre le Brésil et le Paraguay, il occupe 33,74 % du territoirenational.

 

 

Tout au long des trois cents kilomètres parcourus par les fleuves, les experts estiment que six millions de poissons ont péri, à cela, s’ajoutent les lézards, les capybaras et les tortues, a précisé le secrétaire à l’environnement, Manlio Roca.La ministre bolivienne rattachée à l’Environnement et à l’Eau, María Esther Udaeta, a déclaré que le gouvernement envisageait la possibilité d’interdire la pêche et la chasse dans les lieux qui ont été particulièrement affectés par la vague de froid. En effet, les populations qui vivaient de la pêche risquent de se rabattre sur la chasse et ainsi aggraver le désastre écologique, a alerté Costas.

 

Entre le 24 et le 26 juillet une masse d’air froid a frappé l’hémisphère sud du Continent provoquant des chutes de neige dans les régions chaudes, comme le Chaco au sud-est bolivien, un phénomène climatique qui n’avait pas été enregistré depuis cinquante ans. La température a chuté jusqu’à - 3 degrés celsius dans une région où il fait habituellement entre 20 et 25 degrés.

 

Quelques jours après cet assaut hivernal, les fleuves de la région étaient saturés de poissons morts qui flottaient à la surface. Selon Costas, « le désastre environnemental risque de provoquer à moyen terme des soucis de santé publique, dus essentiellement à la contamination d’eau potable pour les populations résidant près des cours d’eau souillés par les cadavres de poissons « .

 

De plus, les autorités du département oriental du Beni (le deuxième plus vaste département de Bolivie), ont rapporté la mort d’au moins 100 000 alvins dans cette région amazonienne. « Ce sont presque 50 communautés qui se consacrent à la pisciculture, et elles ont ainsi perdu 100 000 alvins destinés à la reproduction » a déclaré John Kudrenecky, directeur de l’ONG Hoyam-Mojo au quotidien « Erbol ». Il a ajouté que la grande quantité de poissons morts  « représente un foyer d’infection et de contamination pour les lagunes de la région ».

 

Ces conditions météorologiques particulières ont provoqué des chutes de neige dans l’Altiplano (région froide mais peu coutumière de la neige) où les paysans déplorent d’importantes pertes agricoles, surtout en ce qui concerne la culture de la pomme de terre.

 

 

 

 

D’autres poissons risquent de mourir dans les jours à venir en raison du manque d’oxygène causé par la putréfaction des poissons qui ont déjà succombé au froid. Certaines espèces ont particulièrement été affectées comme le surubí, le bogaet le pacu, des espèces qui sont fortement consommées et appréciées par les populations du département de Santa Cruz.

 

Face à la contamination des eaux, les autorités devraient envoyer rapidement sur place deux systèmes de purification de l’eau capables d’assainir 50 000 litres d’eau par jour. L’une des machines sera envoyée vers la localité de Yuquises. Le secrétaire à la Santé, Guillermo Saucedo, a ajouté que les poissons morts seraient enterrés mais uniquement dans les zones où les populations vivent à proximité des fleuves, où pour le moment aucune répercussion directe sur la santé humaine n’a été signalée. En effet, il est impossible de récolter à ce jour tous les animaux morts car ils sont éparpillés sur des zones beaucoup trop vastes et les moyens manquent.

 

Le Service National de Météorologie et d’Hydrologie (Senamhi) a annoncé une nouvelle vague de froid pour la fin de semaine, elle devrait toucher le sud et l’ouest du pays.

 

 

 

Au froid s’ajoute un autre problème,en effet, le niveau des fleuves amazoniens est particulièrement baset devrait encore décroître jusqu’au moins d’octobre. Le Service National d’Hydrographie Navale, qui dépend du Ministère de la Défense, a averti que le niveau des fleuves du bassinamazonien, tout spécialement le Ichiloet le Mamoré, continuerait de baisser en août, en septembre et en octobre. Ce phénomène, ajouté à la vague de froid, aggrave les problèmes de navigabilité sur les eaux et augmente également la mortalité au sein de la faune piscicole de la région.

 

Luis Carrasco, responsable de la División Hidrología Hidráulica del SNHN, a informé la presse, que le niveau des fleuves du bassin amazonien avait encore baissé par rapport à l’année 2009, et qu’ils avaient perdu environ un mètre selon les relevés, effectués quotidiennement, par cette unité gouvernementale.

 

Les autorités du Beni, Santa Cruz et Tarija avaient alerté l’opinion sur le taux de mortalité piscicole enregistré la semaine dernière en raison du froid, le gouvernement bolivien a déclaré qu’il avait enregistré la mort de cinq tonnes de « pacus » (ou Myleus asterias, il s’agit d’un poisson d’une taille de 25 cm originaire du bassin de l’Amazone) rien que sur le fleuveYapacaní dans la région de Santa Cruz.

 

Sources SIGNES DES TEMPS

 

Posté par Adriana Evangelizt

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4 septembre 2010 6 04 /09 /septembre /2010 12:11

L'état d'urgence est donc décrété en Nouvelle-Zélande. Voyons comment cela se passe ailleurs pour essayer d'anticiper chez nous. Bien qu'il n'y aura pas grand-chose à faire lorsque cela va se produire. Effectivement, est-ce que EDF et Veolia ont prévu quelque chose, par exemple, pour les lignes électrifiées et les canalisations d'eau qui seront les premières touchées ? Quels sont leurs "produits" de substitution ? Nous touchons là le coeur du problème. Sans électricité déjà, cela va nous poser de gros gros soucis. S'éclairer à la bougie n'est certes pas un problème. Mais vu le froid grandissant, il y a beaucoup de radiateurs qui vont se retrouver inactifs. Et tout le monde n'a pas de cheminée ou de poële à mazout. Ca va cailler sec dans les chaumières. Quant à l'eau, denrée essentielle pour la vie humaine, il y a certes les bouteilles, mais jusqu'à quand ? Et pour se laver ? En soulevant ces "petits détails", nous voyons les limites de nos perfectionnement et de notre technologie en cas de gros coup dur.

 

Je ne cherche à terroriser personne, comme certains le disent, je pose juste les questions pour que tout le monde y réfléchisse. On ne peut pas se voiler la face pendant mille ans et penser que cela n'arrive qu'aux autres. Car le drame vécu par les Chinois, les Pakistanais, et aujourd'hui les néozélandais, se trouvera à notre porte demain. Je crois qu'il faut trouver des "endroits" à peu près stable, loin des villes, et commencer à préparer certaines "structures" pour réunir ceux qui n'auront plus rien. Et même pour les autres d'ailleurs. Puisque les gouvernements n'anticipent pas à notre place, c'est à nous de le faire. Ne nous trouvons pas comme du temps de Noé où seuls les Initiés avaient pris leurs précautions. Soyons réactifs avant l'heure. Nous sommes déjà plusieurs à y penser. Avant la Grande Epreuve, unissons-nous pour faire face...

 

 

 

 

Nouvelle-Zélande: l'île du Sud frappée

 

par un puissant séisme

 

 

 

WELLINGTON, Nouvelle-Zélande (AP) — Un violent séisme de magnitude 7,1 a causé d'importants dégâts matériels et entraîné des coupures de courant dans l'île du Sud de la Nouvelle-Zélande, samedi matin, mais le bilan humain est limité: seuls deux personnes ont été grièvement blessées et plusieurs autres légèrement touchées, selon les autorités.

 

Les habitants en proie à la panique sont sortis en pyjamas dans les rues de Christchurch, à la suite de ce tremblement de terre, ont rapporté des témoins. Certains ont été bloqués dans des bâtiments endommagés mais aucune information faisant état de personnes écrasées sous les gravats n'a été rapportée, ont précisé les autorités en faisant état d'arrestations après des actes de pillage dans cette ville de 400.000 habitants.

 

L'état d'urgence a été déclaré et des soldats se tenaient prêts à intervenir pour porter secours aux sinistrés. Le séisme s'est produit à quelque 30km à l'ouest de Christchurch, selon l'agence géologique nationale GNS Science. Aucune alerte au tsunami n'a été diffusée.

 

GNS Science avait initialement fait état d'un tremblement de magnitude 7,4 mais a révisé ce chiffre à la baisse après examen. Le Centre d'étude géologique aux Etats-Unis a quant à lui mesuré une secousse de magnitude 7,0.

 

Selon la radio nationale, le tremblement de terre a eu lieu à 4h35 locales (16h35 GMT), saisissant des milliers d'habitants dans leur sommeil. Une douzaine de répliques, de magnitude entre 3,9 et 5,3, ont depuis secoué la région, a rapporté GNS Science sur son site web.

 

Le ministre néo-zélandais de la Défense civile John Carter a souligné le faible nombre de victimes. "Nous avons été extrêmement chanceux" de ne pas déplorer de "décès", a-t-il dit aux journalistes.

 

L'hôpital de Christchurch a déclaré que deux hommes avaient été admis dans l'établissement pour des blessures graves ainsi que plusieurs personnes légèrement blessées.

 

Reste que les dégâts matériels sont importants. Beaucoup de dommages ont affecté "nos infrastructures clefs", les canalisations d'eau et les égouts, a précisé M. Carter. Des routes et des ponts ont également été fortement endommagés, selon David Millar, porte-parole de la Défense civile. Des bâtiments se sont effondrés. Il a été recommandé aux personnes vivant dans les banlieues est d'évacuer les lieux après les coupures de courant et de gaz ainsi que la rupture de canalisations d'eau et des réseaux d'égouts, a déclaré un représentant des autorités.

 

D'après le ministre de la Défense civile, des spécialistes des séismes et des assurances devraient fournir une première estimation des dégâts dans les 48 heures.

 

Le Premier ministre John Key, M. Carter et le ministre de l'Energie Gerry Brownlee étaient attendus à Christchurch pour se rendre compte de la situation, selon des représentants des autorités.

 

Chaque année, le pays enregistre plus de 14.000 séismes, mais seuls 150 environ sont ressentis par la population et moins de dix provoquent des dégâtse.

 

Le dernier violent séisme en Nouvelle-Zélande, de magnitude 7,8, avait frappé la région du Fjiorland dans l'île du Sud le 16 juillet 2009. AP

 

Sources Nouvel Observateur

 

 

 

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Alaska: un fort séisme de magnitude 6,5 secoue

 

 les îles Aléoutiennes

 

 

Un fort séisme de magnitude 6,5 a secoué ce vendredi matin les îles Aléoutiennes en Alaska, a annoncé l'Institut de géophysique américain (USGS).

 

La secousse a été ressentie à 11H16 GMT et localisée à une profondeur de 50 km, selon les premières estimations communiquées par l'USGS.

 

Le séisme a eu lieu dans des îles Aléoutiennes, situées dans le Pacifique nord, à quelque 1.900 km au sud-ouest d'Anchorage, la plus grande ville d'Alaska.

 

Sources 20 MN

 

Posté par Adriana Evangelizt

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4 septembre 2010 6 04 /09 /septembre /2010 11:25

Préparons-nous à l'éruption sidérale et sidérante. Sous le manteau, le magma est en train de se disséminer sur toute la planète, y compris sous l'océan. Je ne suis pas "scientifique", bien que je possède un tout petit peu de "Science dite Sacrée" et de PreSCIENCE, mais je vais essayer de vous expliquer la chose. La montée de la lave en fusion va fragiliser de plus en plus la croute terrestre. De larges brèches vont s'ouvrir d'où jaillira le feu. Et de points en points, cela va former une ligne discontinue tout autour de la terre. Et là, ça va cracher, cracher, cracher jusqu'à épuisement complet de la matière en fusion. A ce moment-là, le bouclier magnétique va disparaître complètement pour permettre la fécondation terrestre par le Cosmos. Nous allons être bombardés de particules cosmiques, nucléaires, solaires, astéroïdes, etc...  jusqu'à ce que le coeur de la Terre recommence à générer de la matière en fusion, ce qui reconstruira peu à peu le champ magnétique. Le bombardement céleste s'arrêtera alors et notre terre donnera naissance à de nouveaux êtres car l'ADN de tout ce qui vit aura été changé. Alors bien évidemment, les survivants ne vont pas être à la fête. Ni les "bons" ni les mauvais. Et même leur progéniture aura à supporter le poids de la transformation. Tout ce qui n'aura pas su s'adapter régressera jusqu'à l'extinction complète. Les humains comme le reste. Les humains qui n'auront pas su évoluer dans leur Conscience, en la rendant plus lumineuse, feront parti de l'espèce homo-sapiens finissante... eh oui. Et les autres, les "bons", reviendront un jour et c'est eux qui donneront naissance à la nouvelle espèce d'hommes plus évolués. Nous serons jugés à nos oeuvres, mes Frères. Jugés en notre Âme et Conscience, à la fin de ce cycle très important. Avons-nous compris les leçons par rapport à nos vies précédentes ? Le Dieu qui est en nous nous le dira. Car la Lumière est en nous, dans le Royaume de Dieu, c'est à dire la Conscience. Méditons... et Dieu fit l'Homme à son Image... comprenez-vous ???

 

 

  Posté par Adriana Evangelizt

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4 septembre 2010 6 04 /09 /septembre /2010 11:13

 Voilà déjà plusieurs mois que des astéroïdes ont commencé à tomber sur la terre mais quand le "souffle cosmique" va entrer vraiment en action, ça va tomber dru sur toute la surface planétaire. Rien ne nous sera épargné, qu'on se le dise. 

 

 

 

 

Plus d’un demi-million d’astéroïdes découverts

 

 

Ciel et espace, 2 septembre 2010

par Emilie Martin

 

Asteroides1_360.jpg

 

A ce jour, plus de 500 000 astéroïdes ont été repertoriés. Crédit : L. Bret/C&E Photos

 

 

 

Le recensement des astéroïdes, ces petits corps rocheux qui naviguent entre Mars et Jupiter et près de la Terre, avance à grands pas : plus de 500 000 sont aujourd’hui répertoriés.

 

Au 26 juillet 2010, le Minor Planet Center, organe chargé de la désignation des astéroïdes en dénombre 246 869 numérotés, dont 16 065 nommés. 281 996 n’ont pas encore reçu de numéro, ce qui porte le total des astéroïdes confirmés à 528 865. Il y a trente ans, moins de 10 000 avaient été découverts. 

 

Des astéroïdes découverts par des télescopes-robots

 

La recherche s’est accélérée à la fin des années 1990 lorsque les grands programmes de sondage céleste, tels LINEAR, NEAT ou Spacewatch ont été lancés. Ils consistent à balayer le ciel avec des télescopes automatiques à grand champ équipés de caméras CCD.

 

Scott Manley, de l’observatoire Armagh (Royaume-Uni) vient de créer cette surprenante vidéo illustrant le rythme des découvertes d’astéroïdes de 1980 à 2010. Le temps défile en bas, à gauche de l’écran, tandis que chaque série de détections apparaît brièvement en blanc.


Les points rouges correspondent aux astéroïdes dont l’orbite croise celle de la Terre (les géocroiseurs), ceux qui s’approchent de notre planètes à moins de 1,3 unité astronomique (une unité astronomique =150 millions de km) figurent en jaune et tous les autres sont en vert.

 

 

 

 

De nombreux astéroïdes potentiellement dangereux pour notre planète restent à découvrir. C’est pour traquer les plus petits d’entre eux, de 100 à 300m de diamètre, que le Large Synoptic Survey Telescope (LSST) sera construit au Nord du Chili. Ce télescope de 8,4m de diamètre sera équipé d’une caméra CCD de 3,2 milliards de pixels. Début des opérations prévu pour 2018.

 

Sources SIGNES DES TEMPS

 

Posté par Adriana Evangelizt

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4 septembre 2010 6 04 /09 /septembre /2010 11:01

 

 

 

Premières neiges en Russie

 

 

News of Tomorrow, 2 septembre 2010

 

par Steven Goddard

 

 

 

La Russie a vu tomber les premières neiges de la saison.

 

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http://www.snow-forecast.com/maps/static/europe/last3days/snow

 

Selon Rutgers Global Snow Lab, il n’y a pas d’habitude de neige en Russie avant la seconde semaine de septembre.

 

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http://climate.rutgers.edu/snowcover/chart_dclim.php ?ui_day=251

 

De la neige est encore prévue la semaine prochaine, ainsi qu’en Norvège et en Suède. De lourdes chutes de neiges sont attendues au sud-est du Groenland.

 

 

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http://www.snow-forecast.com/maps/static/europe/132/lapse

Une grande partie de l’Angleterre et de l’Irlande s’attend à un temps froid la semaine prochaine, ainsi qu’à Moscou. Les températures de la calotte glacière du Groenland descendront jusqu’à -25C environ. Belle météo d’août !

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Les médias parleront sans aucun doute de la vague de chaud qui a frappé Moscou durant les deux prochaines semaines au moins. Preuve absolue, indubitable, du réchauffement “planétaire”…


Source : What’s Up With That, par Steven Goddard, trad. NewsOfTomorrow.org

http://www.snow-forecast.com/maps/static/europe/next3to6days/snow



Sources SIGNES DES TEMPS



Posté par Adriana Evangelizt

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4 septembre 2010 6 04 /09 /septembre /2010 10:59

 

 

Les feux reprennent dans le sud de la Russie

 

 

 

Les feux de forêts et de broussailles qui ont ravagé la Russie cet été ont repris dans la région de Volgograd, dans le Sud, où une personne est morte alors que brûlaient plus d’une centaine de maisons.

 

Selon l’antenne locale du ministère des situations d’urgence, citée par l’agence RIA Novosti, ce sont 113 maisons qui étaient la proie des flammes dans différentes localités jeudi, en raison de feux entretenus par de fortes rafales de vent. Une autre source citée par l’agence faisait état de 50 maisons brûlées dans la région, où 14 localités étaient touchées par les incendies. Alors que le temps s’est refroidi à Moscou depuis la canicule sans précédent qui a sévi cet été, les températures étaient ces derniers jours toujours proches ou égales à 40 °C dans la région de Volgograd

 

Les feux de forêts qui ont frappé la Russie cet été ont ravagé environ un million d’hectares de forêts, détruit des villages entiers et fait plus d’une cinquantaine de morts, selon les bilans officiels. L’état d’urgence a été levé le 23 août dans la dernière des sept régions de la partie occidentale du pays où il avait été décrété.

 

Sources Signes des Temps

 

Posté par Adriana Evangelizt

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4 septembre 2010 6 04 /09 /septembre /2010 10:35

 Je ne suis pas sûre du tout que l'arrêt du Gulf Stream soit dû à la catastrophe de BP. Je pense que ce "serpent de mer" suit la transformation de la Terre et qu'il en est tributaire. Le bouleversement planétaire qui se produit sous la croûte terrestre affecte bien évidemment le Gulf Stream qui doit lui aussi cesser d'exister. Nous allons, de toute façon, vers une "époque" glaciaire, que cela soit par l'obscurcissement solaire à cause des projections de cendres volcaniques du monde entier et sous l'océan, le coeur de la Terre est en ébullition. Ce qui doit remettre en question tous les courants marins de notre planète. On peut même dire que la catastrophe de BP a eu lieu parce que notre Terre est en train de nous enfanter son nouveau monde. Ils ont creusé à un endroit fragilisé. Il serait grand temps de cesser tous les forages et de ne plus envoyer de mineurs sous terre. Car actuellement, tout est "sous-pression". Mais il est bien évident que l'appât du gain est plus important que les signaux envoyés par notre Mère.

 

 

 

 

Climat mondial : comment la catastrophe de Bp risque

 

de provoquer une future glaciation

 

 

Real Info, 1er septembre 2010

 

 

Dans l’article qui suit, des scientifiques nous expliquent comment la fuite de BP dans le Golfe du Mexique a détérioré, voire stoppé le cours normal du Gulf Stream, entraînant ainsi un disfonctionnement du Jet stream et provoquant les catastrophes en Russie ainsi qu’au Pakistan et ailleurs dans le monde, et qui  pourrait, au final, si leurs affirmations se confirment, provoquer une future glaciation avec des conséquences comme: mélange des saisons, mauvaises récoltes, augmentations des sécheresses et des inondations dans le monde, ainsi que famine et migration importante de population….Tout un programme, et non des plus réjouissant…!!!

 

La Vie sur Terre vient de Changer – Le Courant Nord Atlantique a disparu

 

NutraMedical, 30 août 2010

 

Traduction par News of Tomorrow

 

Les dernières données satellite confirment que le Courant Nord Atlantique (aussi appelé la Dérive Nord Atlantique) n’existe plus, de même que le Courant de Norvège. Ces deux courants chauds font partie du même système qui porte plusieurs noms selon là où ils se trouve dans l’Océan Atlantique. Tout ce système est un élément clef du système de régulation de la chaleur de la planète ; lequel protège l’Irlande et le Royaume-Uni de la glace et les pays scandinaves d’un froid trop important ; et protège aussi le monde entier d’un nouvel Âge Glaciaire. Le Système de Circulation Thermohaline est arrêté à certains endroits et en cours d’arrêt à d’autres.

 

 

Le “fleuve” d’eau chaude qui se déplace dans l’Océan Atlantique se nomme, selon le lieu, Courant Atlantique Sud, Courant du Brésil Nord, Courant des Caraïbes, Courant du Yucatan, Loop Current, Courant de Floride, Gulf Stream, Courant Nord Atlantique (ou Dérive Nord Atlantique) et Courant de Norvège.

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La circulation thermohaline est parfois appelée la courroie de transmission de l’océan, la grande courroie océanique, ou la courroie de transmission mondiale.

Une expérience de niveau universitaire en physique consiste à utiliser un bac d’eau froide et y introduire un courant d’eau chaude colorée. Vous pouvez y voir les couches limites du courant d’eau chaude. Si vous ajoutez du pétrole dans le bac, celui-ci casse les couches limites du courant d’eau chaude et détruit efficacement le tourbillon du courant. C’est ce qu’il se passe dans le Golfe du Mexique et dans l’Océan Atlantique.

 

Le ’fleuve d’eau chaude’ tout entier qui s’écoule des Caraïbes jusqu’au bord de l’Europe Occidentale disparait à cause du Corexit que l’administration Obama a permis à BP d’utiliser pour cacher l’étendue de la Catastrophe pétrolière du Deepwater Horizon de BP. Les deux millions de gallons de Corexit, ajoutés aux plusieurs autres millions de gallons d’autres dispersants, ont surtout fait couler au fond de l’océan les deux cent millions ou plus de gallons de pétrole brut qui jaillissent depuis des mois de la tête du puits de BP et de sites proches. Cela a contribué à dissimuler une grande partie du pétrole, avec l’espoir pour BP de réduire de beaucoup les amendes fédérales adoptées en raison de la catastrophe pétrolière. Cependant, il n’existe actuellement aucune façon efficace de “nettoyer” le fond du Golfe du Mexique, qui est environ à moitié recouvert de pétrole brut. De plus, le pétrole a remonté la Côte Est des Etats-Unis et est entré dans l’Océan Atlantique Nord, et il n’existe aucun moyen de nettoyer ce “pétrole des fonds marins”. Il est probable, selon les nombreux rapports, que le pétrole s’écoule encore en quantités massives à de nombreux endroits du plancher océanique. Cela signifie que même si nous avions la technologie disponible pour nettoyer l’épais pétrole brut s’échappant librement dans les profondeurs de l’océan, ce serait certainement pas assez pour annuler les dégâts causés au Système de Circulation Thermohaline dans l’Océan Atlantique.

Dr Deagle : La preuve nous est venue de la vidéo du ROV et d’experts tels que Matt Simmons, BK Lim, et Lindsay Williams et mes propres informateurs anonymes à l’intérieur du cercle fermé de Cameron Ironworks, Tranocean Marine, Oceaneering International. Ma source a fourni des infos très solides au sujet de l’analyse du ROV par des ingénieurs d’Oceaneering que le BOP (NdT : Blow Out Preventer, blocs obturateurs du puits) a été “modifié” et n’a jamais eu l’hydraulique nécessaire à sa fermeture. BP savait que le terrain contenait des niveaux élevés dangereux de méthane, de sulfure d’hydrogène, et que les pressions dépassaient les capacités des meilleures technologies actuelles de valve. Les fuites continuent de s’écouler le long d’une ligne de faille fracturée, depuis le site du puits de Macondo. A ce propos, BK Lim a prouvé que le seul des trois puits ayant atteint l’océan de pétrole et de gaz abiotique batholite n’a jamais été bouché ou stoppé et continue de fuir le long du plancher océanique, libérant pétrole, gaz et goudron dans les couches rocheuses.

Le Dr Gianluigi Zangari, PhD, de l’Institut Frascati est un scientifique ayant travaillé de longues années avec un réseau collaboratif de scientifiques surveillant le Loop Current du Golfe du Mexique et son influence sur le Système de Courant Thermonaline qui constitue le Gulf Stream, lequel se transforme en Courant de Dérive Atlantique Nord et en sous-courants. Après avoir été contacté par un scientifique naval par le biais d’un invité régulier de l’émission radio nationale NutriMedical Report, sur Genesis Network, John Moore a envoyé au Dr Deagle les informations du travail du Dr Zangari. Dr Deagle l’a joint en Italie par Skype au sujet de sa sérieuse analyse, contenant les données de six satellites sur la rupture du Loop Current, de mai jusqu’au 12 juin 2010. Les semaines suivantes, jusqu’au 28 juillet, par de nombreuses interviews au NutriMedical Report et mises à jour, la preuve incontestable est faite que le Gulf Stream s’est brutalement arrêté au 47ème parallèle longitudinal avec une chute de la température océanique de 10 degrés Celsius, une perte de vitesse et d’énergie, au point que le Gulf Stream ne s’étendait plus que sur moins d’un tiers de son trajet dans l’Atlantique, selon les mesures satellites. Comme l’a déclaré le Dr Zangari, ce n’est pas l’effet papillon mais “l’effet éléphant”, et avec la quantité de pétrole libéré, le système naturel considéré comme étant le pacemaker du climat mondial depuis des millions d’années, a désormais disparu, remplacé par un système artificiel dans un Golfe du Mexique de sept degrés Celsisus au-dessus des normales fin juillet, et un Loop Current totalement détaché du Courant de Floride qui devient le Gulf Stream. Dans son rapport du 12 juin 2010, dans un article de revue, les données du CCAR Colorado correspondaient aux données des satellites de la NOAA et de la marine américaine. Cette carte de données satellites actualisée en permanence a été ensuite modifiée sur les serveurs du CCAR, et il a envoyé un email pour dire que c’était une “falsification” et qu’il ne pouvait pas expliquer ce fait de manière logique. Il retourna aux données de la NOAA et de la marine américaine le même jour et les jours suivants, et affirma début août que les données du CCAR n’étaient désormais plus fiables et que ses conclusions à propos de conséquences sérieuses n’étaient en rien changées. Il conclua qu’une “glaciation” à un rythme inconnu, suite à cette catastrophe, était inévitable.

 

Il y a presque un mois, nous avons parlé de l’arrêt du Loop Current dans le Golfe du Mexique. Nous avons cité le Dr Gianluizi Zangari, qui a découvert en premier les dégâts causés au Système de Circulation Thermohaline :

 

Comme le montrent à la fois les cartes de la surface de la mer et les cartes de la hauteur de la surface de la mer, le Loop Current s’est arrêté pour la première fois vers le 18 mai et a provoqué un tourbillon dans les sens des aiguilles d’une montre, toujours actif. Aujourd’hui, la situation s’est tellement détériorée que le tourbillon s’est complètement détaché du courant principal, détruisant donc entièrement le Loop Current…

 

Il est raisonnable de prévoir la menace que cause la rupture d’un courant chaud aussi crucial que le Loop Current. Cela pourrait engendrer une réaction en chaine de phénomènes et d’instabilités critiques imprévisibles en raison de fortes non-linéarités pouvant avoir de graves conséquences sur la dynamique de l’activité de thermorégulation du Gulf Stream et donc sur le climat mondial.” —Dr. Gianluigi Zangari.

 

La quantité massive de pétrole brut, qui continue à s’étendre et recouvre un espace si énorme, a gravement perturbé tout le système de thermorégulation de la planète, en raison de la rupture des couches limites du courant d’eau chaude. Le Loop Current dans le Golfe du Mexique a cessé d’exister il y a un mois, les dernières données satellites montrent clairement que le Courant Atlantique Nord a maintenant DISPARU et que le Gulf Stream commence à se disjoindre à environ 400 km des Outer Banks de Caroline du Nord. Le Système de Circulation Thermohaline, dans lequel un courant d’eau chaud s’écoule dans un océan beaucoup plus froid et plus grand, a un effet sur la haute atmosphère au-dessus du courant, jusqu’à 11 km d’altitude. L’absence de cet effet normal à l’est de l’Atlantique Nord a perturbé le flux normal du Jet Stream atmosphérique cet été, causant des fortes températures, inédites, à Moscou (40°C), des sécheresse et inondations en Europe centrale, ainsi que de fortes températures dans la majeure partie de l’Asie et des inondations massives en Chine, au Pakistan, et ailleurs en Asie.

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Figure 1. La vitesse du Gulf Stream il y a une semaine : le 18 août 2010

[Manquant : Figure 2. La vitesse du Gulf Stream il y a deux semaines : le 11 août 2010]

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Figure 3. La vitesse du Gulf Stream il y a trois semaines : le 4 août 2010
 
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Figure 4. La vitesse du Gulf Stream il y a quatre semaines : le 28 juillet 2010

Les données les plus récentes continuent de montrer la mort de tout le Système de Circulation Thermohaline dans l’océan atlantique. Ceci révèle que les dispersants ont maintenu le pétrole en place sous la surface de l’océan, qui selon la plupart des rapports subsiste presque entièrement (jusqu’à 80%) bien après le début de la catastrophe pétrolière de BP. Comme il n’existe actuellement aucun moyen d’enlever ces quantités massives de pétrole s’écoulant librement sous la surface de la mer à des profondeurs allant jusqu’à un kilomètre et demi, le pétrole peut continuer à bloquer toute reprise naturelle du Système de Circulation Thermohaline.

 

Alors, qu’est-ce que cela signifie ? Le violent mélange des saisons, les mauvaises récoltes, l’augmentation des sécheresses et inondations à divers endroits, fait maintenant partie des actualités quotidiennes depuis le volcan de pétrole de BP le 20 avril 2010. Ils ont tué le pacemaker du climat mondial, selon les mots du Dr Zangari, PhD. Le Dr Mike Coffman, PhD géologue des ressources et climatologue, et le Dr Tim Ball, PhD, climatologue, ont confirmé que si ces données sont exactes, une ère glaciaire, un changement de climat massif, accompagné de famine, est maintenant imminent. Nous voyons maintenant la Russie cesser toute exportation de blé, et la plupart des sources de cultures d’aliments de base font entrer le monde dans une crise de famine. Le Gulf Stream et les courants associés au Gulf Stream sont MORTS. Cela devrait enrager le grand public et amener les scientifiques à contester ou confirmer les données et analyses, puisque les conséquences pour la civilisation humaine et l’effondrement écologique est mondial, engendre famine, morts et migration massive de population en dehors des zones touchées par l’ère glaciaire et des régions inappropriées à la vie humaine. Cherchons les faits et demandons aux entreprises et au gouvernement de travailler sur ces problèmes maintenant, avant que nous soyons confrontés à un cataclysme mondial aux proportions bibliques. Nous allons continuer à faire le point sur cette catastrophe en cours extrêmement importante avec de nouveaux scientifiques experts.

 

Le ’processus’ d’entrée dans une nouvelle Ere Glaciaire peut s’abattre sur nous de pleine force (un peu comme dans le film “Le Jour d’Après“) à n’importe quel moment, ou en trois à cinq ans, avec une glaciation précoce débutant en Amérique du Nord, en Europe et en Asie cet hiver (ces deux modèles se sont déroulés au début des différentes Eres glaciaires qui nous ont précédées sur Terre).

 

Les données satellites actuelles des températures de la surface de la mer montrent un refroidissement d’avant Ere Glaciaire.

 

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Une nouvelle Ere Glaciaire pourrait décimer les deux-tiers de l’espèce humaine la première année en cas d’apparition rapide ; une apparition plus lente tuerait tout autant de personnes mais prendrait juste quelques années de plus ! Merci BP ; merci au président Obama, les mensonges et dispersants étaient tout simplement fantastiques. Maintenant, si vous pouviez juste diriger tout cet air chaud aux bons endroits, peut-être pourrions-nous éviter un enfer glacial dans un futur proche.

Dr Bill Deagle MD AAEM


Emission NutriMedical Report sur le Genesis Network

 


www.NutriMedical.com

 

Le Dr Bill Deagle est un scientifique de l’environnement avec une formation en océanographie marine et animateur de l’émission radio internationale NutriMedical Report. Lord Stirling a été consultant pour un certain nombre d’entreprises de haute technologie et est l’administrateur d’EUROPE, un site d’actualité populaire.

 

Sources SIGNES DES TEMPS

 

Posté par Adriana Evangelizt

 

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4 septembre 2010 6 04 /09 /septembre /2010 09:00

 Je ne sais pas si vous vous souvenez, il y a quelques années encore, il existait de vrais journalistes qui menaient de vraies enquêtes, quitte à mettre leur vie en danger, parce qu'ils fourraient leur nez là où les puissants ne voulaient pas qu'ils le mette. Aujourd'hui, qu'a-t-on ? Des perroquets qui ne font que répéter ce que l'AFP leur balance, cette agence étant à la solde des désinformateurs et des malfaisants. On le voit pour tous les évènements importants qui sont d'actualité. La plus grosse imposture étant sur le énième "processus de paix" dont on nous bassine avec la rencontre à Washington du félon sioniste Netanyahou et du pauvre "pôvre" Mahmoud Abbas. A les entendre, ça y est ! La paix est signée ! Ca fait soixante ans que la paix se signe dans le sang. Et quand on connaît le Plan Sioniste, leur vraie Feuille de route, on sait très bien qu'il n'y aura jamais de paix parce qu'ils ne veulent pas de Palestine. Alors à quoi bon nous illusionner ? Pourquoi ne pas dire que Netanyahou ne fait que gagner du temps, encore une fois, c'est la seule chose qu'il sait faire ? Mentir et attermoyer pour mener les "gens du monde" en bateau, en attendant la prochaine "grande guerre" que l'intelligentsia militaire sioniste prépare contre la Syrie, le Liban, et l'Iran. Ils le disent eux-mêmes sur Israël Valley, le site bien "renseigné"... la "grande guerre"...

 

Kfir – qui signifie lionceau en hébreu – sera désormais rattaché aux unités d’infanterie classiques de l’armée : Golani, Nahal et Givati. D’après plusieurs officiers supérieurs de Tsahal, l’objectif est de parvenir à un redéploiement rapide de la brigade le long de la frontière nord et de « la préparer à la grande guerre ».

 

Dans les prochains mois, les soldats de Kfir seront donc associés à toutes sortes d’exercices combinés avec l’aviation, les tanks et l’artillerie. Ses entraînements seront adaptés aux types de cible que l’armée israélienne est susceptible de rencontrer au Liban et en Syrie.

 

L’état-major de Tsahal souhaite que l’expérience acquise par cette brigade en territoire palestinien puisse servir sur d’autres théâtres d’opérations, comme au Sud-Liban où la ceinture de villages chiites a été convertie en une immense base arrière du Hezbollah.

 

  

 Quand je vous ai dit, dans plusieurs articles, qu'avant de ruiner l'Iran, ils vont d'abord ruiner le Liban et la Syrie, je sais de quoi je parle. Mais nos chers medias passent sous silence la prochaine extermination pour se concentrer sur Sakineh, la maricide, devenue héroïne mondiale, comme la Florence Cassez, compagne d'un criminel notoire dont elle a partagé la vie. Quand on vit avec un voyou, on sait à quoi s'attendre et je sais de quoi je parle. Mais nous savons très bien qui est derrière Cassez et la Sakineh. Toujours le même lobby qui préfère oublier que la lapidation de la femme adultère est bien inscrite dans la Torah, d'où sortent les lois "vieillotes" du Coran. Doit-on rappeler la fameuse sentence de Yeshoua à ce sujet ? "Que celui qui n'a pas péché lui jette la première pierre."

 

Et bien, il en est de toutes ces affaires comme celle de BP. On nous montre le dessus du couvercle mais pas ce qui est en dessous, parce que si on le soulève, on meurt asphyxié. Heureusement que François Marginean est là pour enquêter à la place de ceux qui sont payés pour le faire mais ne le font pas.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’incroyable arnaque de BP:

 

 le puits (B) qui n’a jamais été colmaté

 

 

Les 7 du Québec, 31 août 2010

 

par François Marginean

 

 

Madames et messieurs, British Petroleum (BP) a menti à toute la population – encore une fois – à propos de ce qui se passe réellement dans le golfe du Mexique suite à l’explosion de la plateforme du Deepwater Horizon le 20 avril dernier, qu’elle louait de l’opérateur Transocean Ltd.

 

Sauf que cette fois-ci, la manipulation de la réalité dépasse tout entendement. Suite aux efforts infructueux continuels durant tout l’été de colmater la plus importante fuite de pétrole de l’histoire des États-Unis, BP a plutôt opté pour tromper la population en présentant un colmatage d’un autre puits. Vous avez bien lu: BP, avec l’aide de l’administration Obama et des médias traditionnels, ont procédé à un spectacle orwellien de miroirs et de fumée en colmatant un autre puits que celui qui avait explosé le 20 avril. 

 

Ces affirmations ne sont pas à prendre à la légère et elles sont soutenues par des évidences et preuves qui sont soumises à l’examen des lecteurs et des lectrices.

 

Tout d’abord, il est important de prendre connaissance du document officiel produit par British Petroleum conjointement avec le US Minerals Management Service (MMS). Selon ce document public, il existe deux puits dans la région où le déversement s’est produit. Le premier, le Puits « A » (Well A), a été percé plus tôt cette année et a rencontré des problèmes et fut par la suite colmaté et abandonné. Cela a été confirmé lors de l’émission américaine « 60 minutes » de CBS par un témoin, Mike Williams (vidéo disponible ici). Par la suite, le Puits « B » (Well B) a été percé pour finalement résulter en l’explosion et la destruction de la plateforme du Deepwater Horizon. (Prendre note que dans le document se trouve une erreur de rédaction à la page 10 du MMS PDF concernant la coordonnée Y pour le Puits B. La coordonnée est correctement inscrite en page 3 et 11. Vous remarquerez que la personne (dyslexique?) qui a écrit le rapport a inversé un ’1′ et un ’4′ à la page 10. Ceci est important parce qu’une grande confusion pourrait en résulter: la véritable coordonnée du Puits B devrait être Y=10431494, et non pas Y=10434194)

 

Cela est clairement visible en première page du document de BP et du MMS. BP a reçu la permission du MMS de percer deux puits dans le bloc « 252 Mississippi Canyon Area » (MC252). La localisation du bloc porte le numéro OCS-G 32306 et à l’intérieur de celui-ci se trouve inscrit le Puits A et le Puits B qui furent tous deux prévus et approuvés par le MMS. Voilà l’information cruciale que BP, le gouvernement américain et les grands médias ont omis de révéler au public. Tout cela est clairement indiqué sur la carte fournie par BP à la page 3 du même document, où il est possible de voir exactement le positionnement du Puits A et B. En page 8, dans la section « Tentative Schedule of Proposed Activities« , on peut y voir le début proposé des travaux des deux puits et du délais de 100 jours accordés pour réaliser les travaux aux deux emplacements qui sont décrits comme devant être « percés et ensuite temporairement abandonnés ». Il semble que BP et Transocean n’ont pas su respecter les délais prescrits, mais il n’en demeure pas moins que deux puits ont été percés; le Puits A et ensuite le Puits B.

 

Venant soutenir l’évidence que ces deux puits furent bel et bien percés, se trouve cet autre document officiel datant du 27 avril 2010 concernant les deux autres puits de secours devant être percés d’urgence pour intercepter et aider à colmater le Puits B qui a explosé le [2]0 avril 2010, entrainant la destruction du Deepwater Horizon. Ces deux puits de secours portent les noms de Puits « C » et Puits « D », tel que visible en première page.

 

Voir aussi cette courte vidéo qui révèle leur mensonge. La coordonnée X, dans le coin en haut à gauche de l’écran du ROV (ROV est un sigle en anglais pour Remote Operated Vehicle – littéralement, « véhicule commandé à distance ») est ce qui nous intéresse. Elle est en fait inscrite à côté de la lettre « E » pour « East », mais lorsqu’on retourne au plan initial d’exploration que BP a fourni, cela signifie l’axe X sur la carte du fond marin. L’image de la vidéo est quelque peu floue, mais il est possible d’y distinguer: « E: 1202512.35″. Quelques secondes plus tard, on peut apercevoir une autre coordonnée: « E: 1202879.69″. Ensuite, quelques autres secondes après, lorsque la scène change de nouveau, le ROV se situe à « E: 1202496.94″.

 

 

De retour au document PDF ci-haut mentionné du Minerals Management Service — BP a demandé les permis pour forer le Puits A situé à « X:1202803.88″ et le Puits B à « X: 1202514.00″. Aussi clair que le jour. Deux puits furent percés, rapporté seulement qu’à une ou deux reprises par les médias.

 

BP répand de la désinformation. Ces deux images comparatives (cliquez pour agrandir) prouvent bien l’existence des deux puits forés, à deux emplacements distinctifs.

 

 

Ci-dessous, vous trouverez des images supplémentaires pour documenter tout cela davantage.

Ici, une image du plan de BP pour le forage du Puits A, suivi d’une capture d’écran de la seconde des trois prises de vue provenant de la vidéo ci-haut:

 

 

 

 

Voici une autre vidéo capturée le 13 juin 2010 montrant le ROV à « X: 1202800.32″, bien que les chiffres changent légèrement alors qu’il est ballotté par le courant océanique. Ceci n’est qu’à un cheveu de « X-1202803.88″, où le Puits A se trouve, et cette fine distance est celle du ROV le séparant de l’équipement lui-même. Le ROV fait donc face au Puits A:

 

 

 

 

Maintenant que le Puits A a été repéré, lieu où se trouve les véhicules commandés à distance de BP, voici des images plus rares. Changement de site: on aperçoit l’emplacement du Puits B, tel que documenté dans les plans que BP a soumis au gouvernement, suivi par les captures d’écran de la première et troisième scène de la première vidéo de RT présentée ci-haut.

 

 

 

 

En ne faisant paraitre dans le médias que l’existence d’un puits alors qu’il en existe véritablement deux, soit que BP ment délibérément ou donne de la fausse information pour tenter de lancer les observateurs sur de fausses pistes. Deux puits, deux emplacements distincts, deux têtes de puits et tout le reste de l’équipement. Nonobstant ces faits, les vidéos des sous-marins Skandi montrent le Puits A sur les réseaux télévisés comme étant le puits qu’ils prétendent avoir colmaté, alors qu’on peut clairement apercevoir un puits à l’endroit « B » qui continue toujours de rejeter du pétrole dans la vidéo Youtube .

 

Maintenant que l’existence de ces deux puits est bien établie, bien que BP a officiellement dénié cette information, allant jusqu’à nier avoir reçu la permission de percer le Puits B, comment savoir si BP a réellement présenté des images du colmatage du bon puits, c’est-à-dire du Puits « B » qui a explosé le 20 avril et déversé des milliards de litres de pétrole, au lieu du « A »?

 

Il suffit simplement de porter attention aux coordonnées de positionnement ultra-précises des robots sous-marins que BP a utilisé pour travailler sur les puits et qui nous ont fourni les images vues à la télévision, et de les comparer avec les coordonnées citées dans le document de BP et du MMS (Ceci est exposé en détail dans cette série de 4 vidéos).

 

Les documents de BP montrent la localisation du Puits A à « X:1202803.88″ et leur ROV indique « X-1202802.63″. Les plans d’exploration de BP indiquent que le Puits B devait être foré à « X:1202514.00″ et leur ROV apparait positionné en face d’un différent puits avec d’importantes fuites de pétrole situé à « X-1202476.56″. Les coordonnées des ROV ne peuvent jamais être exactement les mêmes que celles indiquées dans le document de BP, parce que ces dernières sont l’emplacement précis du centre du puits. Pour avoir exactement les mêmes chiffres à la décimale près, les ROVs devraient filmer directement à l’intérieur des caissons des puits, ce qui est, évidemment, impossible. De plus, les robots sous-marins doivent maintenir une certaine distance entre eux et du centre du puits pour être en mesure de filmer ce que BP veut voir.

 

Un exemple frappant de ce tour de manège est disponible dans cette vidéo de MSNBC du 18 juin 2010 à l’émission Countdown de Keith Olbermann. Alors que Olbermann et son invité discutent du Puits B, les coordonnées que montre le ROV indiquent qu’on nous montre en réalité le Puits A:

 

 

 

BP  a annoncé au monde entier que le puits (B) ayant explosé le 20 avril et entrainé la perte du Deepwater Horizon aurait finalement été colmaté entre le 16 et le 19 juillet 2010. Notez bien encore une fois les coordonnées du ROV dans cette vidéo de BP datant du 16 juillet 2010. BP prétend avoir colmaté le Puits B alors qu’on nous montre des images du Puits A:

 

 

Voilà. Le Deepwater Horizon forait au second site et BP a menti. Tout ce qu’on a besoin de faire est de regarder les images et les coordonnées du Puits A et Puits B pour constater qu’il y a effectivement deux sites, deux puits exploités et que les deux avaient d’importantes fuites et qu’on nous a présenté, à la fin juillet, le Puits A qui semble avoir été proprement colmaté.

 

Nous aurions évidemment besoin d’explications de la part de BP et du gouvernement américain pour faire la lumière sur tout cela, mais nous pouvons théoriser de façon assez précise que l’explosion géante qui est provenue du fond marin et remontée jusqu’à la surface à travers la plateforme de forage, la faisant ainsi exploser, fut assez puissante pour aussi endommager le Puits A, qui se trouve qu’à quelques dizaines ou centaines de mètres du Puits B. Des rapports ont indiqué que le bloc obturateur de puits (BOP) aurait été projeté à des kilomètres de distance du site du Puits B par la force de l’explosion.

 

Il est alors fort possible que les deux puits furent endommagés et que le Puits B, où le Deepwater était en train de travailler, est totalement détruit si l’histoire du BOP est correcte. BP a probablement présenté le site A dans 99,9% des cas pour faire en sorte qu’il puisse mettre en place cette charade de remplacement du bouchon sur celui-là, qui avait initialement été colmaté en 2009 avant la venue de l’ouragan qui avait soufflé dans la région. Ils ont accidentellement laissé les images en direct des ROVs Skandi rouler à quelques reprises et heureusement, des gens qui ne savaient pas ce qu’ils avaient entre les mains les ont téléversés (uploaded) sur Youtube. Elles ont par la suite été trouvées – trois vidéos du pétrole provenant d’un puits que BP déclare n’avoir jamais construit.

 

Le Puits B est encore là, si tout cela est correct, toujours détruit et ce à point tel qu’il est impossible de le colmater à son embouchure. Et même s’il pouvait l’être, BP a rapporté avoir trouvé des fuites provenant du caisson, signifiant que même s’il arrivait à colmater avec succès ce puits, le pétrole continuerait de s’échapper du caisson fracassé ainsi que du fond marin où plusieurs cheminées se sont formées. Mais on a déclaré à la population qu’il n’existe pas, alors on s’imagine que c’est le cas. Même si ces images prouvent le contraire.

 

François Marginean

 

Autres articles à consulter dans cette série sur la catastrophe de BP:

- Pandémie de pétrole

- Deepwater Horizon – Le geyser de pétrole se poursuit

- Le Tchernobyl des pétrolières

Sources SIGNES DES TEMPS

Posté par Adriana Evangelizt

 

 

 

 

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