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  • : La catastrophe planétaire qui s'est produite voilà 12 960 ans est en train de se reproduire mais nul n'en parle... il faut retrouver la Cosmogonie des Anciens pour Savoir.
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14 septembre 2008 7 14 /09 /septembre /2008 17:09
Deux blocs géants se détachent d'un plateau de glace dans l'Arctique



Deux immenses blocs se sont détachés du plus gros plateau de glace côtier de l'Arctique pour former des "îles flottantes", la fracture la plus importante du genre depuis trois ans, ont annoncé mardi des responsables canadiens.

Une île de glace flottante de 4 à 5 km2 et une autre de 14 km2 se sont formées après s'être détachées de la plate-forme de glace Ward Hunt, qui jouxte l'île d'Ellesmere dans l'extrême-nord canadien, a indiqué à l'AFP Luc Desjardins, prévisionniste au Service canadien des glaces.

"La première se serait fracturée aux alentours du 22 juillet et la seconde dans la nuit du 23 au 24 juillet", a-t-il précisé, soulignant qu'un chapelet de morceaux plus petits s'était aussi détaché et dérivait.

Une patrouille scientifique canadienne a effectué un vol de reconnaissance au-dessus de la première "île flottante" et a par la suite contacté d'autres chercheurs pour analyser les données satellitaires et ainsi constaté, plus de 24 heures plus tard, le détachement du second plateau de glace.

C'est le plus important vêlage d'une plate-forme de glace dans l'Arctique depuis le détachement en 2005 de "l'île de glace Ayles", d'une superficie de 66 km2, équivalente à celle de Manhattan, elle aussi attachée à l'île d'Ellesmere.

Le phénomène qui s'est produit en août 2005 avait émis une telle énergie qu'il avait été détecté par des appareils sismologiques canadiens situés à 250 kilomètres de là, mais personne n'était parvenu à identifier sur le moment ce qui s'était réellement passé.

Des chercheurs avaient ensuite analysé les données satellitaires pour s'apercevoir que ce morceau de glace géant s'était détaché d'un glacier accroché à l'île d'Ellesmere pour partir à la dérive dans l'Arctique.

Cinq grands plateaux de glace côtiers couronnent l'extrémité nord de l'île d'Ellesmere, dont le Ward Hunt considéré comme le plus important avec sa superficie totale de 443 km2.

Les plate-formes de glace de l'île d'Ellesmere, de vastes franges de glace épaisse et ondulante flottant sur la mer mais attachée à la terre, ont commencé à se constituer il y a près de 4.000 ans, selon des travaux récents de chercheurs canadiens.

"On a constaté que durant le 20e siècle, on a eu une perte de 90% de la superficie de la glace. Donc c'est un processus déclenché depuis longtemps mais on voit des événements ponctuels", assure Derek Mueller, géographe spécialiste de l'Arctique, à l'Université Trent, en Ontario.

Il cite notamment le cas du plateau de glace Petersen qui a perdu un tiers de sa superficie entre 2005 et 2007.

Le vêlage de ces plateaux glaciers est un indicateur du réchauffement climatique dans l'extrême Arctique, estiment plusieurs chercheurs.

Le plateau de glace de Ward Hunt s'était fissuré en son centre en 2002 sans partir à la dérive dans l'Arctique et une équipe scientifique avait détecté ce printemps une nouvelle brèche de 18 kilomètres de long et 40 mètres de profondeur.

Mais "il semble que le détachement des morceaux de glace ne serait pas lié à la fracture décelée aux printemps", a déclaré M. Desjardins du Service canadien des glaces.

"La fissure en 2002 a coupé la plate-forme de glace en deux moitiés. Je crois qu'avec le temps, il y a eu des faiblesses parce que l'intégrité de la plate-forme, sa structure, n'était plus la même", explique M. Mueller.

 Sources AFP

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14 septembre 2008 7 14 /09 /septembre /2008 16:48

Les choses s'accélèrent comme ce n'est pas croyable. Il faut que notre Terre soit prête à telle date et elle le sera. Le pire étant que personne ne le croit ou  l'ignore. Quelle déconvenue pour la quasi-totalité de l'humanité, lorsque cela va se produire.

Première rupture hivernale de la célèbre arche de glace du Perito Moreno


La célèbre arche de glace du glacier Perito Moreno s'est rompue en Argentine. Situé en Patagonie, à environ 2800 km au Sud-Ouest de Buenos Aires, ce glacier d'une longueur de 30 km, pour près de 275 km2 de surface, fait partie des plus importantes réserves d'eau potable de la planète. Si la rupture de son arche n'est pas une nouveauté, c'est toutefois la première fois qu'elle se rompt en hiver (1).
Même si le glacier Perito Moreno est l'un des trois seuls glaciers de Patagonie à ne pas être en régression, pour les responsables du parc national Los Glaciares (Les Glaciers) cette rupture hivernale pourrait être une conséquence du réchauffement climatique.

Sources
Univers Nature

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14 septembre 2008 7 14 /09 /septembre /2008 15:51

La glace de l'Arctique fond et il n'y aura plus de glace au Pôle Nord, cet été. Tout cela bien évidemment est mis sur le dos du réchauffement climatique qui serait dû à l'activité humaine, on s'en doute. Personne, absolument personne n'évoque le prochain basculement de la planète dont c'est une certitude qu'il va avoir lieu. Comme il a eu lieu des milliers de fois depuis que la Terre existe. Et il va se produire le dernier jours de l'ère des Poissons qui tombe le 20 décembre 2011 pour nous, la véritable date selon le calendrier des Anciens étant 2016. Alors la glace fond et tout ce que trouvent à dire les fameux experts en la matière c'est :

Mais la fonte des glaces arctiques a aussi de bons côtés. Les navires pourront de façon régulière emprunter le passage du Nord-Ouest, évitant ainsi les long détours par le canal de Panama ou le Cap Horn.

De plus, les fonds de l'océan Arctique sont riches en pétrole et sans glace ces gisements seront plus aisément accessibles.

Et pourquoi pas y installer des centrales nucléaires, tant qu'on y est pour faire encore davantage avancer le schmilblic, puisque c'est à la mode ? Nous sommes vraiment dégoutés par ce monde à un point inimaginable. Pas un jour ne se passe sans que l'on soit agressé visuellement par toutes les horreurs qui s'y perpètrent. Ce monde est une infâmie. L'infâmie la plus totale. On assassine sans vergogne pour piller et pour piller ON invente mille raisons toutes aussi nulles les unes que les autres. La guerre en Irak aurait coûté 3000 milliards de dollars et combien de morts ? Franchement... cet argent n'aurait-il pas été mieux employé ailleurs ? 3 000 milliards de dollars volé au Peuple Américain sans lui demander son consentement. Et on ne comptera pas tous ce que les autres pays ont donné pour l'Irak ou l'Afghanistan afin de -soit disant- améliorer les conditions de vie des pauvres peuples occupés. On ne parlera pas non plus des sommes colossales versés aux Palestiniens. Ni aux Chinois ni aux Africains, on en passe et des meilleures.

Alors oui, il nous tarde que la Terre bascule et emporte toute cette pourriture qui gouverne notre monde et tant pis si elle nous emporte avec, on s'y prépare. La mort ne nous effraie pas. Nous ne comptons même pas être dans les rescapés ou survivants. Ceux que dans l'Apocalyspe on nomme "Elus". Ils seront peu nombreux. Un bon nettoyage s'impose pour enlever toute cette lie nocive qui corrompt cette planète. La Terre elle-même en suffoque. Elle en suffoque tellement qu'il va prochainement y avoir encore de grands tremblements de terre. La Chine risque fort en pâtir encore mais aussi l'Inde. Tout ce qui est dans l'Orient. Après cela passera en Occident. La planète se prépare à de grands tressautements. Elle a envie de danser pour apprendre à certains humains machiavéliques qu'ici ils ne sont rien. Alors qu'ils tuent ! Qu'ils assassinent ! Qu'ils pillent ! Qu'ils remplissent leurs coffres ! Le temps pour eux est désormais compté. Comme à tous ceux qui leur ressemblent.  Bon dimanche.





Climat: le pôle Nord sans glace cet été, désormais une possibilité



Le pôle Nord pourrait momentanément être libéré des glaces cet été, un fait sans précédent dans les temps modernes qui marquerait une nouvelle étape dans le recul de la banquise arctique depuis dix ans sous l'effet du réchauffement climatique, selon un glaciologue américain.

"Il est très possible qu'il n'y ait plus de glace au pôle Nord à la fin de cet été, ce qui s'explique par le fait que le pôle est désormais recouvert d'une fine couche de glace", a expliqué à l'AFP Mark Serreze, un scientifique du Centre national américain de la neige et de la glace (National Snow and Ice Data Center) à Boulder (Colorado, ouest).

Evaluant cette possibilité à 50%, ce scientifique a jugé "concevable qu'à la mi-septembre des voiliers puissent naviguer d'Alaska au pôle Nord".

La fonte des glaces au pôle Nord "s'est déjà produite dans l'histoire de la Terre mais certainement pas dans les temps modernes", a-t-il ajouté.

"Ce que nous avons observé ces dix dernières années est une vaste réduction des glaces arctiques, notamment ces trois dernières années, et cette tendance de long terme fera qu'il pourrait ne plus y avoir de glace l'été dans l'océan Arctique d'ici 2030 ou autour de cette date", a poursuivi le glaciologue. Il y a quelques années, ce scénario était anticipé entre 2050 et 2100, a-t-il rappelé.

Durant l'été 2007, la fonte des glaces arctiques avait permis d'ouvrir plus longuement le passage du Nord-Ouest, une route maritime qui relie l'Atlantique au Pacifique en passant entre les îles arctiques du grand nord canadien.

"D'un point de vue scientifique, le pôle Nord est un point comme un autre sur le globe, mais le fait que la glace puisse y fondre totalement (même brièvement) a un sens symbolique fort dans l'imagination populaire", a relevé Mark Serreze.

"Il est difficile d'imaginer le pôle Nord sans glace et n'oubliez pas que le Père Noël y habite", a-t-il plaisanté.

Mais ce phénomène est "juste un autre indicateur de la disparition de la banquise arctique".

"Je suis néanmoins surpris" que cela puisse se produire aussi vite"Il y a seulement cinq ans je ne l'aurais même pas imaginé", a encore dit ce scientifique.

Durant l'été arctique 2007, la superficie de la banquise à la mi-septembre, au plus fort de la fonte, a été la plus faible jamais mesurée par les satellites et probablement depuis un siècle, a rappelé Mark Serreze.

L'été dernier, la banquise a fondu de 23%, faisant voler en éclat le précédent record enregistré en 2005.

Pour cette année, "nous anticipons au moins une perte équivalente à l'été 2007 voire davantage, ceci dépendra de la météo et nous ne savons pas encore", a noté le chercheur.

La saison de fonte dans l'Arctique commence à la mi-juin. La glace atteint son minimum à la mi-septembre et son maximum en hiver à la mi-mars.

Réduire les émissions de gaz à effet de serre devrait légèrement ralentir ce phénomène mais l'inverser prendra très longtemps, a jugé ce scientifique.

Mais la fonte des glaces arctiques a aussi de bons côtés. Les navires pourront de façon régulière emprunter le passage du Nord-Ouest, évitant ainsi les long détours par le canal de Panama ou le Cap Horn.

De plus, les fonds de l'océan Arctique sont riches en pétrole et sans glace ces gisements seront plus aisément accessibles, soulignent des experts.

Sources AFP

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23 juin 2008 1 23 /06 /juin /2008 15:46


22 avril - Le village de Gavarnie, dans les Hautes-Pyrénées, est isolé à la suite d'une
avalanche qui a totalement coupé son unique route d'accès. Cette coulée de neige de 50 mètres de large et pouvant atteindre 15 mètres de haut, qualifiée "d'exceptionnelle" par les sauveteurs, n'a fait "a priori" aucune victime.

Partie sur le flanc du sommet de Piméné (2807 mètres) suite à un cumul de neige, l'avalanche a suivi un couloir sur près de 1.000 mètres de dénivelé avant de recouvrir et de barrer l'unique route d'accès menant à Gavarnie, bloquant ainsi totalement le village depuis 16h30.

Opération préalable à l'intervention des engins de déneigement, un hélicoptère de la sécurité civile a survolé en fin d'après-midi le bassin supérieur de l'avalanche pour vérifier que celle-ci s'est "purgée" dans sa totalité.

Selon les CRS-montagne, le village de Gavarnie, qui n'avait pas connu d'avalanche de cette ampleur depuis 1983, ne devrait pas être débloqué ce soir au plus tôt.

Sources AFP

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23 juin 2008 1 23 /06 /juin /2008 15:37

Des glaciologues ont pour la première fois observé et mesuré l'écoulement soudain et total d'un lac à l'intérieur de la calotte glaciaire du Groenland, un phénomène qui risque d'accélérer la fonte des glaces arctiques durant l'été, selon des travaux publiés jeudi.

Ces scientifiques ont ainsi pu découvrir un système de tuyauterie naturelle dans le glacier par lequel les eaux provenant de la glace fondue à la surface pénètrent profondément dans l'épaisseur de la calotte amplifiant la fonte et le déversement de la glace dans l'océan.

L'effet "lubrifiant" de ces eaux sur la base du glacier peut accélérer le rythme d'écoulement de la glace de 50 à 100% dans certaines zones les plus stables du glacier, estiment ces deux glaciologues, Sarah Das du Woods Hole Oceanographic Institution (WHOI) et Ian Joughin de l'Université de Washington à Seattle (Nord Ouest), auteurs de ces recherches.

Des milliers de lacs se forment sur les glaciers du Groenland chaque été alors que le réchauffement de l'air et le rayonnement solaire font fondre la glace à la surface, notent-ils.

"Nous avons trouvé des indices très solides indiquant que ces lacs aux eaux super-glaciales se formant en été peuvent en réalité faire craquer la glace en profondeur dans un processus appelé hydro-fracture", explique Sarah Das.

"Si cette craquelure à la surface de la glace est assez grande et qu'il y a un réservoir d'eau suffisant pour la remplir, cela peut créer un conduit allant jusqu'à la base du glacier", ajoute-t-elle dans cette étude parue dans Science Express, la version en ligne de la revue américaine Science.

Les résultats de ces travaux montrent que la fonte des glaces de surface joue effectivement un rôle important dans la dynamique du glacier et a aussi un impact plus grand sur le déchargement de la glace des glaciers dans l'océan que soupçonné auparavant.

Mais relève Ian Joughin, ce phénomène a un impact limité sur la réduction de la masse du glacier. Les grands morceaux de glace qui se détachent pour former des icebergs sous l'effet du réchauffement climatique ont nettement plus d'impact sur la dynamique des glaciers, relève-t-il.

Des observations satellitaires montraient dans le passé que ces lacs pouvaient disparaître parfois en un jour mais les scientifiques ignoraient alors où allait cette eau et l'impact sur le déversement de la glace dans l'océan. Ils se bornaient à faire des prédictions théoriques sur la manière dont les eaux de surface pouvaient atteindre la base du glacier à travers une couche de glace de plus de deux kilomètres d'épaisseur.

Pendant les étés 2006 et 2007, ces deux glaciologues et une équipe de scientifiques ont utilisé des sismographes, des systèmes de mesure de la surface de l'eau et des balises du système de positionnement par satellite (GPS) de manière à suivre l'évolution de deux lacs ainsi que les mouvements de la glace se trouvant autour.

Ils ont aussi recouru à des photos aériennes et de satellite pour traquer le mouvement du glacier vers la côte.

Les observations les plus spectaculaires ont été faites en juillet 2006 quand leurs instruments ont capturé le drainage soudain et total d'un lac de 5,6 kilomètres carré contenant 0,044 kilomètre cube d'eau.

Comme une baignoire, le lac s'est totalement vidé en 24 heures avec la plus grande partie de l'eau s'écoulant en 90 minutes à un rythme plus rapide en moyenne que les eaux des chutes du Niagara.

Les données recueillies ont révélé que l'eau du lac s'est engouffrée dans la crevasse qu'elle ont élargie et atteint la base du glacier 980 mètres plus bas.

La vitesse horizontale du glacier, qui est constamment en mouvement même dans des conditions normales, a doublé en moyenne quotidienne à cet endroit même, selon ces chercheurs.

Sources
Voilà

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23 juin 2008 1 23 /06 /juin /2008 12:06

Là aussi, il y aurait beaucoup à dire.... 414 km2 de glace fondent et un scientifique dit que cela n'affectera pas le niveau des mers ! Alors que dire des 12 000 km2 qui ont disparu en 50 ans ? Je suppose que l'eau ne doit pas s'évaporer par enchantement. Cela se répercute donc forcément sur certaines parties du globe qui sont victimes d'inondations soudaines. Plus le temps passe et davantage je pense que certains scientifiques, chercheurs et historiens oeuvrent pour les forces de l'Ombre, à savoir Mammon. Le dieu fric et les gens de pouvoir.

 


Un pan de 414 km2 de l'Antarctique a commencé à se désintégrer


 

Un pan de la banquise antarctique équivalent à près de quatre fois la superficie de la ville de Paris a commencé à se désintégrer sous l'effet du réchauffement climatique rapide, a indiqué mardi le Centre national de la neige et de la glace de l'Université du Colorado (NSIDC).

Selon des images satellite, cette désintégration porte déjà sur un pan de glace de 414 km2 faisant partie du plateau Wilkins et a commencé le 28 février par le soudain décrochage d'un iceberg de 25,5 km de long sur 2,4 km de large sur le flanc sud-ouest.

Ce mouvement a déclenché la désintégration d'un bloc de 569 km2 du plateau Wilkins, dont 414 km2 ont déjà disparu.

Ce plateau, dont la superficie est de 12.950 km2, est actuellement soutenu par une bande étroite de glace de 5,6 km entre deux îles, a expliqué dans un communiqué Ted Scambos, responsable scientifique du NSIDC (National Snow and Ice Data Center).

Il s'agit de la plus grande banquise dans l'Antarctique.

"Si les glaces continuent à reculer, cette bande de glace pourrait se désintégrer et nous perdrions alors probablement la moitié de la banquise de cette région au cours des prochaines années", a-t-il déclaré.

Au cours des cinquante dernières années, la partie occidentale de la péninsule antarctique a enregistré la plus forte augmentation de température sur le globe avec une hausse de 0,5 degré Celsius tous les dix ans.

"Nous pensons que le plateau Wilkins existe depuis quelques centaines d'années mais l'air chaud et les vagues de l'océan provoquent sa dislocation", a expliqué Ted Scambos, qui a constaté pour la première fois cette désintégration en mars.

L'été touchant à sa fin dans l'Antarctique, les scientifiques ne prévoient pas davantage de désintégration du plateau Wilkins dans les prochains mois.

David Vaughan, scientifique du British Antarctic Survey ayant participé aux travaux de mesure de la fonte des glaces, souligne que la désintégration du plateau Wilkins n'affectera pas directement le niveau des mers car ce pan de banquise flottait déjà avant de devenir liquide.

"Mais cela est une autre indication de l'impact du changement climatique dans la région", a-t-il commenté.

Ces dernières années, la banquise bordant la péninsule antarctique a connu une dislocation rapide.

En 1995, le plateau Larsen A, long de 75 km et large de 37 km, s'est décroché puis fragmenté en icebergs dans la mer de Weddel.

Le 19 mars 2002, un satellite de la Nasa observait l'effondrement de Larsen B, d'une surface de 3.850 km2 et 200 mètres de haut qui contenait 720 milliards de tonnes de glace.

La fonte accélérée des glaces de l'Antarctique --plus de 13.000 km2 de banquise ont disparu en cinquante ans-- pourrait contribuer de façon importante à la montée du niveau des océans. Selon certaines projections au rythme actuel (+ 3 mm par an de 1996 à 2006), les océans pourraient avoir gagné 1,40 mètre d'ici la fin du siècle.

Sources AFP

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23 juin 2008 1 23 /06 /juin /2008 11:50

Tout est en train de se mettre en place doucement mais sûrement. Et encore le mot "doucement" n'est même plus de rigueur car tout va très vite en fait. Et vous allez voir que cette année le catastrophisme va aller en s'accélérant. Mine de rien, l'horloge de la planète poursuit sa course en toute tranquillité et place ses pions en liaison étroite avec son mari le Soleil. Disons les choses joliment. Déjà, il ne se passe pas trois jours sans qu'il y ait un séisme dans le monde,  quelquefois, il y en a trois dans la même journée comme nous l'avons vu récemment. Plus de trente volcans sont en recrudescence d'activité sismique dans le monde, voyez ICI. La fonte des glaciers entraîne des inondations et les perturbations atmosphériques vont aller crescendo. Le coeur de la planète est en plein chamboulement. Un peu comme une cocotte-minute qui est prête à exploser. L'activité des volcans prouve d'ailleurs ce fait. Les tremblements de terre ne sont que le résultat de l'activité souterraine. Et pendant ce temps, ce que l'on appelle les grands de ce monde parlent fric, guerre, nucléaire, on en passe et des meilleures. Les peuples sont opprimés, eréintés, bombardés pour certains. Aucun répit pour l'Humanité alors que le compte à rebours est vraiment commencé. Et si on les renversait tous pour vivre enfin en paix, en attendant...? 



La banquise arctique a perdu 40cm en 40 ans autour de Hopen

 



La banquise hivernale autour d'une île située bien au nord de la Norvège a vu son épaisseur diminuer de plus de 40 cm en une quarantaine d'années.
L'Institut polaire norvégien indique que la banquise autour de l'île de Hopen, située au sud-est de l'archipel des Svalbard, fait moins d'un mètre d'épaisseur désormais l'hiver, d'après cette étude, présentée comme la première à long terme sur l'épaisseur de la glace en mer de Barents.

 

Depuis l'an 2000, nulle part les scientifiques n'ont observé une épaisseur de glace supérieure à un mètre dans le secteur de Hopen, île d'une trentaine de kilomètres de long qui abrite des ours polaire, a déclaré l'institut. La banquise se forme d'ordinaire tard durant l'automne et atteint son maximum vers le mois de mai, avant de diminuer de nouveau.

La superficie de la banquise a diminué dans des proportions records en septembre 2005, à la fin de l'été boréal.

Selon le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), les températures de l'Arctique augmentent actuellement plus rapidement que sur la majeure partie du reste de la planète.

Alister Doyle, version française Eric Faye

Sources L'Express

Posté par Adriana Evangelizt

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12 mai 2008 1 12 /05 /mai /2008 17:01

Alors bien évidemment, suite à ce que nous j'ai dit ICI, la thèse du réchauffement climatique dû à l'activité humaine ou même à la pollution ne tient plus la route. Tout le monde se fourvoie, y compris les scientifiques. Comme vous le constaterez en vous rendant dans la catégorieLa Terre se réchauffe  de ce blog, le réchauffement s'effectue sur toute la planète. A quoi est-il dû ? Et c'est là qu'il faut se pencher sur le passé de notre terre, sur ces civilisations et enfin et sur ce que nous ont laissés sur divers monuments et tables de pierre, CEUX QUI SAVAIENT. Ils nous ont laissé des symboles qu'utilisent encore aujourd'hui ceux qui savent mais qui ne disent rien aux Peuples... préférant leur faire croire qu'un Dieu existe plutôt que de révéler la Vérité. A savoir que le seul Dieu qui régit notre terre, c'est le SOLEIL. A tout de suite pour la suite de la Révélation..

 

 

Au Groenland, la glace fond, la terre tremble

 

2 février

 

 

Parmi les conséquences inattendues du réchauffement, des séismes touchent le Groenland à mesure que les glaciers fondent.


par Paul Brown for The Guardian

Au Groenland, la calotte glaciaire fond à une telle rapidité que les blocs de glace de plusieurs kilomètres cubes qui s’en détachent provoquent des tremblements de terre. Des scientifiques qui surveillaient la zone pendant l’été 2007 ont déclaré que l’accélération de la fonte des glaces pourrait être catastrophique en termes d’élévation du niveau de la mer et que les estimations faites en février par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) étaient largement dépassées.

Le fjord d’Ilulissat, d’où se serait détaché l’iceberg qui a coulé le Titanic, fond désormais trois fois plus vite qu’il y a dix ans. “Nous assistons à une accélération massive de la vitesse de déplacement de ces glaciers vers la mer. La glace se déplace à une allure de 2 mètres par heure sur un front de 5 kilomètres de long et 1 500 mètres de profondeur. Cela signifie que ce glacier déverse en un an assez d’eau douce dans la mer pour subvenir aux besoins d’une ville de la taille de Londres”, explique Robert Corell, président de l’Arctic Climate Impact Assessment (ACIA, Etude sur l’impact du climat dans l’Arctique).

Le professeur Corell, directeur du programme sur le réchauffement climatique au centre Heinz à Washington, avance que les estimations de l’élévation du niveau de la mer, dans le rapport du GIEC, se fondaient sur des données vieilles de deux ans. Le groupe d’experts prévoyait une élévation du niveau des mers comprise entre 20 et 60 centimètres pour le siècle à venir. En réalité, les prévisions les plus pessimistes semblent être de mise, certains spécialistes avançant même le chiffre de 2 mètres, ce qui serait une véritable catastrophe pour les côtes européennes.

Après avoir survolé le glacier d’Ilulissat, Robert Corell a déclaré avoir vu “de gigantesques trous à travers lesquels se déversent des quantités d’eau. La première fois que je suis venu sur ce glacier, dans les années 1960, il n’y en avait pas un seul. Aujourd’hui, ces trous, que nous appelons ‘moulins’, atteignent 10 à 15 mètres de diamètre et sont partout. Il y en a des centaines.” La glace fondue s’accumule sous le glacier, formant un grand lac de 500 mètres de profondeur, ce qui permet au glacier de “flotter au-dessus de la terre. Ces rivières de glace fondue agissent comme un lubrifiant sur le glacier, c’est comme enduire une surface d’huile et la faire glisser sur l’eau. L’accélération qui en résulte est très impressionnante et potentiellement catastrophique.” Le glacier se déplace actuellement au rythme de 15 kilomètres par an, avec quelques pointes de vitesse. Un jour, Corell a mesuré que le glacier avait parcouru 5 kilomètres en quatre-vingt-dix minutes, un évènement extraordinaire.

Veli Kallio, un scientifique finlandais, explique que les secousses sont liées au détachement de blocs de glace soudés à la roche depuis des centaines d’années. Ces tremblements de terre sont de faible magnitude – de 1 à 3 sur l’échelle de Richter – mais ils étaient inconnus dans le nord-ouest du Groenland et pourraient faire s’effondrer l’ensemble de la calotte glaciaire. Selon le professeur Corell, “ces tremblements de terre ne sont pas dangereux en eux-mêmes mais leur existence démontre que le réchauffement climatique est beaucoup plus rapide que tout ce que nous avions pu prévoir”.

Sources Altermonde sans Frontières

Posté par Adriana Evangelizt

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12 mai 2008 1 12 /05 /mai /2008 15:54


Ce qui est quand même malheureux, c'est que les pays industrialisés causent même du tort aux plus petits villages retirés en altitude.

 

 

Les glaciers tibétains victimes du réchauffement climatique




Si la fonte des glaciers tibétains représente un danger pour près de la moitié de la population du globe, le réchauffement climatique ne bouleverse pas la vie dans l'Himalaya.

Les experts s'accordent à dire que les plus hauts glaciers du monde seront
réduits d'un tiers en 2050, et de moitié en 2090.

"Il est évident que
la fonte s'accélère et que la neige diminue. De fait, le niveau de l'eau baisse et les stockages aussi", explique Kang Shichang, de l'Institut de recherche sur le plateau tibétain de l'Académie des sciences sociales de Chine.

Des
prévisions inquiétantes, puisque les montagnes du Tibet, à plus de 4.000 mètres d'altitude, sont les lits, entre autres, du Gange, du Brahmapoutre, de l'Indus, du Yangtze, du Fleuve jaune et du Mékong. Directement ou indirectement, pas loin de trois milliards d'individus sont à moyen terme menacés par un manque d'eau.

En Chine,
"300 millions de paysans des régions de l'ouest seront probablement touchés par la baisse du volume d'eau descendant des glaciers", indiquait le Programme des Nations unies pour le Développement (PNUD) dans un rapport en 2006.

Si le réchauffement climatique est l'une des grandes questions du moment dans le monde, au pied du glacier du Nojing Kangtsang (7.191 mètres), entre Lhassa, la capitale du Tibet, et l'Everest,
la vie de Deji Cuonu n'a jusqu'à présent guère changé.

"Je trouve même que nous avons eu beaucoup de neige depuis quelque temps", assure la jeune femme, membre d'une petite collectivité d'une douzaine d'habitants du col de Karo-La,
éleveurs de yaks et vendeurs de bibelots pour touristes.

Les dernières semaines sur le plateau tibétain ont pourtant été chaudes.

"Nous avons relevé des températures sur l'ouest du plateau
de trois degrés supérieures à la normale entre décembre et février", dit Song Yanling, de la Météorologie nationale chinoise.

Le mercure a enregistré une moyenne de moins
3,4 degrés sur cette période.

"Pour l'ensemble de la région du Tibet, le mois de
février a été le deuxième plus chaud depuis 30 ans", ajoute Mlle Song.

"Sous l'influence du réchauffement global, le climat sur le plateau tibétain connaît des changements significatifs", renchérit son collègue ingénieur, Xu Liangyan.

Petit exploitant agricole et chef du village de Hamu sur la rive du Lac Yamdrok-So, Quesan confirme que le début d'année est particulièrement clément.

"Mais la fin 2006 avait été rude et la neige abondante", précise-t-il.

Les eaux turquoises du lac, basses et qui se jouent assez facilement de la glace, témoignent de
températures élevées en janvier et février. Et nombre de montagnes environnantes n'affichent, au mieux, qu'un saupoudrage de neige et de glace sur leurs versants.

Pour Kang Shichang, de l'Académie des sciences sociales,
"l'activité humaine est aussi en partie responsable de la dégradation de l'environnement".

Le
pompage de l'eau du Tibet par la vorace industrie chinoise est souvent pointée du doigt par les écologistes et les scientifiques.

Au pied du Nojing Kangtsang,
le quotidien est dur, et on ne se sent nullement coupable.

"Les gens ici ont quelques parcelles de terres et quelques têtes de bétails,
on ne détruit rien", dit le chef du village de Hamu.

A quelques centaines de mètres de là, un berger conteste à sa manière les affirmations des météorologues.

"Il y avait beaucoup de glace il y a quelques semaines, on pouvait traverser le lac à pieds", raconte Tunju.

"Heureusement qu'il neige souvent, c'est bon pour le bétail et l'agriculture", dit le berger qui, pour
7 yuans par jour (O,9 US cents), garde depuis trois ans une centaine de moutons du village, du matin au soir.

Sources AFP

Posté par Adriana Evangelizt

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12 mai 2008 1 12 /05 /mai /2008 15:45

Et il y a fort à craindre que cela ne va pas aller en s'arrangeant vu que les pays les plus riches et les plus industrialisés préfèreront faire du business plutôt que de prendre des décisions positives vis-à-vis de notre Terre...

 

 

Du Kilimandjaro aux Andes le recul des glaciers

 

 témoigne du réchauffement



Du mont Kilimandjaro aux Andes, la fonte accélérée des glaciers de montagne témoignent du réchauffement climatique de la planète avec de sérieuses conséquences sur les écosystèmes locaux et le reste du globe, ont déploré des scientifiques réunis cette semaine à San Francisco.


"La
retraite généralisée des glaciers de montagne pourrait constituer l'indication la plus probante du réchauffement du climat terrestre alors que ce phénomène intègre de nombreuses variables climatiques", a expliqué Lonnie Thompson, un climatologue de l'Université de l'Ohio (est), lors d'une conférence de presse en marge de la conférence annuelle de l'Association américaine pour la promotion de la science (AAAS).

Le rythme de fonte est tel que
le glacier Qori Kalis au Pérou, partie de la calotte glaciaire Quelccaya, la plus grande des Tropiques, pourrait avoir totalement disparu dans les cinq prochaines années, a-t-il dit.

Pour mesurer la fonte des glaciers, les scientifiques surveillent très régulièrement leur évolution par
l'analyse d'échantillons de glace et d'eau ainsi que des surfaces du sol qui ne sont plus recouvertes.

Ils ont ainsi découvert
des plantes anciennes qui selon une datation au carbone avaient été enterrées et préservées par la glace il y au moins 5.000 ans. Ceci signifie que la retraite actuelle des glaciers andins est la plus importante depuis au moins 50 siècles, soulignent ces scientifiques.

"Nos hautes montagnes sont
comme le troisième pôle de la planète, ce sont les régions du globe les plus froides et aussi les plus sensibles au réchauffement", a relevé Henry Diaz, expert de l'Administration fédérale des océans et de l'atmopshère (NOAA) lors de la même conférence de presse.

Les modèles informatiques sur le réchauffement du climat indiquent que
l'effet de serre atmosphérique fait monter les températures davantage à haute altitude, a-t-il souligné.

Cette projection est jusqu'à présent confirmée par le rythme de fonte tout aussi accéléré
des glaces du Kilimandjaro, plus haute montagne d'Afrique (5.895 mètres), située en Tanzanie dont Lonnie Thompson craint qu'elles ne disparaissent complètement en moins de quinze ans.

"Les glaces du Kilimandjaro comme celle du Mont Kenya, du Rwenzori, également en Afrique, comme celles des Andes et de l'Himalaya sont en déroute".


La température moyenne du globe est aujourd'hui de
quelques degrés inférieure à celles du moment le plus chaud de la période interglaciaire il y a environ 125.000 ans, a souligné ce climatologue. La fonte des calottes glaciaires avait alors fait monter les océans de près de six mètres.

Selon le dernier rapport du groupe d'experts de l'ONU sur le climat la température moyenne de la Terre pourrait être, d'ici la fin du siècle,
de trois degrés supérieure à celle d'aujourd'hui.

Ce climatologue a aussi noté une autre
évolution alarmante au Groenland où le plus grand glacier, le Jakobshavn, a déversé ses glaces dans l'océan deux fois plus rapidement ces dix dernières années.

Par ailleurs, une étude de la Nasa publiée jeudi montre un plus grand risque potentiel pour
la stabilité des glaciers de l'Antarctique et leur possible effondrement qui pourrait faire monter fortement le niveau des océans. Environ 90% de la glace de la planète y sont contenus.

Mais à moins long terme,
la fonte accélérée des glaciers de montagne risque d'affecter sévèrement des millions de personnes dont un grand nombre dans des pays pauvres qui dépendent notamment de l'eau provenant de ces glaciers pour cultiver leur terre et leur consommation.

La
disparition des célèbres neiges du Kilimandjaro pourrait aussi porter un coup sévère à l'économie tanzanienne dont les recettes touristiques liées à cette montagne sont la principale source de revenu, selon Lonnie Thompson.

Sources
Edicom

Posté par Adriana Evangelizt

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