Un article qui date de l'année dernière où un scientifique français parle du déplacement du pôle Nord magnétique dont la vitesse de changement a quadruplé depuis 1990. Mais, malheureusement, il dit que ce changement n'est pas de nature à influencer l'ensemble du champ magnétique terrestre. Faux. Faux. Archi-faux ! Franchement, je suis pantoise quand je lis ça. Vraiment les scientifiques ne se mettent pas à la place de la Terre, ils n'ont pas du tout compris son fonctionnement, ni son mécanisme, ni surtout le lien avec l'Evolution de tout ce qui la peuple. Grave. Grave. Grave. Vous allez voir, il va se déplacer de plus en plus vite et il ne va certainement pas s'arrêter à la Russie.
L'horloge magnétique de la Terre suit son processus. Il va falloir s'attendre à des éruptions volcaniques dans les jours qui viennent. Plus il y aura d'éruptions et davantage les pôles magnétiques vont se déplacer. Là, elle va nous faire ses eaux -la lave- comme spécifié symboliquement dans l'Apocalypse où elle est représentée sous la forme d'une femme enceinte. Je répète pour les nouveaux venus. Le but du jeu étant que son coeur se refroidisse. Alors l'inversion se produira, le bouclier disparaîtra et la terre basculera. Ceci semble impossible aux scientifiques et pourtant cela s'est produit des millions de fois. Sinon comment expliquer ces gros trous noirs dans les civilisations antérieures ?
Les chercheurs feraient mieux d'apprendre les décryptages des textes sacrés, ils seraient plus près de la Vérité. Nos Anciens ne pouvaient pas divulguer la vérité au commun du mortel pour ne pas les effrayer. Mais ceux qui sont capables de comprendre doivent alerter le monde. Pour une seule chose. Que les mentalités changent dans le peu de temps qui nous reste, c'est très important pour la Conscience. Nous ne sommes pas là pour faire ce que l'on a fait de nous : des esclaves. Cette Civilisation nous a fait perdre notre Libre-Arbitre et notre capacité de Jugement. Reprenons nos esprits avant qu'il ne soit trop tard.
Les boussoles n'en finissent pas de perdre le nord
Depuis une dizaine d'années, le pôle Nord magnétique se déplace de 55 km par an vers la Russie. De quoi brouiller les cartes.
Pour ceux qui l'auraient oublié, le pôle Nord géographique ne correspond pas tout à fait au pôle Nord magnétique, point vers lequel convergent, depuis leur invention par les Chinois aux alentours de l'an mil, les boussoles et, plus récemment, les compas des avions et des bateaux.
Selon les derniers relevés effectués in situ, en avril 2007, par une équipe franco-canadienne dans le cadre du projet Poly-Arctique, le pôle Nord magnétique se trouvait à environ 550 kilomètres au sud du pôle Nord géographique, au large de l'île canadienne d'Ellesmere, à très exactement 83,95° de latitude nord et 121,02°de longitude ouest (voir infographie ci-dessus).
Non seulement l'écart entre les deux pôles est significatif, mais il ne cesse de varier au fil du temps. En 1831, lorsque l'explorateur britannique James Ross le localisa pour la première fois, le pôle Nord magnétique était centré sur la péninsule de Boothia (Canada), vers 65° de latitude nord, soit en deçà du cercle polaire, à environ 2 750 km du pôle Nord géographique ! Depuis, il ne cesse de s'en rapprocher. «Jusqu'en 1989, ce déplacement vers l'ouest s'est fait à un rythme relativement lent compris entre 5 et 15 km par an, puis il s'est brusquement accéléré pour atteindre 60 km par an jusqu'en 2002 avant de se stabiliser autour de 55 km par an», explique Arnaud Chulliat, chercheur à l'Institut de physique du globe de Paris et au CNRS qui a participé à l'expédition Poly-Arctique. À ce rythme, le pôle Nord magnétique pourrait dépasser le détroit de Béring (180° de longitude ouest) et donc basculer vers la Russie, aux alentours de 2020 !
Comment expliquer un tel phénomène et surtout pourquoi sa vitesse a-t-elle soudainement quadruplé pendant la décennie 1990 ? Pour Arnaud Chulliat, qui présentait ses conclusions, la semaine dernière à San Francisco, lors d'une conférence de l' American Geophysical Union (AGU), ces variations seraient dues à de brusques changements survenus à la surface du noyau, à plusieurs milliers de kilomètres sous terre. Ce dernier est composé d'une «graine» de fer solide et chaud (5 000 °C) de 1 200 kilomètres de rayon qui baigne dans une enveloppe liquide (ou noyau externe) de fer (à 80 %) et de nickel animée de mouvements de convection, à la manière d'une casserole d'eau que l'on met à bouillir sur le feu. Ce sont ces mouvements qui génèrent le champ magnétique terrestre, comme le ferait une énorme dynamo.
À partir de modèles de simulation numérique, l'équipe d'Arnaud Chulliat suggère l'existence d'un mystérieux «panache» magnétique qui remonterait depuis la surface de la «graine» vers la zone du noyau externe correspondant à la position actuelle du pôle Nord magnétique. Une chose est sûre, ce phénomène «très localisé, n'est pas de nature à influencer l'ensemble du champ magnétique terrestre». Lequel protège la Terre des particules du vent solaire, impropres à la vie, ainsi que des fameux orages magnétiques susceptibles de porter atteinte aux satellites et aux réseaux de télécommunications.
En revanche, le déplacement accéléré du pôle magnétique oblige à actualiser les cartes utilisées pour la navigation. Que ce soit dans les airs ou les mers. Malgré l'apparition récente du GPS, les pilotes d'avion de ligne ou de bateau continuent de se fier à leur compas pour s'orienter, ne serait-ce qu'en solution de repli. Les militaires y ont également recours pour le guidage de leurs missiles ainsi que les pétroliers pour l'exploration offshore. Enfin, si le phénomène décrit par Arnaud Chulliat devait se poursuivre au rythme et dans la direction actuelle, les fameuses aurores boréales, qui se produisent au-dessus du pôle Nord magnétique, seront davantage visibles au-dessus de la Sibérie que du Canada, comme c'est le cas actuellement.
Sources Le Figaro
Posté par Adriana Evangelizt