Je remercie Denis du Canada pour l'info. L'article est en anglais, j'en ai déjà parlé, il y a quelques temps. Je traduis sommairement car je suis une très mauvaise traductrice ! Voyez la video sur les explosions de méthane qui se sont produites dans le passé, il faut le savoir. J'ai d'ailleurs une doc qui en parle mais je ne peux pas la retrouver. Il y a eu une explosion de méthane dans le passé en Alaska qui a produit la même chose que l'explosion volcanique qui s'étendait sur des milliers de km et dont les scientifiques sont incapables de trouver la cause. Comme par hasard, au même endroit. Mais ne rêvons pas, cela s'est passé dans beaucoup d'autres endroits de par le monde, seulement les chercheurs ne relient pas ces éruptions volcaniques et le méthane. Et pourtant quand on y réfléchit avec des yeux non scientifiques, tout s'explique. Les gaz remontent parce que dessous la lave remonte aussi. Point final. De plus, ils continuent d'envoyer du monde pour essayer de colmater mais une explosion pourrait se produire à nouveau tuant tout le monde. Et ça, c'est une chose qu'ils savent...
L'article dit grosso-modo :
Nous avons la preuve qu'il se passe quelque chose d'effrayant au fond de l'océan, quelque chose de bien pire que la fuite du pétrole. Des avertissements ont été lancés à BP plus d'un an avant la catastrophe Deep Horizon que la zone des fonds marins choisis par les géologues BP était instable ou pire, dangereuse.
Ce qui rend l'emplacement choisi par Transocéan potentiellement beaucoup plus risqué que d'autres gisements de pétrole situés dans d'autres régions du Golfe peut se résumer en quelques mots : le méthane.
Le méthane qui rend l'extraction du charbon dangereux et entraîne des accidents miniers horribles dans les profondeurs de la terre peut également présenter un niveau élevé de danger pour certaines entreprises d'explorations pétrolières.
Il y a plus de douze mois, quelques géologues ont tiré la sonnette d'alarme en disant que la plateforme d'exploration Deep Horizon aurait pu être érigée directement sur un énorme réservoir souterrain de méthane. Des documents datant de plusieurs années indiquent que la formation géologique souterraine pouvait contenir la présence d'un gisement de méthane énorme. Un ingénieur a déclaré qu'un immense lac souterrain de gaz methane -comprimé par une pression de 100 000 livres par pouce carré- pourrait être libéré si BP forait à cet endroit.
La technologie actuelle ne peut pas contenir ce gaz à haute pression. Selon les estimations des géologues, les bulles toxiques piégées sous le plancher océanique s'étendrait de 15 à 20 miles. La destruction explosive de la tête du puits en eau profonde était un accident qui ne demandait qu'à se produire.
Pourtant, la catastrophe qui a suivi la destruction de la plateforme est dérisoire comparée à celle apocalyptique qui pourrait survenir.
Catastrophes en cascades
Selon les géologues inquiets, les premiers signes que le méthane peut éclater sont les fissures ou crevasses apparaissant sur le fond de l'océan près du puits endommagé.
Les preuves de ces fissures ont été capturées par les submersibles robotisés travaillents au fond de l'océan pour réparer et contenir la fuite. Des petits panaches indépendants sont également apparues à proximié du trou de forage lui-même.
Selon certains experts géologiques, l'opération de BP a mis en branle une série d'évènements qui peuvent être irréversibles. Etape par étape, l'équipe a commis erreur sur erreur.
L'explosion du puits a soufflé le plancher océanique catapultant un ruisseau de boue, le pétrole et le gaz à la vitesse grand V sur une longueur de huit miles.
La mort qui vient du fond
Avec l'émergence de preuves attestant de fissures, la crainte est que la bulle de méthane explose dans les eaux du Golfe. Si la bulle éclate, tout navire de forage ainsi que la structure de la région sera détruite. Tous les travailleurs, ingénieurs, gardes-côtes, biologistes marins périront instantanément.
Aussi horrible que cela soit, cette catastrophe égalerait le tsunami en Indonésie qui a tué plus de 600000 personnes ou la destruction de Pompéi par le Vésuve.
Pourtant ces catastrophes seront dérisoires à côté de celle qui pourrait advenir. Les énormes réserves de gaz exploseront avec une telle fureur que cela sera similaire à l'éruption du mont St Helens, dans le Pacifique Nord-Ouest. Un geyzer de gas jaillira vers le haut et explosera propulsé par une force titanesque qui éclatera au travers des fentes et des fissures du plancher océanique.
Le nuage de méthane en plein essor jaillira à la surface, tuant tout ce qu'il touche, et provoquera une sorte de tsunami supersonique dont la vague déferlerait à la vitesse de 400 à 600 miles par heure.
Alors que toute la côte du Golfe est vulnérable, l'état le plus exposé à la fureur d'une onde supersonique serait la Floride située à cent pieds au-dessus du niveau de la mer.
Un tsunami supersonique balaierai littéralement tout Miami en quelques minutes. La perte de vies humaines serait instantanée et chiffrée par millions. Bien évidemment, les états du Texas, Louisiane, Mississipi, Alabama et de la région sud de la Géorgie auraient aussi des dizaines, voire des centaines de milliers de victimes.
Les pertes de biens seraietnt incalculables et la position des Etats-Unis comme superpuissance mondiale disparaîtrait dans un éclair... comme l'explosion du méthane.
Il y a eu voilà 55 millions d'années une exploisons de méthane qui a duré environ 100 000 ans, ce qui a causé une extinction de masse...
How the ultimate BP Gulf Oil "Spill" mega-desaster could kill millions
by Terrence Aym
More than 12 months ago some geologists rang the warning bell that the Deepwater Horizon exploratory rig might have been erected directly over a huge underground reservoir of methane.
Documents from several years ago indicate that the subterranean geologic formation may contain the presence of a huge methane deposit.
None other than the engineer who helped lead the team to snuff the Gulf oil fires set by Saddam Hussein to slow the advance of American troops has stated that a huge underground lake of methane gas—compressed by a pressure of 100,000 pounds per square inch (psi)—could be released by BP’s drilling effort to obtain the oil deposit.
Current engineering technology cannot contain gas that is pressurized to 100,000 psi.
By some geologists’ estimates the methane could be a massive 15 to 20 mile toxic and explosive bubble trapped for eons under the Gulf sea floor. In their opinion, the explosive destruction of the Deepwater Horizon wellhead was an accident just waiting to happen.
Yet the disaster that followed the loss of the rig pales by comparison to the apocalyptic disaster that may come.
A cascading catastrophe
According to worried geologists, the first signs that the methane may burst its way through the bottom of the ocean would be fissures or cracks appearing on the ocean floor near the damaged well head.
Evidence of fissures opening up on the seabed have been captured by the robotic submersibles working to repair and contain the ruptured well. Smaller, independent plumes have also appeared outside the nearby radius of the bore hole itself.
According to some geological experts, BP’s operations set into motion a series of events that may be irreversible.
Congressmen Henry Waxman, D-CA, and Bart Stupak, D-MI, in a letter sent to BP CEO Tony Hayward, identified 5 missteps made by BP during the period culminating with the explosion.
Waxman, chair of the Congressional energy panel and Stupak, the head of the subcommittee on oversight and investigations, said, "The common feature of these five decisions is that they posed a trade-off between cost and well safety."
The two Representatives also stated in the 14-page letter to Hayward that "Time after time, it appears that BP made decisions that increased the risk of a blowout to save the company time or expense."
Called by some insiders investigating the ongoing disaster a "perfect storm of catastrophe," the wellhead blew on the sea floor catapulting a stream of mud, oil and gas upwards at the speed of sound.
In describing the events—that transpired in a matter of seconds—they note that immediately following the rupture the borehole pipe's casing blew away exposing a straight line 8 miles deep for the pressurized gas to escape. The result was cavitation, an irregular pressure variance sometimes experience by deep diving vessels such as nuclear submarines. This cavitation created a supersonic bubble of explosive methane gas that resulted in a supersonic explosion killing 11 men and completely annihilating the drilling platform.
Death from the depths
With the emerging evidence of fissures, the quiet fear now is the methane bubble rupturing the seabed and exploding into the Gulf waters. If the bubble escapes, every ship, drilling rig and structure within the region of the bubble will instantaneously sink. All the workers, engineers, Coast Guard personnel and marine biologists measuring the oil plumes' advance will instantly perish.
As horrible as that is, what would follow is an event so potentially horrific that it equals in its fury the Indonesian tsunami that killed more than 600,000, or the destruction of Pompeii by Mt. Vesuvius.
The ultimate Gulf disaster, however, would make even those historical horrors pale by comparison. If the huge methane bubble breaches the seabed, it will erupt with an explosive fury similar to that experienced during the eruption of Mt. Saint Helens in the Pacific Northwest. A gas gusher will surge upwards through miles of ancient sedimentary rock—layer after layer—past the oil reservoir. It will explode upwards propelled by 50 tons psi, burst through the cracks and fissures of the compromised sea floor, and rupture miles of ocean bottom with one titanic explosion.
The burgeoning methane gas cloud will surface, killing everything it touches, and set off a supersonic tsunami with the wave traveling somewhere between 400 to 600 miles per hour.
While the entire Gulf coastline is vulnerable, the state most exposed to the fury of a supersonic wave towering 150 to 200 feet or more is Florida. The Sunshine State only averages about 100 feet above sea level with much of the coastline and lowlands and swamps near zero elevation.
Elevation map] A supersonic tsunami would literally sweep away everything from Miami to the panhandle in a matter of minutes. Loss of human life would be virtually instantaneous and measured in the millions. Of course the states of Texas, Louisiana, Mississippi, Alabama and southern region of Georgia—a state with no Gulf coastline—would also experience tens of thousands, if not hundreds of thousands of casualties.
Loss of property is virtually incalculable and the days of the US position as the world's superpower would be literally gone in a flash...of detonating methane.
Report about the Late Paleocene Thermal Maximum (LPTM), which occurred around 55 million years ago and lasted about 100,000 years. Large undersea methane caused explosions and mass extinctions.
http://www.sciencedaily.com
This explores the controversial paper published by Northwestern University's Gregory Ryskin. His thesis: the oceans periodically produce massive eruptions of explosive methane gas.
outube videos discussing the underground methane deposit
http://www.youtube.com/watch?v =wki74yAYrqA&feature=related
http://www.youtube.com/watch?v =z4hfGY6i75w&feature=related
Source of this article: http://www.helium.com
Photo: http://senseofevents.blogspot.com
* This is controversial
Related: How the BP Gulf oil spill may create killer hurricanes
BP oil Spill Files (50 articles): http://www.internationalnews.fr/article-dossier-marees-noires-oil-spill-dossier-on-in-50269883.html
Url of this article: http://www.internationalnews.fr/article-how-the-ultimate-bp-gulf-oil-spill-mega-disaster-could-kill-millions-53122974.html
Sources : International News
Posté par Adriana Evangelizt