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  • : La catastrophe planétaire qui s'est produite voilà 12 960 ans est en train de se reproduire mais nul n'en parle... il faut retrouver la Cosmogonie des Anciens pour Savoir.
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16 septembre 2008 2 16 /09 /septembre /2008 14:38

Là aussi,  il y a beaucoup de mystères sur Toutankhamon et son père Akhenaton. Ce dernier aurait épousé une de ses filles, ce fait est passé sous silence.  On nous tait que les pères avaient des relations avec leurs filles et les mères avec leur fils. On nous dit  -les chercheurs patentés- que l'on a retrouvé deux jumeaux morts nés dans la tombe de Toutankhamon et que l'un d'entre eux est plus gros que l'autre. Or, la véritable histoire est que l'un des avortons aurait été agé de 7 mois lors de son décès. Quand on sait que ce pharaon, héritier d'Aménophis IV, est mort sûrement assassiné à l'âge de 19 ans, on ne peut que trouver étrange que deux de ses enfants aient suivi le même sort. Ce qui signifie tout simplement que l'on a voulu se débarrasser aussi de ses héritiers. Quand on sait, de surcroît, que c'est Ay qui lui succéda, le coupable est tout désigné.  




Les foetus de la tombe de Toutankhamon seraient des jumeaux,
enfants du pharaon



L'un des deux foetus découverts dans le tombeau de Toutankhamon, le 6 août 2008 au Caire


Les deux bébés morts-nés dont les momies furent découvertes en Egypte dans la tombe de l'enfant-pharaon Toutankhamon pourraient être des jumeaux dont il aurait été le père, a indiqué mardi un expert britannique.


Le professeur Robert Connolly, qui avait examiné la dépouille momifiée du pharaon dans les années 1960 et qui travaille de nouveau avec les autorités égyptiennes, a expliqué que de nouvelles recherches laissent penser que les deux foetus étaient probablement des jumeaux et que le pharaon aurait été leur père.

Ces découvertes, que le professeur devait présenter mardi lors d'une conférence à l'université de Manchester (nord-ouest de l'Angleterre), offrent un aperçu "très excitant" de la vie du jeune pharaon, décédé à l'âge de 19 ans il y a plus de trois millénaires.

"Les deux foetus de la tombe de Toutankhamon pourraient être jumeaux malgré leur taille très différente", a expliqué le professeur dans un communiqué. "Cela augmente la probabilité qu'ils soient les enfants de Toutankhamon".

La tombe du pharaon, qui contenait les deux foetus, fut découverte le 4 novembre 1922 par le Britannique Howard Carter dans la Vallée des rois, près de Louxor. Les foetus étaient depuis conservés à l'université du Caire.

"J'ai étudié en 1979 l'une des momies, la plus grosse, et déterminé le groupe sanguin de la mère du bébé et l'ai comparé avec mon analyse datant de 1969 du groupe sanguin de Toutankhamon. Les résultats ont confirmé que ce foetus pourrait en effet être la fille de Toutankhamon", a ajouté M. Connolly.

"Désormais, nous pensons qu'il s'agit de jumeaux et qu'ils étaient ses enfants", a poursuivi le professeur d'anthropologie physique de l'université de Liverpool.

Le service des antiquités égyptiennes a annoncé début août que des tests ADN allaient être effectués sur les momies des foetus pour déterminer s'ils sont les enfants du pharaon et de son épouse Ankhesenpamon, fille de la reine Nefertiti.

Proclamé pharaon à l'âge de neuf ans, Toutankhamon a été rendu célèbre par son fabuleux trésor funéraire débordant d'objets en or.

Sources AFP



Tests ADN sur deux momies de fœtus égyptiens


Une expertise qui devrait clarifier la généalogie du pharaon Toutankhamon.

L'Égypte va procéder à des tests ADN sur les momies de deux enfants mort-nés découverts en 1922 dans le tombeau du pharaon Toutankhamon. Le Service des antiquités égyptiennes espère ainsi faire la lumière sur l'arbre généalogique de l'«enfant roi», monté sur le trône dès l'âge de 9 ans et qui a régné dix ans sur l'Égypte, il y a un peu plus de 3 300 ans.

En effet, si Akhenaton est présenté comme étant le père de Toutankhamon, l'identité de sa mère reste controversée. Il pourrait s'agir de la première et célèbre femme d'Akhenaton, Néfertiti, de sa seconde épouse, la princesse étrangère Kiya, ou encore de Maya, la nourrice de Toutankhamon. Les résultats de ces tests pourraient également aider à identifier la momie de Néfertiti.


Sources Le Figaro


Posté par Adriana Evangelizt  
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14 mai 2008 3 14 /05 /mai /2008 02:21

Benny Channon est en train de faire fureur sur le net. J'en ai déjà parléICI. Moïse devait certes pratiquer le rituel des plantes sacrées pour accéder à certains plans de conscience mais il ne faut pas oublier cependant que ceux qui ont entrepris d'écrit l'Ancien Testament ont raconté ce qu'ils ont voulu dans le sens qui les arrangeait. Le miracle de la mer Rouge qui s'ouvre en est un exemple parmi des milliers d'autres. Ou que D. aurait donné la terre de Canaan à Abraham. On voit où mènent les altérations et les mensonges aujourd'hui au Proche-Orient. A la base, la Terre appartient à tout le monde. Et elle reprendra son droit bientôt de toute façon.

  

 

 Ancien Testament: certains passages sont le fruit d'hallucinations

 

Les Hébreux consommaient peut-être de manière assidue une plante hallucinogène à l'époque où Moïse avait rapporté les Tables de la Loi du sommet du Sinaï. Cette hypothèse résulte d'une nouvelle étude réalisée par un professeur israélien en psychologie.

Benny Shanon, de l'Université hébraïque de Jérusalem, explique dans la revue britannique "Time and Mind" que deux plantes poussant dans le désert du Sinaï renferment les mêmes molécules psychoactives que celles que l'on trouve dans des plantes à partir desquelles les Indiens d'Amazonie préparent l'ayahuasca, breuvage fortement hallucinogène que consomment les chamans de la région.

Le tonnerre, les éclairs et le puissant son de trompe qui, selon le Livre de l'Exode, ont enveloppé le Sinaï lorsque les Israélites campaient dans le désert alentour, pourraient avoir eu pour seule origine l'état de conscience modifié du peuple venu d'Egypte, pose Shanon comme hypothèse.

Dans certaines formes avancées d'hallucinations produites par la consommation d'ayahuasca, la vue de la lumière s'accompagne de sentiments religieux et spirituels profonds, écrit Shanon.

Dans une telle situation, beaucoup, selon lui, ont l'impression d'accéder à Dieu. Shanon précise qu'il connaît bien les effets de l'ayahuasca pour en avoir consommé 160 fois, à diverses occasions.

Il rappelle que l'une des plantes psychoactives présentes dans le Sinaï et en d'autres points du Proche-Orient, appelée "harmal", se voit attribuer par les Juifs de la région des pouvoirs magiques et médicaux.

Sources Edicom

Posté par Adriana Evangelizt

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14 mai 2008 3 14 /05 /mai /2008 02:14

Un chercheur israélien pense que Moïse aurait été sous hallucinogènes lorsqu'il a présenté les 10 commandements au peuple juif. Ceci me paraît drôle car j'ai posé une analyse fort intéressante ICI où il est question du Kaneh-Bosm, mot que l'on retrouve fréquemment dans la torah et qui signifie "cannabis" ou chanvre. L'auteur pose la question de savoir si le cannabis n'aurait pas ouvert la conscience du prophète ? Mais il faut bien savoir que le chanvre fut une des premières plantes cultivées sur la planète et qu'à la base seul les chamans l'utilisaient selon des rituels bien précis pour "capter" des informations du "monde supérieur". Accéder à une certaine "Connaissance". On a retrouvé d'ailleurs des feuilles de cannabis sur nombre de momies égyptiennes. Voilà encore une chose passée sous silence mais qui faisaient partie des mœurs de nos ancêtres.

 

 

Moïse aurait été sous l'effet d'hallucinogènes,

 selon un chercheur israëlien




A sa descente du Mont Sinaï, Moïse était sous l'effet de puissants hallucinogènes lorsqu'il a présenté les Dix Commandements au peuple juif, estime Benny Shanon, professeur au Département de psychologie cognitive de l'Université hébraïque de Jérusalem.

Dans un provoquant article publié cette semaine par «Time and Mind», un journal consacré à la philosophie, M. Shanon affirme que
la consommation de psychotropes faisait partie intégrante des rites religieux des Israélites évoqués par le livre de l'Exode dans la Bible.

«En ce qui concerne Moïse au Mont Sinaï, il s'agissait soit d'un évènement cosmique surnaturel auquel je ne crois pas, soit d'une légende à laquelle je ne crois pas non plus, soit enfin --et c'est très probable-- d'un évènement rassemblant Moïse et le peuple d'Israël
sous l'effet de stupéfiants», a affirmé le professeur à la radio publique israélienne.

«La Bible écrit à ce sujet que
+le peuple voit des sons+, et c'est un phénomène très classique, par exemple dans la tradition de l'Amérique latine où l'on +voit+ de la musique», a-t-il ajouté.

Il a aussi mentionné les exemples
du Buisson Ardent et de l'Arbre de la Connaissance au Jardin d'Eden, précisant qu'il y a dans les déserts du Sinaï égyptien et du Néguev israélien des herbes et des plantes hallucinogènes toujours utilisées par les bédouins.

Selon lui,
les sociétés traditionnelles chamaniques ont souvent recours aux stupéfiants dans leurs rites religieux. «Mais ce recours est soumis à des règles très strictes (...). Ainsi le feu peut être une mauvaise chose s'il est utilisé pour la guerre, et une très bonne chose s'il sert à la cuisine».

«J'ai moi-même été invité en 1991 à une cérémonie religieuse dans le nord de l'Amazonie, au Brésil, durant laquelle j'ai consommé une potion faite d'une plante,
l'ayahuasca, et j'ai eu des visions à connotations spirituelle et religieuse», a par ailleurs indiqué le professeur Shanon.

Selon lui,
les effets psychédéliques des potions préparées avec l'ayahuasca sont comparables à ceux produits par des breuvages concoctés avec l'écorce de l'acacia. Cet arbre est fréquemment mentionné dans la Bible, et son bois est semblable à celui dans lequel a été taillée l'Arche d'Alliance.

Sources Le Parisien

Posté par Adriana Evangelizt

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13 mai 2008 2 13 /05 /mai /2008 11:18


Voilà un extrait de livre qui explique comment le Peuple était considéré par la caste sacerdotale et le Pouvoir Egyptien. Des esclaves ou des parias, c'est selon. Des esclaves dans le sens où les gens du Peuple ne servaient qu'à travailler pour faire vivre les puissants. Ils étaient dépouillés de tous droits et de toute instruction. Mais pour les maintenir en esclavage, les Prêtres leur faisaient croire en des dieux auxquels eux-mêmes ne croyaient pas, se gardant les clefs de la Science pour garder le Pouvoir en quelque sorte. Voilà comment la Tradition Originelle s'est pervertie. Par les prêtres.




ANCIENS EGYPTIENS

Extrait de "Le vrai christianisme suivant Jésus-Christ" d'Etienne Cabet

1848

 

C'est 1491 ans avant Jésus-Christ, suivant les uns, et 1900 suivant d'autres, que Moïse sortit d'Egypte avec les Hébreux, il y a trois à quatre mille ans.

A cette époque, les Egyptiens étaient divisés en trois castes, celle des Prêtres, celle des Guerriers, et celle du Peuple... Chacune de ces castes se subdivisait en beaucoup d'autres, qui toute avait leur rang de supériorité et d'infériorité. La dernière caste du Peuple était, comme celle des Parias dans l'Inde, une classe maudite et proscrite.

La caste des prêtres comprenait tous les savants, les astronomes, les physiciens, les chimistes, les médecins, les littérateurs, les juristes, les magistrats, les fonctionnaires publics et les législateurs : c'était une Aristocratie sacerdotale et scientifique. La caste des Guerriers formait une Aristocratie militaire. Le Roi appartenait à une de ces deux castes.

Le Gouvernement était un mélange de théocratie, d'aristocratie et de monarchie.

Le Peuple comprenait les laboureurs et les artisans, dépouillés de tout droits et de toute instruction.

La Science était un mystère sacré interdit au vulgaire. Toutes les opérations scientifiques étaient appelées des miracles et considérées comme des oeuvres surnaturelles ou divines.

Le territoire était partagé en trois parts, l'une pour la caste des Prêtres, l'autre pour les Guerriers, la troisième pour le Roi et les dépenses du Gouvernement. Toutes les terres étaient cultivées par la classe des laboureurs, qui n'étaient que locataires ou fermiers.

Les Prêtres formaient une espèce de Communauté, possédaint la terre en commun, vivaient en commun. C'est chez eux que Minos, Lycurgue, Pythagore, les Esséniens, prirent l'idée de la Communauté pour la porter en Crête, en Grèce, en Italie, en Judée.

Les Prêtres étaient très instruits, mais le Peuple était très ignorant, comme un Peuple de nègres ou d'esclaves.

La langue des Prêtres, composée d'hiéroglyphes, de dessins, de figures, d'images, d'emblêmes, de symboles, d'énigmes, était un mystère pour le Peuple.

Les Prêtres avaient une Religion plus ou moins raisonnable et épurée : mais, pour enchaîner le Peuple, ils lui avaient donné une religion particulière et vulgaire, qui n'était qu'un amas de superstitions grossières, lui affirmant les fables les plus absurdes, les métamorphoses les plus bizarres, lui présentant des milliers de Dieux, lui faisant adorer comme des divinités, non seulement tous les hommes extraordinaires et les Rois, mais les astres, les animaux utiles ou nuisibles, les plantes, etc., élevant des autels et des statues au veau, au taureau, à la vache, à l'agneau, au crocodile, au rat, etc., etc.

Le Peuple était donc excessivement supersticieux et crédule.

Et pour perpétuer cette organisation sociale, les Prêtres la disaient imposée par les Dieux eux-mêmes et la présentaient comme la juste récompense des mérites des classes privilégiées, et comme la juste punition des fautes des ancêtres des classes déshéritées ; le Peuple était divisé en Provinces, dont chacune avait une langue et des Dieux différents ; personne ne pouvait se marier que dans sa classe, ni exercer une autre profession que celle de son père ; toute communication était interdite avec l'Etranger, signalé comme un barbare et un ennemi.

Et cette Organisation sociale était alors celle de l'Humanité presque toute entière.

Les nombreuses Colonies qui sortirent d'Egypte pour aller s'établir tout autour de la Méditerranée, et qui se composaient de l'Opposition d'alors, des hommes les plus indépendants et les plus avancés, portèrent partout cette organisation sociale en la perfectionnant.

Mais, malgré tous les progrès, depuis trois à quatre mille ans, on en trouve encore partout d'innombrables vestiges.

 Posté par Adriana Evangelizt

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