Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le blog de Adriana Evangelizt
  • : La catastrophe planétaire qui s'est produite voilà 12 960 ans est en train de se reproduire mais nul n'en parle... il faut retrouver la Cosmogonie des Anciens pour Savoir.
  • Contact

L'Apocalypse est pour demain

 

 

 

 

Toutes les catastrophes dans le monde en temps réel

 

RSOE EDIS

 

Merci de soutenir ce blog...  

 

A notre époque, hélas... il est difficile pour les Chercheurs de Vérité de ne vivre que des "dons du Ciel" ils sont obligés de faire appel au Mécénat Populaire... Merci pour votre Générosité

et  votre Soutien.  

 

adrianaevangelizt@wanadoo.fr

Recherche

Blogs à suivre

BEN GARNEAU

 

HORIZON 444

 

Archives

4 septembre 2010 6 04 /09 /septembre /2010 11:13

 Voilà déjà plusieurs mois que des astéroïdes ont commencé à tomber sur la terre mais quand le "souffle cosmique" va entrer vraiment en action, ça va tomber dru sur toute la surface planétaire. Rien ne nous sera épargné, qu'on se le dise. 

 

 

 

 

Plus d’un demi-million d’astéroïdes découverts

 

 

Ciel et espace, 2 septembre 2010

par Emilie Martin

 

Asteroides1_360.jpg

 

A ce jour, plus de 500 000 astéroïdes ont été repertoriés. Crédit : L. Bret/C&E Photos

 

 

 

Le recensement des astéroïdes, ces petits corps rocheux qui naviguent entre Mars et Jupiter et près de la Terre, avance à grands pas : plus de 500 000 sont aujourd’hui répertoriés.

 

Au 26 juillet 2010, le Minor Planet Center, organe chargé de la désignation des astéroïdes en dénombre 246 869 numérotés, dont 16 065 nommés. 281 996 n’ont pas encore reçu de numéro, ce qui porte le total des astéroïdes confirmés à 528 865. Il y a trente ans, moins de 10 000 avaient été découverts. 

 

Des astéroïdes découverts par des télescopes-robots

 

La recherche s’est accélérée à la fin des années 1990 lorsque les grands programmes de sondage céleste, tels LINEAR, NEAT ou Spacewatch ont été lancés. Ils consistent à balayer le ciel avec des télescopes automatiques à grand champ équipés de caméras CCD.

 

Scott Manley, de l’observatoire Armagh (Royaume-Uni) vient de créer cette surprenante vidéo illustrant le rythme des découvertes d’astéroïdes de 1980 à 2010. Le temps défile en bas, à gauche de l’écran, tandis que chaque série de détections apparaît brièvement en blanc.


Les points rouges correspondent aux astéroïdes dont l’orbite croise celle de la Terre (les géocroiseurs), ceux qui s’approchent de notre planètes à moins de 1,3 unité astronomique (une unité astronomique =150 millions de km) figurent en jaune et tous les autres sont en vert.

 

 

 

 

De nombreux astéroïdes potentiellement dangereux pour notre planète restent à découvrir. C’est pour traquer les plus petits d’entre eux, de 100 à 300m de diamètre, que le Large Synoptic Survey Telescope (LSST) sera construit au Nord du Chili. Ce télescope de 8,4m de diamètre sera équipé d’une caméra CCD de 3,2 milliards de pixels. Début des opérations prévu pour 2018.

 

Sources SIGNES DES TEMPS

 

Posté par Adriana Evangelizt

Partager cet article
Repost0
26 juillet 2010 1 26 /07 /juillet /2010 23:04

 Voilà donc -avec du retard et je m'en excuse- la fameuse video dont je vous parlais ICI, où l'on voit bien les structures sur Mars. Ce n'est pas Cydonia. Ce sont les vestiges d'une autre cité : TITHONIA. D'après des photos prises par Mars Global Surveyor. Avec une reconstitution virtuelle des structures et monuments. Cette "colonie" -comme ils l'appellent-  aurait  2200 miles de long et 1600 miles de large. je me demande si j'ai bien lu !  Et il y en aurait une autre un peu plus loin. Cette video a été faite par la Christian Intelligence dont j'avais posé ICI un extrait du projet UTOPIA. Avant de passer à la démonstration, ils parlent du BROOKINGS REPORT -voyez sur Wikipedia en anglais bien entendu ICI- et en lisent de larges extraits. Ce document commandé par la NASA à la Brookings Institution -en rapport avec le projet SETI et les possibles rencontres d'intelligences extraterrestres- recommandait de ne pas divulguer les informations car cela pourrait poser des problèmes avec la communauté scientifique et religieuse. Ca vaut le coup d'oeil ! Mettez le traducteur pour ceux qui ne comprendrait pas l'anglais. En voici quelques extraits : 

 

"Il a été spéculé que, de tous les groupes, les scientifiques et les ingénieurs pourraient être les plus dévastés par la découverte de créatures relativement supérieure (à nous), étant donné que ces professions sont plus clairement associées à la maîtrise de la Nature plutôt qu'à la compréhension et l'expression de l'homme. Cette découverte pourrait "vicier l'ensemble de nos théories"... page 225. Vous voyez déjà que la vie ET poserait des problèmes à la science, on s'en doute. Nous en avons déjà la preuve avec les monuments Egyptiens ou les lignes de Nazca dont ils sont incapables de nous dire qui les a construits ou tracés et comment. Voilà un passage du rapport sur les religieux :

 

"Les positions des grandes chaînes américaines de confessions religieuses, les sectes chrétiennes et les religions orientales sur la question de l'élucidation de la vie extraterrestre si besoin est, considérez ce qui suit : "Les sectes fondamentalistes et anti-science sont de plus en plus nombreuses à travers le monde... Pour eux, la découverte d'autres formes de vie dans l'espace sertait "électrisante"... page 225.

 

Bien qu'il ne soit pas spécifiquement recommandé de cacher les preuves de vie extraterrestre, les études proposées sur les implications des activités spatiales pacifiques pour les affaires de l'homme suggèrent que le contact avec la vie extraterrestre intelligente (ou des preuves solides de sa réalité) pourrait avoir un effet perturbateur sur les sociétés humaines. En outre, le rapport mentionne que le leadership pourrait souhaiter retenir des preuves de vie extraterrestre au public sous certaines conditions. Ceci est significatif.

 

Le problème majeur est que ce rapport a été pondu en 1960 et que la NASA l'a mis sous le boisseau. Vous pouvez le lire en entier ICI, en anglais encore et toujours. En France, motus et bouche cousue. Un chercheur nommé Mc Daniel a réussi à l'obtenir en 1993 -voir ICI, en Français- et lisez son rapport où il accuse carrément la NASA de dissimuler des données, des photos et images ou d'alléguer, notamment sur Cydonia, qu'il n'y a aucune évidence que ce sont des "structures non naturelles" malgré toutes les analyses des chercheurs, voir cette page où il en parle.

 

Il y a autre chose qui m'a fait tilt en lisant le rapport de la Brookings Institution, c'est qu'il stipule bien que si il y a des "intelligences extraterrestres" et qu'ils sont venus dans notre système solaire, ils ont "forcément laissé des traces" sur Mars, la Lune ou Vénus.

 

"Bien que des rencontres avec une vie intelligente extraterrestre ne se produira pas au cours des 20 prochaines années (à moins que sa technologie soit plus avancée que la terre et lui permette de visiter la terre), des objets laissés à un certain moment par ces formes de vie pourraient éventuellement être découverts grâce à nos activités spatiales sur la Lune, Mars ou Venus." page 215.

 

N'est-ce pas étrange ? Quand on sait notamment toutes les missions qu'il y a eu vers et sur  Mars ? N'est-il pas étrange aussi de voir comment les nouvelles photos du visage de Cydonia l'ont rendu totalement méconnaissable ? Voir les photos sur l'excellent article de Jean Cider qui, lui aussi, accuse la NASA de falsifier les données et de truquer les photos. Et il est certain qu'ils ne doivent pas se gêner. Car comment se fait-il qu'ils diffusent certaines images un an après qu'elles aient été prises. Voir sur le livre Les vestiges de Mars à partir de la page 22.

 

La Vérité est qu'ils ont trouvé des vestiges sur Mars parce qu'il y en a comme il y en a sur la Lune. Mars fut jadis habitée comme l'est aujourd'hui la Terre. D'ailleurs n'est-il pas étrange encore... qu'aux dires des scientifiques Mars se serait éteinte au moment où la Terre se serait construite "par un pur hasard" ? Nous savons que la planète rouge avait un bouclier magnétique comme notre terre. Qu'il y avait de l'eau. Et qu'elle était donc tout à fait viable. Lorsque Mars a commencé à devenir inhabitable, l'Elite de la Grande Civilisation a pris ses précautions. Ils ont d'abord construit des colonies-escales sur la Lune puis ils sont venus sur la Terre. Et nous sommes leurs descendants. On ne rit toujours pas...

 

Et maintenant voyez les vestiges de Mars, reconstitués virtuellement et vous verrez que les Pyramides de Kheops ou du Yucatan ne sont certainement pas l'oeuvre du hasard...

 

 

 

 

Posté par Adriana Evangelizt

Partager cet article
Repost0
4 juillet 2010 7 04 /07 /juillet /2010 07:02

Il y aura des signes venus du ciel... disent les textes. Il se passe quelque chose dans l'espace, en relation avec le trou noir situé au centre de notre galaxie. Tout le système solaire est actuellement chamboulé par lui. Les scientifiques ne peuvent pas expliquer à quoi servent exactement ces trous noirs. Ils emploient un jargon où l'on ne comprend rien, comme d'habitude, mais leurs théories ne résoud pas la Mystère.  Une chose est certaine, ils ne sont pas dans l'espace pour rien. Ils servent à quelque chose. Personnellement, j'ai l'impression que ce sont des vortex...

 

 

 

 

 

Une mystérieuse pluie de blocs de glace

 

frappe un village chinois

 

 

par NewsOfTomorrow

(Source : Yanzhao Metropolis Daily, Global Times)

 

 

 

Des experts en météorite de Pékin examinent des échantillons de glace tombés d’un ciel ensoleillé, sans nuages, le 5 juin dans le village de Bodong, du comté de Fengning, dans la province de Hebei.

 

Selon une fermière, Yang Xiuqin, qui labourait vers 8h40, elle a entendu un "bruit sifflant", et a vu un objet blanc tomber du ciel dans le bois, à 300 mètres.

 

Quelques secondes plus tard, elle a entendu à nouveau le même bruit venant du ciel, et a vu deux autres objets, l’un gros et l’autre plus petit, tomber au bord d’une rivière et dans un champ de maïs à 200 mètres.

 

Lorsque Yang et d’autres se sont empressés d’aller voir ce que c’était, ils ont trouvé de gros morceaux de glace dans deux cratères, l’un de 20 centimètre de profondeur et 75 centimètres de diamètre. Le morceau de glace le plus petit se trouvait dans un cratère de 30 centimètres de diamètre.

 

Ils l’ont signalé au chef du village, Zhang Jinfeng, qui a demandé à sa femme photographe Huang Shulin de prendre des photos de la glace et des cratères. Elle a aussi gardé certains morceaux dans son congélateur car la température dépassait les 30°C. Certains villageois aventuriers ont même goûté la glace et dit qu’elle était "juste comme l’eau de pluie, c’est tout." Plus de 20 villageois ont dit ne pas avoir vu d’avion passer. L’expert en météorite, Zhang Baolin, s’est rendu sur le site ce matin du 6 juin pour prendre des échantillons et faire des tests en laboratoire à Pékin pour voir si les blocs de glace sont des mégacryométéores.

 

Depuis des siècles, il y a des légendes évoquant de la glace qui tombe du ciel. Elles ne firent pas l’objet d’un intérêt scientifique sérieux jusqu’à ce l’Espagne et d’autres pays furent bombardés par ces mystérieux intrus, il y a quelques années. Jesus Martinez-Frias du Planetary Geology Laboratory à Madrid et ses collègues ont recueilli le signalement de 40 cas de glace tombant du ciel dans le monde depuis 1999. Ils appellent ces étranges objets des "mégacryométéores".

 

L’hypothèse la plus simple et la moins controversée est que la glace tombe des avions, mais pas grand chose ne vient directement soutenir cette idée. Quelques experts qui étudient ce phénomène ont avancé que de tels incidents dans le monde ont une origine plus exotique, comme le réchauffement de la planète.

 

Commentaire : Ces "experts" n’ont certainement pas lu le Livre des damnés de Charles Fort ainsi que The Case for the UFO de Jessup... car ce genre d’incidents ne date pas de quelques années. D’autres exemples : De mystérieux morceaux de glace traversent un toit en Californie, Un "météore" de glace a presque tué des enfants, Des cubes de glace géants brisent un toit, Un bloc de glace tombe du ciel en Espagne, Des blocs de glace s’écrasent sur une maison canadienne, Un bloc de glace tombe du ciel sur des joueurs de pétanque, ...

Sources News of Tomorrow

 

Posté par Adriana Evangelizt

Partager cet article
Repost0
24 juin 2010 4 24 /06 /juin /2010 01:21

Il se passe en ce moment des choses étranges dans le cosmos et nous ne pouvons pas compter sur la NASA pour nous renseigner. Surtout sur le trou noir qui est au centre de notre galaxie. J'y reviendrai car de nouvelles découvertes sont en concordance avec ce que disaient les Mayas à son sujet.

 

 

 

 

 

Un déluge d’exoplanètes

 

 

News of Tomorrow, 23 juin 2010

 

 

 

Traditionnellement, les membres d’une équipe de scientifiques financés par les fonds publics s’entendent pour ne pas dévoiler leurs résultats tant qu’ils n’ont pas été officiellement publiés (généralement, dans une revue scientifique). Si une entente verbale suffit en général dans ces cas-là, lorsqu’il s’agit de la recherche privée en revanche, cela va jusqu’à un contrat par lequel les signataires s’engagent au secret. Phénomène rare en astronomie, encore plus rare à la NASA, d’ordinaire friande de publicité, c’est pourtant un tel contrat (nondisclosure agreement) qu’ont signé les membres de l’équipe Kepler.

 

Jamais depuis Galilée n’y aura-t-il eu pareil déluge. L’astronomie se prépare à donner un nouveau sens à l’expression « pluralité des mondes ».

 

Depuis 15 ans, on avait détecté 461 planètes tournant autour d’étoiles autres que notre Soleil. Or, voilà que des informations officieuses dévoilées le 15 juin révèlent que le télescope spatial Kepler, à lui seul, aurait ajouté 700 planètes à la liste en quelques mois !

 

Une annonce officielle devrait être faite mardi prochain mais déjà des voix mécontentes se font entendre dans la communauté astronomique sur la façon dont l’équipe de Kepler garde jalousement ses données.

 

Kepler est un observatoire de la NASA, envoyé dans l’espace en mars 2009 avec pour première mission de détecter des planètes extrasolaires. Trop lointaines pour être photographiées, ces planètes sont à la limite du détectable : on ne peut que déceler l’infime influence qu’elles ont sur leur étoile. Deux indices : l’oscillement d’une étoile causé par la planète en orbite autour d’elle ou la diminution de la lumière émanant de cette étoile lorsqu’une planète passe entre elle et nous (c’est la méthode utilisée par Kepler).

 

C’est depuis 1995 que des observatoires au sol détectent ces planètes, une par une, et on s’attendait à ce que Kepler en ajoute des milliers au cours des prochaines années. Mais d’aucuns commençaient à trouver que les premières annonces tardaient singulièrement. D’où l’émoi cette semaine : un groupe incluant le chef de l’équipe scientifique de Kepler, William Borucki, du Centre de recherche Ames de la NASA, a mis en ligne mardi, le 15 juin, sur le serveur de prépublication ArXiv, l’annonce officieuse faisant état de 706 « planètes candidates ». Dont cinq systèmes possédant deux ou trois planètes.

 

Ces découvertes, dont la majorité devront être confirmées par d’autres observations, ressortent de l’analyse des données des premiers mois de Kepler, en 2009, alors qu’il passait au crible toutes les six secondes la même région du ciel à la recherche de la plus infime diminution de luminosité émanant de 156 000 étoiles.

 

Sur ces 706 « candidates », il est possible que certaines ne soient pas des planètes, mais des étoiles naines, c’est-à-dire des étoiles si petites qu’elles ne font « que » 10 à 15 fois la taille de la planète Jupiter. En fait, 400 sont jugées particulièrement prometteuses… et sur elles, aucune information ne sera publiée avant février 2011. « Prometteuses » veut dire qu’il s’agit des plus petites de ces planètes, peut-être aussi petites que la Terre, ou bien de celles qui tournent à une distance intéressante de leur étoile. Deux caractéristiques qui feraient que la vie pourrait y être possible.

 

Cette extension du « silence » jusqu’en février 2011 « signifie une publication sélective de données sur la base de leur contenu scientifique, plutôt que de leur qualité, un précédent pour de telles missions de la NASA », soulignait la revue Nature en avril.

 

Ceux qui, comme William Borucki, sont en faveur de cette publication sélective, allèguent qu’il s’agit d’éviter une publication trop hâtive de données sur des planètes qui auraient l’air d’abord intéressantes, mais s’avéreraient plus tard décevantes —ou, pire, inexistantes.

 

D’autant plus que le sujet est médiatique à souhait. Parce que la récompense ultime serait l’équivalent astronomique d’un médicament contre le cancer : c’est-à-dire une planète de la taille de la Terre tournant sur la « bonne » orbite. Une découverte à laquelle des milliers d’astronomes aimeraient bien contribuer, d’où leur demande de rendre immédiatement publiques toutes les données de Kepler…

 

Source : Area51

 

Sources SIGNES DES TEMPS

 

Posté par Adriana Evangelizt

Partager cet article
Repost0
25 avril 2010 7 25 /04 /avril /2010 16:32

Les plantages de la Science dite officielle. Là, on en a encore un exemple. Les scientifiques croyaient que toutes les planètes orbitaient dans le même sens que leur soleil comme dans notre système solaire. Or, il se trouve que des exoplanètes font le contraire. Voilà que leur certitudes s'écroule !

 

Si l'on en croit les scientifiques notre Terre se serait formée par hasard. En simplifiant, elle serait le résultat d'une aglomérat d'astéroïdes et débris de toutes sortes d'où un jour serait sortie la Lune suite à une grosse collision ! Et c'est tout à fait par hasard encore, sans doute, qu'en son centre se serait formé un noyau en fusion qui génère le bouclier magnétique. Et bien évidemment, c'est tout à fait par hasard, toujours, que ce fameux champ s'est tissé autour de notre planète pour protéger tout ce qui vit. Le hasard n'est-il pas fantastique ?

 

Pour continuer sur notre lancée ironique, c'est encore le hasard qui fait que tous les 25 920 ans, les pôles magnétiques basculent entraînant automatiquement le basculement des pôles terrestres niés par la science. Encore par hasard que nous sommes alors exposés à des radiations cosmiques qui provoquent la mutation de l'ADN, clef de l'Evolution dont la science cherche encore le chaînon manquant.

 

Attention... je ne dis pas que c'est le "dieu des croyants" qui a créé notre planète. Mais je pense comme Einstein qui était athé -du point de vue des religieux- que "Dieu", -c'est-à-dire l'Intelligence Cosmique- ne joue pas aux dés ! Tout est dans le mot  "bereshit"... dans le Principe... mais surtout dans la Lumière... donc notre Terre n'a pas été créée par hasard. Elle a été mue par une Force Intelligente qui ne fait rien au hasard dans le Cosmos.

 

 

 

 

 

Découverte : des exoplanètes qui orbitent à l'envers

 

 

 

 

C'est un véritable retournement des théories de la formation planétaire qui vient de se produire. Les astronomes ont en effet été surpris de découvrir six exoplanètes (parmi un échantillon plus large en comprenant vingt-sept) orbitant dans le sens opposé à celui de la rotation de leur étoile hôte. Une situation à l'opposé de ce que l'on peut observer dans notre système solaire et surtout, une remise en cause sérieuse et inattendue des modèles de formation planétaire actuellement en vigueur.

 

"Nous lançons une véritable bombe dans le champ des exoplanètes" a déclaré Amaury Triaud, un étudiant en thèse à l'Observatoire de Genève qui a dirigé la plus grande partie de ces campagnes d'observation avec Andrew Cameron et Didier Queloz.

 

Les astronomes pensent que les planètes se forment dans les disques de poussières et de gaz qui entourent les jeunes étoiles. Ces disques, dits protoplanétaires, tournent dans le même sens que leur étoile et l'on supposait jusqu'à maintenant que toutes les planètes formées dans le disque étaient plus ou moins en orbite dans le même plan et qu'elles se déplaçaient sur leur orbite dans le même sens que celui de leur étoile. Les planètes du système solaire agissent notamment de la sorte.

 

Après avoir combiné de nouvelles données avec d'anciennes observations, l'équipe a découvert que six exoplanètes de cette longue étude, dont deux nouvellement découvertes, avaient un mouvement rétrograde : elles tournent autour de leur étoile dans la "mauvaise" direction. "Ces nouveaux résultats défient réellement la pensée conventionnelle qui veut que les planètes doivent toujours être en orbite dans la même direction que celle de la rotation de leur étoile", précise Andrew Cameron de l'Université de St Andrews.

 

Depuis la découverte des premiers Jupiters chauds [une catégorie d'exoplanètes, ndlr], il y a quinze ans, leur origine est restée une énigme. Ces planètes ont une masse équivalente ou supérieure à celle de Jupiter, et leur orbite est beaucoup plus proche de leur soleil. Elles se formeraient loin de leur étoile et migreraient par la suite vers l’intérieur du système afin de se mettre en orbite beaucoup plus près de leur soleil. De nombreux astronomes pensent que cela est dû aux interactions gravitationnelles avec le disque de poussière au sein duquel ces planètes se sont formées. Ce scénario ce déroule sur quelques millions d’années et aboutit à une orbite alignée avec l’axe de rotation de l’étoile "hôte"... ce qui ne rend pas compte des nouvelles observations.


Pour prendre en considération les nouvelles planètes rétrogrades, une théorie alternative de migration suggère que la proximité des Jupiters chauds de leur étoile n’est absolument pas due aux interactions avec le disque de poussière, mais à un lent processus d’évolution impliquant une lutte acharnée de forces gravitationnelles avec des planètes plus distantes ou des compagnons stellaires, s’étendant sur des centaines de millions d’années. Ces perturbations propulsent ainsi une planète géante sur une orbite allongée et inclinée. Cette planète va alors subir les effets de marées, perdant de l’énergie à chaque fois qu’elle s’approche de son étoile. Elle pourrait finalement se retrouver positionnée proche de son étoile, sur une orbite pratiquement circulaire, mais dont l’inclinaison est aléatoire. "Un effet secondaire spectaculaire de ce processus est qu’il pourrait anéantir une planète semblable à la Terre dans ce système planétaire", déclare Didier Queloz de l’Observatoire de Genève.


Des compagnons plus distants et plus massifs ont d’ores et déjà été détectés dans le cas de deux des nouvelles planètes rétrogrades découvertes, ce qui pourrait potentiellement être la cause de ce bouleversement. Ces nouveaux résultats pourraient déclencher une recherche intensive de nouveaux corps dans d’autres systèmes planétaires.

 

Sources MaxisciencesPosté par Adriana Evangelizt

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
16 septembre 2008 2 16 /09 /septembre /2008 18:44

Un énorme sursaut de rayons gamma a visé directement la Terre


En début d'année, des télescopes dans le monde entier ont observé la plus brillante explosion à ce jour. Aujourd'hui, une équipe internationale d'astronomes révèle qu'il s'agissait en fait d'une bouffée de rayons gamma provenant d'une galaxie située à mi-chemin des limites de l'univers observable, et résultant d'un puissant jet de matière, envoyé directement en direction de la Terre.


«Notre conclusion est que l'extraordinaire luminosité de l'explosion résulte d'un jet de matière, expulsé quasiment à la vitesse de la lumière et presque en direction de la Terre», déclare Guido Chincarini, de l'université Milano Bicocca en Italie.

Cet événement exceptionnel a offert aux astronomes une vision sans précédent d'un sursaut gamma, et les observations réalisées après l'explosion ont révolutionné notre compréhension du phénomène.

Tout a commencé le matin du 19 mars 2008. Au Chili, le télescope TORTORA de l'Observatoire européen austral, ainsi que le télescope polonais «Pi of the Sky», ont détecté un éclair très lumineux dans la constellation du Bouvier. Loin au-dessus du sol, le satellite SWIFT de la NASA détectait pour sa part un sursaut gamma, provenant de la même source. En quelques secondes, SWIFT envoyait une alerte, et bientôt de nombreux télescopes de par le monde se tournaient vers l'évènement. À peine une heure après l'observation du premier flash, le VLT (Very Large Telescope) de l'Observatoire européen austral (ESO) révélait que l'explosion s'était produite à 7,5 milliards d'années-lumière, soit la moitié du rayon de l'univers observable.

Même à cette distance, l'explosion était à ce point brillante qu'elle aurait était visible à l'oeil nu, si quelqu'un avait regardé dans sa direction. Si elle avait eu lieu dans notre propre galaxie,
son éclat aurait égalé la luminosité du soleil.

Les sursauts gamma se produisent lorsqu'une étoile massive a épuisé son combustible et s'effondre pour former un trou noir. Au cours du processus, de puissants jets de matières sont éjectés, et se déplacent à une vitesse proche de celle de la lumière. En s'éloignant de l'étoile, ces jets entrent en collision avec les gaz précédemment émis, élevant considérablement leur température. Les émissions résultantes constituent ce que l'on appelle
la rémanence.

Les astronomes ont observé le processus en détail, au cours des secondes, des jours et des semaines qui ont suivi l'explosion. En mettant en commun les informations obtenues, ils ont pu reconstituer exactement ce qui s'est passé, enrichissant d'autant notre compréhension des sursauts gamma.

Mais ce sursaut était unique en ce qu'il pointait directement vers notre planète. Ce hasard a révélé un jet extrêmement étroit et très rapide, entouré par un jet plus large et un peu moins rapide.

«Il se peut que tous les sursauts gamma envoient un jet aussi étroit, mais la plupart du temps, il échappe aux astronomes», commente Stefano Covino de l'observatoire INAF-Brera en Italie.

«Il se trouve que nous avons regardé ce jet monstrueux, très fin et très puissant, droit dans les yeux», ajoute son collègue Cristiano Guidorzi.

«Normalement, nous ne détectons d'un sursaut gamma que le jet large. Le jet étroit est trop fin, à peine un centième du diamètre angulaire de la pleine lune», explique le docteur Paul O'Brien de l'université de Leicester au Royaume-Uni, et membre de l'équipe Swift. «Il semble que pour observer un sursaut gamma très brillant, il faut que le jet étroit pointe directement vers la Terre. Statistiquement, un tel événement ne devrait arriver qu'une fois par décennie. Le 19 mars, nous avons eu de la chance.»

«Ce fut l'événement le plus puissant jamais observé de mémoire d'homme», conclut le professeur Alex Filippenko de l'université de Californie à Berkeley aux États-Unis. «Une étoile qui explose et peut se voir -de justesse- à l'oeil nu [...] même [si elle était] à sept milliards et demi d'années lumière, c'est absolument stupéfiant.»

Sources
Notre Planète

Posté par Adriana Evangelizt

Partager cet article
Repost0
14 septembre 2008 7 14 /09 /septembre /2008 17:38

Le sol martien semblable à celui d'un désert chilien


La sonde Phoenix a découvert que le sol de Mars près de son pôle nord est semblable à celui du désert Atacama au Chili où seuls des microbes parviennent à vivre dans des conditions extrêmes, ont annoncé les scientifiques de la Nasa, mardi.

Lundi, ces scientifiques avaient annoncé que la sonde Phoenix avait découvert une substance chimique -le perchlorate- dans le sol martien qui pourrait nuire à une possibilité de vie sur la planète rouge.

Or, soulignent ces scientifiques, le perchlorate est une substance oxydante que l'on trouve à l'état naturel dans le désert d'Atacama. Sa présence sur Mars n'est ni mauvaise ni bonne pour une vie potentielle, ajoutent les experts de la Nasa.

«Nous savons que les microbes peuvent parfaitement vivre dans des contions d'oxydation (à Atacama)», a dit Richard Quinn l'un des scientifiques en charge de la mission Phoenix au centre de recherche Ames de la Nasa. «Il se pourrait que ce soit la même chose sur Mars. Nous ne le savons pas encore».

Dans un premier temps, les scientifiques avaient déclaré que le sol sur lequel a atterri Phoenix en mai dernier était semblable à celui de la Terre, contenant notamment des sédiments tels que magnésium, sodium et chlorure.

Les derniers tests en laboratoire ont montré la présence de perchlorate oxydante. La Nasa tente à présent de déterminer si cette substance pourrait s'être trouvée là par voie de contamination.

Jeudi, la Nasa avait annoncé que la sonde Phoenix avait confirmé pour la première fois que le sol de Mars contenait de l'eau gelée. Jusqu'ici, les preuves de l'existence d'eau sur Mars n'étaient pas concluantes, même si ces conclusions-là étaient attendues. En 2002, Odyssey, qui elle était restée en orbite autour de Mars, avait décelé ce qui ressemblait à un réservoir d'eau gelée.

À son arrivée, Phoenix a également découvert ce qui ressemblait à de la glace dans un morceau de sol dur juste à l'endroit de son atterrissage. Des indices dans une tranchée ont montré qu'une partie de cette glace se transformait en gaz une fois exposée au soleil.

Sources
Cyberpresse

Posté par Adriana Evangelizt

Partager cet article
Repost0
14 septembre 2008 7 14 /09 /septembre /2008 17:15

Il y a de l'eau sur Mars... certes. Les scientifiques pensent qu'il peut y avoir de la vie. N'est-il pas préférable de penser qu'il y a déjà eu de la vie ? Que Mars a déjà été colonisée par nos "Ancêtres", ceux qui ont construit les Pyramides ? Et s'ils l'ont délaissée c'est qu'elle était devenue inhabitable.




De l'eau sur Mars: un petit pas pour l'homme...

Par Iouri Zaïtsev, expert de l'Institut d'études spatiales, pour RIA Novosti

Les chances de découvrir une forme de vie sur Mars ont encore augmenté, car de l'eau à l'état de glace a été découverte sous la surface de la Planète rouge.

Mais l'eau ne suffit pas. Mars peut-elle fournir les ressources nécessaires à une éventuelle installation de colonies humaines? Autrement dit, peut-elle être colonisée par les hommes? Est-il possible, en étudiant les particularités du climat martien, d'obtenir des informations sur les facteurs climatiques terrestres? Des processus géologiques analogues à ceux observés sur la Terre se sont-ils produits sur Mars? Pour obtenir des réponses à toutes ces questions, l'eau reste l'indice le plus important, plus précisément la compréhension du cycle de l'eau chez notre proche voisin du système solaire.

Les premières photos faites depuis l'orbite de Mars révélèrent la présence de ravins et de canyons qui pourraient résulter de l'écoulement d'immenses masses d'eau il y a plusieurs millions d'années. Les chercheurs supposèrent alors que le sous-sol de la Planète rouge pourrait receler d'immenses réserves de glace, voire de véritables mers. Cela a donné lieu à une nouvelle stratégie d'étude de Mars, mise au point il y a quelques années, qui prévoit que tous les projets scientifiques martiens doivent se fonder sur l'eau, plus précisément sur les questions relatives à sa présence éventuelle sur la planète. C'est pourquoi cette stratégie s'intitulait "Following the Water", c'est-à-dire "Suivre l'eau".

La spectroscopie gamma et neutronique est actuellement la méthode la plus efficace pour rechercher de l'eau sur Mars. Le fait est que cette planète possède une atmosphère très "fine" et qu'elle n'a pas de champ magnétique significatif, c'est pourquoi les rayons spatiaux atteignent librement sa surface et produisent des neutrons rapides jusqu'à une profondeur de 1 à 3 m. Les noyaux des éléments chimiques entrent en réaction avec eux et provoquent, à leur tour, l'émission de rayons gamma. Dans la mesure où chaque noyau a son propre spectre de rayonnement gamma, on peut établir la quantité relative de noyaux de tel ou tel élément dans le sol martien, y compris pour l'hydrogène qui est la principale composante de l'eau. Ainsi, d'après les types de rayonnements observés, on peut juger de la présence ou non de glace ou d'eau sur le lieu exploré.

Conformément à cette méthode, afin d'étudier la composition de la surface de Mars et de rechercher les éventuelles zones riches en glace, les chercheurs de l'Institut d'études spatiales de l'Académie russe des sciences ont créé, à la demande de Roskosmos (Agence spatiale russe), l'appareil HEND (High Energy Neutron Detector) qui fonctionne avec succès depuis plus de 7 ans, au milieu des autres appareillages de la sonde interplanétaire américaine Mars-Odyssey, actuellement en orbite autour de Mars. Comme il ressort des mesures effectuées par cette sonde, d'immenses réserves d'eau ont été découvertes directement sous la surface de la planète. En outre, les cycles de dépôts saisonniers d'acide carbonique à sa surface ont été évalués.

Fin mai dernier, une autre sonde américaine - Phoenix - à commencé sa mission sur Mars. Les premiers résultats recueillis ont confirmé les données collectées par le HEND depuis l'orbite de Mars. Phoenix a creusé à l'aide de son bras robotisé des sillons peu profonds et révélé une substance incolore ressemblant beaucoup à de l'eau gelée. Elle disparut après quelques jours, étant entrée en contact direct avec l'atmosphère martienne. La cause de ce phénomène est évidente: sous la latitude du point d'atterrissage de Phoenix, la glace doit se transformer directement en vapeur sans passer par la phase liquide.

Bien plus, l'analyse chimique des échantillons du sol martien, effectuée par le laboratoire installé à bord de la sonde, montre qu'ils contiennent tous les éléments nécessaires à l'apparition et au maintien d'une forme de vie.

En 2009, la NASA prévoit de faire parvenir sur Mars un grand marsokhod (robot motorisé) à longue durée de vie, MSL-2009 (Mars Science Laboratory), qui aura à son bord l'appareil russe Dynamic Albedo of Neutrons (DAN). Il se distingue fondamentalement du HEND: si ce dernier ne faisait "qu'écouter" en orbite autour de Mars, c'est-à-dire enregistrer les neutrons apparaissant de façon naturelle sur la couche superficielle de la planète sous l'action des rayons spatiaux, le marsokhod sera lui équipé d'une source de neutrons. C'est-à-dire qu'il émettra des neutrons qui pénétreront à une profondeur de 1,5 à 2 m sous la surface martienne. Ils y graviteront un certain temps puis regagneront la surface "peu à peu", en fait, au bout de quelques microsecondes. Le détecteur russe DAN les mesurera et déterminera ainsi la présence ou non d'eau sous la surface.

Le HEND a cherché de l'eau sur Mars à l'échelle globale, sur des milliers de kilomètres carrés, c'est pourquoi la définition de ses évaluations s'élevait à des centaines de kilomètres. Le DAN explorera des zones locales avec une définition d'à peu près un mètre. On peut affirmer que le détecteur enregistrera le flux de neutrons provenant directement des éléments se trouvant sous les roues du marsokhod. Ce travail devra être effectué en temps réel ou presque, car les connaissances emmagasinées chaque jour auront une importance fondamentale pour établir l'itinéraire du marsokhod pour le jour suivant. Si les mesures effectuées témoignent de la présence d'une région intéressante avec une forte concentration en eau et que les chercheurs n'en sont informés que sept à dix jours plus tard, il sera pratiquement impossible d'y revenir.

L'appareil DAN est entièrement russe, sa masse constitue environ 10% de la charge utile totale (50 kg) du marsokhod, ce qui fait de la Russie un participant à part entière du projet MSL-2009. L'expérience Dynamic Albedo of Neutrons étant considérée comme russo-américaine, les données enregistrées par les autres appareils du marsokhod seront également accessibles aux chercheurs russes.

"Lorsque le marsokhod se déplace sur la surface de la planète, il doit être dirigé par une équipe commune. Le principe propre aux appareils orbitaux selon lequel l'expérimentateur traite les résultats provenant de son appareil uniquement est dans ce cas inadmissible", affirme Igor Mitrofanov, responsable des projets HEND et DAN, chef de laboratoire à l'Institut d'études spatiales de l'Académie russe des sciences, et docteur en physique et en mathématiques.

Sources
Ria Novosti

Posté par Adriana Evangelizt

Partager cet article
Repost0
14 septembre 2008 7 14 /09 /septembre /2008 16:22

Il est certain que Mars a été habitée et même habitée avant notre Terre.



Mars: de l'eau a baigné les régions australes de la planète rouge



Une grande partie des hautes terres du sud de Mars a été baignée par de l'eau pendant des millions d'années, créant un environnement théoriquement capable d'abriter la vie, indique une étude à paraître jeudi dans la revue britannique Nature.

Des traces de phyllosilicates, minéraux du type argiles témoignant de l'action chimique de l'eau, ont été observées par un instrument de la sonde américaine Mars Reconnaissance Orbiter en des milliers de points des plateaux sud de la planète, sur des dunes, dans des vallées ou des cratères, selon les auteurs de l'étude, de l'Université Brown (Rhode Island).

"Ces résultats montrent une riche diversité des environnements, permettant éventuellement la vie, à l'époque du Noachien", il y a 4,6 à 3,8 milliards d'années, concluent les scientifiques.

Les chercheurs se sont notamment attachés aux pics situés dans des cratères, reliefs généralement formés par des roches reposant à l'origine jusqu'à cinq kilomètres de profondeur, éjectées lors de l'impact d'un astéroïde.

"L'eau a dû former ces minéraux (les phyllosilicates) en profondeur, pour que nous ayons la signature observée" par la sonde, estime dans un communiqué le responsable de l'équipe John Mustard, professeur en géologie planétaire.

Ces phytosillicates se sont formés à des températures relativement basses - environ 100 à 200 degrés Celsius - ce qui implique qu'à la surface Mars était non seulement humide, mais également relativement tempérée.

La présence d'eau sur Mars dans un passé lointain a déjà été attestée à plusieurs reprises par les robots déposés à la surface de la planète rouge et par les observations des sondes en orbite autour de la planète.

La Nasa a récemment annoncé que les scientifiques de la mission Phoenix avaient identifié la présence de glace près de la surface du sol arctique de Mars.

Quant à la disparition des océans qui auraient recouvert certaines plaines de Mars, les planétologues estiment généralement qu'ils ont disparu lorsque l'atmosphère, autrefois dense, a commencé à se dégrader, provoquant l'évaporation de l'eau dans l'espace.

Sources AFP

Posté par Adriana Evangelizt

Partager cet article
Repost0
14 septembre 2008 7 14 /09 /septembre /2008 15:48

Verrouiller l'espace pour l'exploiter, voilà le dessein du Pentagone et de la Nasa dont on apprend dans l'article ci-dessous qu'Halliburton collabore aux actuels et futurs plan d'hégémonie spatiale. ON comprend mieux pourquoi Cheney est très impliqué à pousser Bush aux divers conflits mondiaux.

Ils ont donc l'intention de lancer plusieurs missions robotisées chargées de déposer des modules d’habitation à la surface de la Planète rouge. Ces modules emporteront, entre autres deux centrales nucléaires. Ce projet se nomme Prométhée. Tout un symbole quand on sait que ce "dieu" vola le feu -à savoir la Connaissance- pour la donner aux hommes. Mais comme ce sont des machiavéliques, le symbole est à prendre à l'envers. A savoir qu'eux veulent voler la Connaissance pour ne jamais la donner à l'Humanité afin de continuer à l'exploiter et à la dominer. Car le but ultime de cette grande machination est d'y installer « Des réacteurs de grande taille  permettraient de fournir les mégawatts nécessaires à l’alimentation des lasers, des faisceaux de particules neutres, des accélérateurs électromagnétiques ou des canons à rails installés dans l’espace» Ils veulent tout simplement nucléariser l'espace pour au moins 3 raisons :

1 - L’appropriation des différents corps célestes, et donc le contrôle
exercé tant sur leurs ressources que sur les profits...

2 - L’industrie aérospatiale finance déjà de manière importante des organisations comme United Societies in Space, qui ont entrepris de réformer les dispositions du droit de l’espace interdisant à tout individu, entreprise ou pays de réclamer un droit de propriété sur tout ou partie d’un objet planétaire.

3 - Sous prétexte de conquérir l'espace, doter les Etats-Unis d’une défense antimissile capable de protéger le pays contre les « Etats voyous » – s’éclaire à la lumière des projets d’exploitation de l’espace. Le développement d’une technologie offensive permettant aux Etats-Unis de « contrôler et dominer l’espace ».

Je vous conseille d'aller lire le document en PDF en anglais qui explique ce plan

http://www.fas.org/spp/military/docops/usspac/visbook.pdf

Ainsi qu'ici

http://web.archive.org/web/20050826050752/http://wslfweb.org/docs/Final+06+SMP--Signed!v1.pdf

 et là

http://web.archive.org/web/20050425102222/http://wslfweb.org/docs/SBLWP.pdf

pour apprendre qu'ils sont en train de travailler sur un gigantesque Laser destructeur de missiles -en coopération avec Israel- qui doit déjà être bien au point car nul doute que le dernier satellite qu'ils ont détruit devait être un test du fameux Laser... et d'autre part, ils disent avoir détruit des roquettes katiouchas qui, à ce que l'on sache ne sont pas projetées aux Etats-Unis, avec un système laser.

Vous verrez les dessins explicites montrant qu'ils ont l'intention de régner en maître sur la terre, sur la mer, dans les airs et dans l'espace... et après on traitera de conspirationnistes ceux qui disent que des Maîtres du Monde veulent s'emparer de notre planète. Malheureusement, des autres planètes aussi. Ce qui, bien évidemment n'ira pas sans quelques problèmes. Car il est bien évident que d'autres pays comme la Russie ou l'Europe ont aussi des visées spatiales mais les sataniques US sont en train de concocter une loi visant à interdire l'espace à tous les autres. Ceci nous ramène au temps de Christophe Colomb dont le pays revendiquait le "Nouveau Monde", on sait que d'autres nations ne l'ont pas entendu de cette oreille, seulement elles n'avaient pas les mêmes moyens destructeurs qu'aujourd'hui.

La seule chose positive, si l'on puit dire, c'est qu'il se donne jusqu'à 2020 pour mener à bien leur conquête multidimensionnelle. Notre planète Terre ne va pas attendre leur bon vouloir et mettra tout en branle pour que la Catastrophe se produise avant...


Verrouiller l'espace pour l'exploiter


par Bruce K. Gagnon

Coordinateur du Global Network Against Nuclear Power and Weapons in Space (GN), réseau de lutte contre la militarisation et la nucléarisation de l’espace, Brunswick, Etats-Unis.


La NASA finira-t-elle par découvrir des traces de vie sur Mars ? Eternelle question. Mais que ces traces existent ou non, le résultat pour l’industrie aérospatiale est le même : l’exploration de ce nouvel eldorado lui offre une grande bouffée d’oxygène et une véritable manne financière.

Toute une série de missions vers Mars ont déjà été programmées. Du minivéhicule motorisé Pathfinder, qui a permis d’arpenter la surface martienne en 1997, à la navette spatiale Global Surveyor qui tourne en orbite autour de la planète depuis 1999 pour la cartographier, sans oublier les deux robots mobiles – ou « rovers » – alimentés au plutonium et envoyés en 2003, la course vers Mars est engagée.

Lancé le 3 janvier 1999, l’atterrisseur Mars Polar Lander a brusquement cessé de donner signe de vie en approchant du sol de la planète. L’engin, réalisé par Lockheed Martin, avait pour mission de poursuivre la cartographie et l’analyse de la surface martienne. L’agence de presse UPI a révélé, le 21 mars 2000, que les tests entrepris sur les rétrofusées lors de la phase de développement s’étaient révélés négatifs. Mais, plutôt que d’en revoir la conception – entreprise toujours longue et coûteuse –, un responsable de la société avait préféré alléger les critères d’essais pour que les moteurs puissent être déclarés « bons pour le service ».

L’Agence spatiale européenne (ESA), qui avait prévu de coopérer avec la NASA pour lancer sa mission Mars Express en 2003, s’est trouvée confrontée à un problème de budget. Le projet, conçu à l’origine pour étudier la géologie martienne, a été remanié et simplifié. En fait, la question du financement est devenue une obsession pour tous ceux qui travaillent sur les programmes spatiaux américain et européen. D’où viendra l’argent qui permettra d’alimenter demain cette onéreuse aventure ?

Le 19 juillet 1999, dans un éditorial intitulé « Les missions sur Mars sont abordables », Space News admettait que les projections de coût du programme martien ne faisaient qu’augmenter, pour dépasser largement les 400 milliards de dollars, et suggérait de réduire les dépenses sociales aux Etats-Unis pour alimenter les projets spatiaux. Alors que M. George W. Bush vient de relancer le programme Lune/Mars (1), le budget prévisionnel en vue de l’envoi d’astronautes sur Mars pour 2019 s’est accru de manière spectaculaire et dépasse les 500 milliards de dollars.

La NASA entend faire suivre ces missions de collecte d’échantillons martiens par une série de vols habités. Il s’agira d’abord de lancer plusieurs missions robotisées chargées de déposer des modules d’habitation à la surface de la Planète rouge. Ces modules emporteront deux centrales nucléaires, de la nourriture, un laboratoire et un véhicule permettant de rapatrier l’équipage. Une fois l’ensemble de ces modules convenablement installés sur Mars, viendront les vols avec équipage. L’un des problèmes posés tient à la durée du voyage. La NASA, le laboratoire du département américain de l’énergie installé à Los Alamos (Nouveau-Mexique) et le département de génie nucléaire de l’Université de Floride travaillent actuellement à concevoir une fusée à propulsion atomique permettant d’accélérer la traversée. La NASA a toutefois reconnu qu’il s’agissait là d’un sujet « sensible ».

L’administration Bush a donné vie à cette entreprise en subventionnant largement le projet Prométhée, une initiative dotée d’un budget de 3 milliards de dollars et visant à développer des lanceurs ainsi que d’autres dispositifs spatiaux utilisant l’énergie nucléaire.

Peu de temps après son accession au pouvoir, le président américain a nommé M. Sean O’Keefe à la tête de la NASA. Cet ancien secrétaire à la marine de M. George Bush père, qui fut également le collaborateur de M. Richard Cheney au ministère de la défense, est un ardent défenseur de la propulsion nucléaire. Dès sa première conférence de presse, il a annoncé que tous les projets menés par l’agence spatiale américaine seraient désormais à « double usage », ce qui signifie que chaque nouvelle mission spatiale permettra de tester des technologies à visée tout à la fois civile et militaire.

Quelle serait l’utilité militaire du projet Prométhée ? La réponse se trouve depuis longtemps dans les documents du Pentagone et du Congrès. Dans une étude remarquée (2),l’un des fonctionnaires du Congrès, M. John Collins, a souligné que « les réacteurs nucléaires étaient les seules sources d’énergie connues qui soient suffisamment compactes et durables pour alimenter en électricité des forces militaires spatiales ». « Des réacteurs de grande taille notait-il aussi, permettraient de fournir les mégawatts nécessaires à l’alimentation des lasers, des faisceaux de particules neutres, des accélérateurs électromagnétiques ou des canons à rails installés dans l’espace. » La nucléarisation de l’espace donnera de mauvais fruits. Plusieurs accidents se sont déjà produits. En 1964, un satellite militaire américain alimenté par 2,10 livres de plutonium est retombé sur Terre. En brûlant dans l’atmosphère, il y a répandu des particules radioactives qui se sont dispersées sur l’ensemble du globe. En 1996, une mission russe vers Mars, elle aussi chargée d’une demi-livre de plutonium, est retombée sur Terre peu après son lancement, en projetant une pluie de débris sur les montagnes du Chili et de la Bolivie.

Codirecteur d’un centre de recherche de la NASA, M. John Lewis apporte un autre éclairage. « Il paraît impensable, écrit-il, qu’un pays choisisse de consacrer d’importants crédits à l’exploration spatiale par simple amour de la science (3). » L’avenir de l’exploration spatiale passe nécessairement par l’exploitation de l’espace, affirme M. Lewis : « L’univers regorge de minerais et d’énergie. » La NASA songe depuis longtemps aux ressources que représentent l’or des astéroïdes, le magnésium, le cobalt et l’uranium de Mars, l’hélium-3 et l’eau de la Lune. Petroleum News (4) a révélé que la très controversée firme pétrolière Halliburton travaillait avec la NASA au développement de nouvelles technologies de forage adaptées à la planète Mars.

L’appropriation des différents corps célestes, et donc le contrôle exercé tant sur leurs ressources que sur les profits ainsi générés peuvent devenir une importante source de conflits lorsque leur exploitation minière sera devenue rentable. Pour éviter tout problème à l’avenir, les Nations unies ont compris à quel point il était important d’adopter une législation internationale réglementant l’utilisation de l’espace. Toutefois, l’industrie aérospatiale finance déjà de manière importante des organisations comme United Societies in Space, qui ont entrepris de réformer les dispositions du droit de l’espace interdisant à tout individu, entreprise ou pays de réclamer un droit de propriété sur tout ou partie d’un objet planétaire. Quant aux Etats-Unis, ils n’ont jamais signé le traité de la Lune (lire Traités sur les espaces vierges). L’ancien astronaute et ex-sénateur Harrison Schmitt a déclaré à propos de ce traité que « toute interdiction forte frappant l’appropriation de “ressources naturelles” était préoccupante (5 ».

La mission confiée à l’US Space Command – officiellement : doter les Etats-Unis d’une défense antimissile capable de protéger le pays contre les « Etats voyous » – s’éclaire à la lumière des projets d’exploitation de l’espace. Le développement d’une technologie offensive permettant aux Etats-Unis de « contrôler et dominer l’espace », comme l’indique le document de planification Vision for 2020  (6), offrira à l’industrie aérospatiale les moyens d’exercer une domination sans partage sur l’espace et ses ressources.

Toujours dans Military Space Forces, M. John Collins annonce au Congrès américain que, grâce aux bases américaines installées sur la Lune et aux stations spatiales militaires disposées sur les deux faces de notre satellite, « les forces armées pourront attendre et intercepter toute cargaison adverse en route vers la Terre ». La puissance qui parviendra à contrôler le puits gravitationnel Terre-Lune pourra interdire tout accès à l’espace aux autres pays, et donc permettre à son industrie aérospatiale de tirer pleinement profit de l’exploitation minière de l’espace. Un document récent émanant de l’Air Force Space Command est encore plus explicite : « Si notre objectif ultime est vraiment d’“exploiter” l’espace (...), nous ne pourrons pleinement le faire qu’après nous en être assuré le “contrôle”  (7). »

Souvenons-nous de ce qui s’est passé au XVe siècle, lorsque Christophe Colomb a « découvert », pour l’Espagne, le Nouveau Monde. Il a fallu un siècle à ce pays pour contrôler cette nouvelle source de richesses, les routes maritimes et les marchés émergents. Cette situation a mené à la guerre dès que les autres Etats européens ont entrepris de bâtir leur propre flotte pour contester cette suprématie. La NASA et le Pentagone ont les mêmes visées à long terme. Nous pouvons leur opposer un autre programme spatial, résolument pacifique.

(1) Le 14 janvier 2004, dans un discours sur la nouvelle orientation stratégique à l’agence spatiale américaine, le président Bush a mis l’accent sur « l’établissement d’une présence humaine permanente dans le système solaire ».

(2) John M. Collins, « Military Space Forces : the Next 50 Years », Pergamon-Brassey’s International Defense Publishers, Washington, 1989.

(3) John S. Lewis, Mining the Sky : Untold Riches from the Asteroids, Comets and Planets, Perseus Publishing, Philadelphie, 1997.

(4) www.petroleumnews.co m

(5) Space News, New York, 13-19 juillet 1998.

(6) United States Space Command, Vision for 2020, Washington DC, 2001. Pour plus d’informations, voir le site de la Federation of American Scientists (FAS).

(7) Air Force Space Command, « Strategic Master Plan : 2006 and Beyond », janvier 2003.


Sources

Le Monde Diplomatique

Posté par Adriana Evangelizt

Partager cet article
Repost0