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  • : Le blog de Adriana Evangelizt
  • : La catastrophe planétaire qui s'est produite voilà 12 960 ans est en train de se reproduire mais nul n'en parle... il faut retrouver la Cosmogonie des Anciens pour Savoir.
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4 avril 2010 7 04 /04 /avril /2010 18:13

Il y a quelque chose d'assez étrange dans la frénésie actuelle à faire des prélèvements aux populations de toute la planète afin d'extraire de l'ADN, soit-disant pour connaître l'ancienneté des origines de ces personnes, que ce soit en Afrique, en Inde ou en Australie, pour ne citer que quelques pays. Même le National Geographic avec son GENOGRAPHIC PROJECT s'y est mis aussi voilà quelques années. Voir ICI. En notant qu'ils bénéficient de l'aide d'IBM. Ce qui somme toute est assez parlant.  Mais il y a beaucoup d'autres organismes qui pratiquent aussi ces séquençages et leurs financements sont privés. Il faut sans doute que les financiers soient intéressés au plus haut point pour balancer des milliards dans cette "récolte".

 

Quelque part, je trouve cela très surprenant. Il y a, bien sûr, une raison à celà que je vous dirai plus tard. J'ai regardé hier un documentaire sur diverses catastrophes qui pourraient causer la fin du monde et celle de la quasi totalité de l'Humanité.  Un scientifique a émis une idée qui m'a fait TILT. Il disait que pour sauvegarder notre espèce, il fallait construire une sorte d'Arche de Noé sous terre, stocker l'ADN de toutes les populations et ainsi la survie serait assurée après le Cataclysme. J'ai trouvé dans ses propos, une grande similitude avec l'Arche de Noé en Norvège où sont stockées toutes les semences. Alors une certitude s'est imposée à moi... cette "récolte" d'ADN n'est certainement pas fortuite. Ils sont en train de tout préparer pour APRES LE CATACLYSME PLANETAIRE. Car ils savent qu'il va se produire. Beaucoup de preuves de précautions prises sont maintenant en notre possession. Dont deux autres dont je vous parlerai bientôt... des preuves irréfutables qu'ils connaissent la fin proche de ce monde et qu'ils anticipent pour après. Tout est soigneusement préparé,  méticuleusement planifié, que cela soit pour les humains, les plantes, les animaux, et même NOTRE HISTOIRE car, il faut bien savoir que l'ERE NUMERIQUE ne laissera rien comme trace après le chaos qui va s'installer.

 

J'ai trouvé une video en Espagnol, hélas, qui explique bien ce fait et ce qu'ils ont prévu pour que dans des milliers d'années, les futurs habitants de cette planète puissent trouver des vestiges de notre "passage" comme nous avons trouvé ceux des Sumériens, Egyptiens, Mayas, Incas, etc... et il est même expliqué que comme nous avions perdu la signification des hiéroglyphes, signes, et autres écritures, il est probable qu'il en sera de même pour nos langues. Personne ne pourra plus les comprendre ni les traduire dans un avenir plus ou moins lointain. Alors les choses sont faites déjà, d'une façon codifiée assez simple, afin que ceux qui trouveront nos vestiges arrivent à les comprendre. Vous voyez, tout cela n'est pas fait pour rien. S'il y en a qui comprennent l'espagnol, je poserai cette video, ils verront par eux-mêmes que la planification de l'après-catastrophe est bien en marche... sans que les peuples en soient avertis.

 

 

 

 

 

Tests génétiques : attention aux dérives

 

 

 

C'est l'enjeu des tests génétiques dont les médecins parlent le moins. Celui qui ne cherche pas à décrypter nos gènes pour déterminer notre risque biologique à développer telle ou telle pathologie, pour vérifier si l'on a hérité de la maladie de notre grand-mère, pour suggérer que nos enfants auront une sensibilité moyenne à la douleur, une bonne mémoire à court terme ou une préférence marquée pour la nourriture sucrée. Ce que disent ces gènes-là ne concerne pas notre santé, mais nos origines. Avec l'aide - intéressée - de plusieurs dizaines d'entreprises américaines (et dans une moindre mesure britanniques), qui proposent, par l'intermédiaire de leur site Internet, des tests génétiques personnalisés en libre accès.

 

African Ancestry, EthnoAncestry, 23andMe, Family Tree DNA, Gene Tree, DNA Tribes ou Warrior Roots : pour la plupart, le nom de ces sociétés de biotechnologies parle de lui-même. Contre une goutte de salive, une enveloppe timbrée et un chèque de plusieurs centaines de dollars, elles nous invitent, par la simple lecture de nos gènes, à reconstruire notre histoire familiale. A localiser les origines géographiques de nos ancêtres. A dessiner leur parcours migratoire. Une génétique "récréative" qui séduit un nombre croissant d'amateurs, mais dont la pertinence est loin de convaincre la Société française de génétique humaine (SFGH).

 

Avec huit autres sociétés savantes et associations françaises de génétique, celle-ci vient de rendre public un texte visant à informer "des limites scientifiques, voire des dérives associées à des interprétations indues des résultats de ces tests, et des dangers qui peuvent en résulter".

 

La première limite de ces analyses, soulignent les chercheurs, tient au matériel sur lequel elles sont effectuées. Les tests les plus accessibles financièrement - et donc le plus souvent proposés - se basent sur la comparaison des variations génétiques de deux types particuliers d'ADN (le support de l'hérédité) : l'ADN des mitochondries, petites entités cellulaires qui ne se transmettent que par la mère ; et celui du chromosome Y, qui ne se transmet que par le père. De ce fait, ils ne donnent respectivement d'informations que sur un seul ancêtre en lignée maternelle et un seul en lignée paternelle : deux ancêtres parmi quatre grands-parents, huit arrière-grands-parents, seize arrière-arrière-grands-parents... A mesure que l'on remonte les générations, les clés d'appartenance délivrées par ces variations génétiques s'expriment donc par des probabilités de plus en plus faibles. Une réalité, soulignent les signataires de ce texte, qui est "souvent occultée ou peu explicite".

 

L'autre limite à la validité de ces tests d'origines réside dans leur méthode même. Pour préciser la généalogie d'un client, les sociétés de la Silicon Valley comparent ses "variants" génétiques (des petits fragments de génome qui, dans l'ADN étudié, diffèrent beaucoup d'une personne à l'autre) à la manière dont sont distribués ces mêmes variants dans plusieurs populations. Diverses méthodes statistiques permettent alors d'attribuer à cette personne la probabilité pour que le profil de ses gènes soit comparable à celui de telle ou telle population, référencée pour ses caractéristiques géographiques, ethnologiques ou linguistiques.

 

Or, sur le plan génétique, la couverture mondiale des populations actuelles est encore largement imparfaite : elle favorise d'une part les populations des pays développés, d'autre part les populations dites "isolées", très étudiées en anthropologie. Pour toutes ces raisons, affirment les experts, ces analyses généalogiques sont insuffisantes pour établir un diagnostic solide et complet de nos origines. Y a-t-il pour autant tromperie sur la marchandise ?

 

Tout dépend, en fait, de la demande des clients. "Leurs motivations se révèlent extrêmement diverses", précise le généticien des populations Pierre Darlu, corédacteur du texte de la SFGH. "L'origine peut faire référence aux lieux géographiques d'où proviennent leurs ancêtres, à leur identité culturelle, à la recherche d'une possible ascendance célèbre. Elle peut concerner les générations les plus proches, ou au contraire les origines lointaines." S'il est à craindre, estime-t-il, que les entreprises privées ne répondent pas "avec toute la rigueur souhaitée à la diversité de ces demandes", l'aventure n'en comporte pas moins sa part de rêve... et de plaisir.

 

Tel homme qui pensait avoir un arrière-grand-parent venu de l'Est se déclare ravi d'apprendre que ses origines sont purement britanniques ; tel autre, allemand, découvre avoir des ancêtres écossais et décide d'organiser ses vacances en conséquence... Qu'importe après tout que l'information ne soit que partielle, si elle ne fait de mal à personne ? A cela près que ces tests génétiques ne répondent pas toujours uniquement à des finalités "récréatives". Ils peuvent, par exemple, être réalisés sur un autre génome que le sien et à l'insu de son détenteur (un cheveu suffit), pour confirmer ou infirmer des liens de parenté, notamment de paternité.

 

Dans la mesure où ils suggèrent un rapprochement entre origine géographique et origine ethnique, ces tests, estiment les chercheurs, soulèvent plus généralement "toutes les questions relatives à l'identité de la personne, à la place que la biologie doit prendre dans sa définition et aux implications qu'un tel marquage "ethnique" entraînerait au niveau social et politique".

 

Après le tollé déclenché en France, en 2007, par l'amendement Mariani au projet de loi sur l'immigration qui prévoyait l'instauration de tests ADN pour les candidats étrangers au regroupement familial (projet abandonné par l'actuel ministre de l'immigration, Eric Besson), le Royaume-Uni est ainsi entré, à son tour, dans une violente polémique. Son objet ? Le lancement, par l'agence des frontières du Home Office (l'équivalent du ministère de l'intérieur), d'un projet pilote prétendant éviter les fraudes parmi les demandeurs d'asile en déterminant leur nationalité au moyen de tests ADN et d'analyse isotopique. Avec, en ligne de mire principale, les nombreux Kényans qui se déclareraient somaliens pour obtenir l'asile outre-Manche.

 

Dès sa révélation en septembre 2009, ce "projet sur la provenance humaine" ("Human Provenance Project") a déclenché l'ire des chercheurs britanniques, pour qui ces tests sont scientifiquement invalides. "Les recherches nécessaires pour déterminer le lien entre une structure génétique et un groupe ethnique n'ont simplement pas été faites. Et même si cela marchait - ce dont je doute -, assigner une personne à une population donnée n'indique pas la nationalité. Les gens se déplacent !", notait ainsi dans la revue Science (datée du 2 octobre 2009) Alec Jeffreys (université de Leicester, Royaume-Uni). Pour ce biologiste, inventeur de la technique d'empreintes génétiques utilisée par la justice, la procédure est "naïve et scientifiquement défectueuse". Depuis, le projet court toujours.

 

Catherine Vincent
 
SourcesLe Monde
 
Posté par Adriana Evangelizt
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commentaires

D
<br /> <br /> ou puis je voir la video ?<br /> <br /> <br /> <br />
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