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  • : La catastrophe planétaire qui s'est produite voilà 12 960 ans est en train de se reproduire mais nul n'en parle... il faut retrouver la Cosmogonie des Anciens pour Savoir.
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3 mai 2010 1 03 /05 /mai /2010 22:40

 

 

Inondations à Ryad: fermetures d'écoles

 

 

Les autorités saoudiennes ont ordonné la fermeture des écoles demain dans le royaume après des inondations provoquées par des fortes pluies et la grêle lundi dans la capitale Ryad.

 

De violents orages ont secoué lundi après-midi Ryad, inondant les voies intérieures, bloquant les voitures et provoquant d'importants embouteillages, selon des résidents et des médias saoudiens. Les autorités n'ont pas fait état de victime.

 

Les services météorologiques annonçant d'autres épisodes pluvieux pour mardi, le gouverneur de la région de Ryad, le prince Salman ben Abdel Aziz, a ordonné la fermeture des écoles, selon un communiqué publié par l'agence officielle SPA.

 

A la mi-avril, sept personnes avaient péri en raison de fortes pluies dans le sud-ouest du royaume. Le véhicule d'une famille de six personnes avait été emporté par les flots.

 

En novembre 2009, des inondations dues à de fortes pluies avaient coûté la vie à des dizaines de morts à Jeddah et La Mecque, dans l'ouest du royaume. La plupart des victimes étaient mortes lorsque leurs voitures ou bus ont été prises dans des crues, selon des témoins.

 

Sources LE FIGARO

 

Posté par Adriana Evangelizt

 

 

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25 avril 2010 7 25 /04 /avril /2010 15:08

 

 

 

Inondations en Somalie, 11 morts

 

 

Des inondations provoquées par des pluies torrentielles ont causé la mort de 11 personnes dans la région autoproclamée autonome du Somaliland, dans le nord de la Somalie, a-t-on appris aujourd'hui de source médicale et auprès de témoins.

"De très fortes pluies ont commencé en fin de journée samedi et ont fait 11 morts, la plupart en raison d'immeubles effondrés ou prisonniers de leur voiture emportée par les flots", a annoncé un médecin de l'hôpital public d'Hargeisa, la "capitale" du Somaliland. "Une partie des cadavres se trouve encore à l'hôpital en attente d'identification", a-t-il ajouté.

Un habitant d'Hargeisa, Magan Abdullah, a confirmé que plusieurs véhicules avaient été emportés par les flots, à l'extérieur de la ville. "J'ai vu les corps de trois personnes qui avaient été bloquées dans leur voiture, emportée par les inondations", a-t-il rapporté. L'axe principal d'Hargeisa, reliant plusieurs quartiers entre eux, était inaccessible en raison des inondations qui ont provoqué l'effondrement de plusieurs maisons. "Les inondations ont mis à terre des habitations et détruit des routes. Quatre enfants sont morts dans l'effondrement d'une maison dans le quartier de Libahyada", a indiqué un témoin.

Selon les témoins interrogés au téléphone, plusieurs des victimes ont été électrocutées dans ces inondations qui ont laissé plusieurs centaines de personnes sans abri. La Somalie est entrée depuis début avril dans l'une des deux saisons de pluies de l'année ("gu") qui dure normalement d'avril à juin et se caractérise par des précipitations irrégulières et des pluies torrentielles.

Sources Le Figaro

 

Posté par Adriana Evangelizt

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3 mai 2009 7 03 /05 /mai /2009 19:26

Crue historique pour l'Amazone


L'amazone, le plus grand fleuve du monde, a atteint un niveau d'eau jamais égalé annonce l'Institut pour la recherche et le développement (IRD). En cause les pluies exceptionnellement importantes dans toute la région nord du bassin amazonien depuis décembre 2008.

Lors d’une mission de contrôle et d’observation à la station d’Obidos, station qui contrôle les débits de l’Amazone à environ 800 km de l’estuaire, les chercheurs français et brésiliens de l’IRD ont observé la montée des eaux de l’amazone. Avec un niveau exceptionnel et toujours en augmentation de 814 cm, il surpasse de 4 cm le niveau de la précédente crue record en 2006. Cette crue, exceptionnelle selon les experts de l’IRD, est due aux fortes pluies qui s’abattent sur la région nord du bassin amazonien depuis cet hiver. Elles se superposent aux crues normales des cours d’eaux formateurs de l’amazone qui gonflent déjà le fleuve à cette période.

Ces fortes pluies sont liées à des températures de surface océaniques anormalement élevées sur l’Atlantique tropical nord qui favorisent le maintien de la convection et de la vapeur d’eau aux basses latitudes, près de l’Equateur. Le phénomène de La Nina accentue cette tendance en favorisant la présence de pluies sur le nord du bassin amazonien. A l’inverse, le bassin de La Plata (sud du Brésil et du Paraguay, nord de l’Uruguay) qui est l'un des plus grands systèmes fluviaux de la planète connaît une sécheresse exceptionnelle.

Les conséquences de ces crues sont dramatiques pour l’économie locale et les petites communautés de pêcheurs. Les poissons étant répartis dans un plus grand volume d’eau, les pêcheurs ne prennent plus rien dans leurs filets, entraînant une hausse des prix pour l'acheteur et de très faibles rentrées financières pour les vendeurs ; l'allure de la montée des eaux et les observations des stations péruviennes en cours ne laissent pas espérer une amélioration immédiate de la situation.

Sources :
Nouvel Obs

Posté par Adriana Evangelizt

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3 mai 2009 7 03 /05 /mai /2009 19:21

Alerte dans les Caraïbes, possibilité d'un tsunami



21 avril - Des géologues britanniques ont averti aujourd'hui du haut risque que se produise un tsunami dans la région des Caraïbes par l'effondrement éventuel d'un volcan dans l'île Antillaise de la Dominique, qui produirait des vagues jusqu'à cinq mètres de hauteur.

Il s'agit du volcan Morne aux Diables, dont les flancs montrent clairement des signaux d'érosion, selon une équipe de l'Université de Portsmouth (Angleterre) dirigé par le professeur Richard Teeuw, qui alerte la baisse d'un million de tonnes de roche, a plus de 50 mètres de hauteur peut causer une tragédie.

La question n'est pas  si cette avalanche et le tsumani se produiront, mais quand. Le détonateur probable sera un grand séisme après la saison d'ouragans, qui apporte des fortes pluies et une grande érosion côtière. “Il pourrait passer dans 100 années ou pourrait se produire la semaine
prochaine”, a déclaré  le professeur Teeuw. Le plus grand risque est pour les habitants de l'île de la Guadaloupe, 50 kilomètres au nord de la Dominique, où les vagues arriveraient en question de minutes, ce qui suppose un haut risque pour les 30.000 personnes qui vivent ou résident temporairement dans la côte sud.


Ce géologue britannique a rappelé que la Guadeloupe est une île densément peuplée avec des plages très populaire de touristes qui sont vastes, ce qui fait que le  tsumani avancera sans obstacle et augmentera en puissance et en hauteur.


 Il y aura des dommages matériels et personnels, et au cas où il y aurait des gens sur les plages il y aura des pertes de vies.


Cette partie du monde est bien préparée pour les risques des ouragans, mais est relativement peu préparé pour l'impact rapide d'un tsunami, a signalé le professeur Teeuw.


Cependant, il a souligné qu'il ne faut pas être alarmistes  et qu'il ne faut pas penser un grand tsunami qui atteindra à toutes les Caraïbes , puisque l'île de Guadeloupe agirait comme un frontón  et le seul effet ajouté  pourrait être un retour des vagues à la Dominique.


Avec la collaboration de l'École de Sciences Environnementales (SEES), Teeuw a découvert l'instabilité de ce volcan grâce à des études géomorphologiques effectuées à partir d'images 3D obtenues de Google Earth qui montrent ce qui est précaire, la situation et des tensions qu'il y a dans les fentes du Morne aux Diables.


La Dominique, la première île où Christophe Colombes a arrêté son second voyage en Amérique (en novembre 1493) et ou vivait une population des Caraïbes combative, à des concentrations plus hautes que le monde de volcans potentiellement actifs, dont les

 

mouvements séismiques sont assez fréquents.


Se situe géographiquement entre les territoires français de l'outre-mer de la Guadeloupe au nord, et à  la Martinique au sud, appartient au Commonwealth, la Fédération

 

des nations Britannique.


Teeuw et ses collègues ont prévu de voyager  dans les prochains mois avec le parrainage de la Royal Geographical Society pour effectuer de nouvelles études géomorphologiques et évaluer avec davantage de précision le risque d'effondrement des parois du volcan. Les géologues britanniques estiment que la zone la plus vulnérable a été exposée il y a des milliers d'années, quand un des flancs a effondré et est  tombé au fonds de la mer, ce pourquoi ils ont aussi prévu d'étudier en 2010 le sol marin pour essayer de déterminer quand il s'est produit et quels ont pu être les éléments qui l'ont précipité.


Le séisme qui a causé l'effondrement de l'ancien flanc du volcan Morne aux Diables a été probablement beaucoup plus violent que tout autre produit, historiquement dans le secteur autour de la Dominique.


S'il a ainsi été, ceci a des implications très graves, parce qu'il augmente la possibilité d'un exceptionnelle, mais catastrophique tsunami dans les Caraïbes », a expliqué Teeuw. L'objectif principal de l'étude, publiée par l'American Geophysical Union, est que les autorités prenne  conscience de la nécessité de créer des systèmes d'alerte précoce parce que, se produire un tsunami des dites caractéristiques, les vagues arriveraient à la Guadeloupe dans seulement 10 minutes , selon Teeuw.

Sources
Tatun Info

Posté par Adriana Evangelizt

 

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3 mai 2009 7 03 /05 /mai /2009 18:15

Là aussi, on notera les résultats des prévisions des chercheurs patentés du GIEC qui avait prédit une montée des eaux de 18 à 59 cm alors que les chercheurs allemands -à qui je me fie totalement, y compris dans les documentaires- disent, eux 75 à 190 cm. J'ai trouvé une video où un chercheur dit qu'il y a eu une fonte des glaces voilà 12 500 ans qui a entraîné le déluge. Ce qui correspond à ma théorie. Exactement ce qui se passe maintenant. A cela, il faut ajouter que notre Terre va boucler son tour de précession de 25 920 ans et qu'elle aura parcouru 6 ères en 12 960 ans, ce qui inclut pour elle un changement qui est actuellement en préparation. Le réchauffement climatique n'est pas dû à l'activité humaine mais à tout un tas de facteurs cycliques dont notre planète est coutûmière depuis des milliards d'années.



Le niveau des mers pourrait monter d'un mètre d'ici 2100



Les prévisions des scientifiques, qui s'aggravent d'année en année, démontrent aujourd'hui que nombre d'Etats insulaires et régions côtières pourraient disparaître avant la fin du siècle, y compris en France.

Les prévisions des climatologues et des océanographes sont de plus en plus inquiétantes. Alors que le dernier rapport du Groupe des experts mondiaux du climat (Giec) tablait en 2007 sur une élévation du niveau des mers de 18 à 59 cm d'ici à 2100, cette hausse pourrait finalement dépasser un mètre. C'est la conclusion alarmante qu'ont tiré plusieurs dizaines de scientifiques réunis mardi à Copenhague, soulignant l'absolue nécessité d'aboutir à un accord international sur le climat dans neuf mois. «Le monde a très très peu de temps», affirme même l'Indien Rajendra Pachauri, président du Giec, organisation qui a reçu le Prix Nobel de la Paix en 2007.


«Quand nous appliquons les différents scénarios d'évolution de température du Giec, nous arrivons à une fourchette de hausse du niveau de la mer en 2100 qui va de 75 cm à 190 cm, explique Stefan Rahmstorg, un scientifique de l'Institut de recherche de Potsdam (Allemagne), présentant les résultats de sa dernière étude. Nous sommes en train d'enclencher des processus qui entraîneront une hausse des océans pour les siècles à venir.»

 

Plusieurs dizaines de communes côtières menacées en France

 

Le réchauffement climatique demeure évidemment au premier rang des responsables, mais dissimule notamment les quantités croissantes de CO2 émises dans les pays industralisés. Et si ces derniers, Etats-Unis ou Chine en tête, ne donnent pas encore l'impression d'avoir pris conscience du problème, le sujet est pourtant crucial.


Ue telle élévation du niveau des mers pourrait rayer de la carte nombre d'Etats insulaires et contraindre des dizaines de millions de personnes à l'exil, affirment les scientifiques. En Europe, les côtes de la Manche et de la mer du Nord pourraient être submergées par la montée des eaux. En France, plusieurs dizaines de communes côtières - du Pas-de-Calais à la Camargue en passant par la Seine-Maritime, la Manche, la Loire-Atlantique, la Vendée ou la Charente-Maritime - seraient également menacées.


«La vision traditionnelle était que les calottes glaciaires évoluent de manière très très lente sur des centaines ou des milliers d'années, or les choses qu'on voit en ce moment sont beaucoup plus rapides, s'inquiète Eric Rignot, professeur à l'UC Irvine, en Californie. Si cette tendance se poursuit, nous assisterons probablement à une hausse du niveau de la mer d'un mètre ou plus d'ici à 2100.»


En décembre, la communauté internationale se réunira à Copenhague pour tenter de donner une suite au protocole de Kyoto et trouver un accord mondial sur les réductions des émissions de gaz à effet de serre au-delà de 2012. A moyen terme, l'objectif affiché est d'aboutir à une diminution d'au moins 50% des émissions mondiales de gaz à effet de serre d'ici à 2050, soit une réduction d'au moins 80% de la part des pays riches.

Sources
Le Figaro

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3 mai 2009 7 03 /05 /mai /2009 15:48




Le réchauffement climatique fait baisser
le niveau des rivières du monde




Le niveau des rivières dans certaines des régions les plus peuplées baisse à cause du réchauffement climatique, indiquent des chercheurs du Centre national américain de recherches atomosphériques basé à  Boulder (Colorado) qui ont mené une étude sur le débit des  rivières. 


     Selon cette étude qui sera publiée le 15 mai, cette tendance  constitue une éventuelle menace à l'alimentation en nourriture et  en eau.  


     "La distribution de l'eau fraiche du monde, déjà un sujet  important, occupera l'avant scène pour des années à venir dans le  développement de stratégies d'adaptation au changement climatique", a indiqué Cliff Jacobs, de la division des sciences atmospériques  de la Fondation nationale scientifique (NSF), sponsor du NCAR. 


     Les chercheurs du NCAR, qui ont enquêté sur le débit des  rivières entre 1948 et 2004, ont constaté de forts changements  dans environ un tiers des grandes rivières du monde. Parmi ces  rivières, celles ayant leur débit diminuant dépassent celles dont  le niveau a augmenté et leur proportion est de 2,5 contre 1. 


     Plusieurs rivières ayant moins d'eau servent d'importantes  populations, y compris le Fleuve Jaune (Chine), Ganges (Inde), le  Niger (Afrique de l'Ouest) et Colorado (Etats-Unis). 


     Plusieurs facteurs pourraient affecter le débit des rivières, y compris les barrages et la déviation de l'eau pour les besoins de  l'agriculture et l'industrie. 


     Les experts du NCAR trouvent pourtant que la diminution du  débit des rivières serait liée, dans beaucoup de cas, au  changement climatique. 


     "Comme le changement climatique continue inévitablement dans  les prochaines décennies, nous devrions voir de grands impacts sur beaucoup de rivières et les ressources d'eau", a affirmé Kevin  Trenberth, du NCAR.

Sources
Xinhuanet

Posté par Adriana Evangelizt

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21 décembre 2008 7 21 /12 /décembre /2008 02:02

Sombres prévisions sur le front des tsunamis


La prévision des séismes est loin d’être une science exacte. Aussi, tout le monde espère que les chercheurs qui publient leur analyse de la situation géophysique à Sumatra dans la revue Science de cette semaine se trompent. Selon cette équipe internationale (Etats-Unis, Indonésie, Taïwan, Singapour), plusieurs secousses de grande ampleur pourraient survenir au cours des prochaines décennies.


En 2004, quand la terre a tremblé au large de l’Indonésie, personne n’était prêt dans cette région de l’Océan indien à gérer l’alerte. Plus de deux cent mille personnes ont perdu la vie. Depuis, les différents pays de la région ont engagé un important effort pour mettre sur pied des dispositifs d’alerte. L’Indonésie s’affirme aujourd’hui capable de donner l’alerte en moins de trois minutes. Elle a d’ailleurs rejoint le dispositif de surveillance de la Commission préparatoire de l’Organisation des Nations-Unies pour l’interdiction des essais nucléaires (CTBTO). Ce dernier s’appuie sur un réseau de 337 cellules de détections souterraines, sous-marines et atmosphériques destiné à repérer les essais nucléaires.


Aussi perfectionné soit-il, un réseau d’alerte ne pourrait que réduire les pertes humaines en cas de gros séisme générateur de tsunami. Car s’il survient près des côtes indonésiennes, les vagues gigantesques toucheraient les côtes de bien avant les trois minutes nécessaires à donner l’alerte. Or, de tels séismes sont annoncés au cours des prochaines décennies par les travaux publiés dans Science.


Les chercheurs ont étudié les récifs coralliens des îles de Mentawai, à Sumatra. Ils relèvent que dans cette région, la faille sismique de la Sonde a produit des suites de violents séismes tous les deux siècles depuis sept cent ans. Jusqu’à un séisme survenu en septembre 2007 (Magnitude 8,4), la “section de Mentawai”, plus de sept cent kilomètres de failles, “dormait” depuis deux forts séismes, en 1797 et 1833. Selon les chercheurs, le séisme de septembre 2007 est le signe qu’une période active a commencé, qui pourrait voir survenir plusieurs séismes, dont un au moins de magnitude 8,8. De quoi dévaster des régions entières de l’océan indien. «Les pertes en vies humaines et les dégâts pourraient égaler ou dépasser celles relevées dans la province indonésienne d’Aceh en 2004», écrivent les chercheurs. La magnitude avait alors atteint 9.


Il reste qu’estimer la probabilité d’événements qui surviennent tous les deux siècles à partir de relevés qui portent sur seulement sept siècles est un exercice périlleux. Ce qui est rassurant, c’est que si un séisme géant survient au cours des prochaines décennies, tout le monde aura encore la mémoire de la tragédie de 2004. Le réflexe de se réfugier sur les hauteurs n’aura pas eu le temps de se dissoudre dans l’histoire.

Pour en savoir plus:


Le séisme du 26 décembre 2004 à Sumatra.

• Une
brochure qui explique la formation des tsunamis (en français, format PDF).

Sources :
Monde Durable Science

Posté par Adriana Evangelizt

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21 décembre 2008 7 21 /12 /décembre /2008 00:41

On notera quand même le vague des scientifiques pour la précision des catastrophes gigantesques qui ont déjà eu lieu. Tout un symbole de leur méconnaissance et une preuve supplémentaire qu'il est impossible de leur faire confiance.



Il y aura d'autres tsunamis


Le tsunami qui a balayé l’océan indien en 2004 et fait près de 250 000 victimes n'est pas le premier ni le dernier du genre, révèle deux études à paraître dans la revue Nature.

Deux groupes de scientifiques ont analysé, au nord de Sumatra et sur l'île thaïlandaise de Phra Thong, des dépôts sédimentaires indiquant que la région a connu au moins un tsunami d’une ampleur similaire à celui de 2004. Il aurait dévasté la zone il y a un peu plus de 600 ans, une époque dont les historiens n’ont aucun témoignage écrit.

Les scientifiques ont relevé la trace d’évènements antérieurs mais leur datation s’avère impossible, les prélèvements effectués sur les deux plages ne corrélant pas. Ils supposent néanmoins que des catastrophes cycliques avec des intervalles de plusieurs siècles se sont produites dans le passé.

Dans les excavations les couches de sédiment déposées par les tsunamis les plus puissants se distinguent nettement des sols noirs marécageux (voir photo). Sur l’île de Phra Thong, la datation au carbone 14 de la strate la plus ancienne fait remonter le plus vieux tsunami enregistré à 2800 ans. Selon les sites, les géologues ont identifié entre deux et cinq traces d’évènements majeurs.

Le tsunami de 2004 a été engendré par un séisme (de magnitude 9.1 à 9.3 selon les estimations de l’Institut géologique américain) centré au large d'Aceh, au nord de Sumatra. Il a traversé une grande partie de l’océan Indien pour atteindre les côtes de l’Afrique.

Un tel phénomène pourrait se reproduire selon une périodicité qu’il reste encore à déterminer définitivement. Les auteurs insistent donc sur l’importance du développement des moyens de détection et d’alerte aux populations, des phénomènes de moindre ampleur pouvant également survenir. 

Sources
Maroc Info

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8 novembre 2008 6 08 /11 /novembre /2008 10:50


Au Kenya, les inondations provoquent des affrontements claniques


IRIN (ONU), 24 octobre 2008


« La recrudescence de l’insécurité à Mandera, une région du nord-est du Kenya, a paralysé les transports et entraîné l’imposition d’un couvre-feu, aggravant la situation pour les habitants, déjà touchés par des inondations et de graves pénuries alimentaires. » Le changement climatique pourrait provoquer des conflits, nous a-t-on averti. Dans les régions les plus pauvres de la planéte, ce futur est déjà un présent. Pour des populations en situation de perpétuelle insécurité alimentaire, les dérèglements météorologiques deviennent une cause immédiate d’affrontements.

La recrudescence de l’insécurité à Mandera, une région du nord-est du Kenya, a paralysé les transports et entraîné l’imposition d’un couvre-feu, aggravant la situation pour les habitants, déjà touchés par des inondations et de graves pénuries alimentaires.

« La situation va de mal en pis et un couvre-feu a été imposé », a déclaré à IRIN Titus Mung’ou, chargé de communication de la Croix-Rouge kényane, le 22 octobre.

Au moins trois personnes ont également trouvé la mort, 300 personnes ont été déplacées et une trentaine de maisons ont été incendiées le 21 octobre dans le village voisin de Koromey, au cours d’attaques menées par des pilleurs armés. Koromey se situe à cinq kilomètres de la ville de Mandera.

Les échauffourées opposaient le clan des Garre à celui des Murule, qui par le passé se sont disputés l’exploitation de points d’eau pour l’abreuvement de leur bétail. Le 16 octobre, les clans se sont affrontés au sujet de terres sur lesquelles des habitants, déplacés par les inondations en ville, s’étaient installés temporairement.

Environ 13 habitants de Koromey étaient portés disparus le soir du 22 octobre, selon la Croix-Rouge.

« Les dernières victimes des affrontements claniques ont besoin d’urgence de vivres et de denrées non-alimentaires, notamment d’un lieu d’hébergement », selon un communiqué publié par l’organisme le 23 octobre. « La Croix-Rouge kényane travaille avec le gouvernement et d’autres ONG pour porter secours aux personnes déplacées par les crues éclairs et les récents affrontements claniques. L’assistance humanitaire est en cours, après avoir été interrompue par les affrontements ».

Une grave pénurie alimentaire et une augmentation spectaculaire des prix ont été signalées dans la ville frontalière depuis que les trois seules sociétés de transport desservant la région ont suspendu leurs activités pour des raisons de sécurité.

Mandera, qui souffre d’insécurité alimentaire, dépend en effet des vivres acheminés depuis d’autres régions du pays et depuis les zones frontalières. La ville est limitrophe de l’Ethiopie et de la Somalie.

Amina Shekh Abdullahi, commerçante de produits alimentaires locale, a expliqué à IRIN qu’elle se trouvait bloquée à Isiolo, une ville de la province Orientale voisine, avec ses produits frais de la ferme. « J’ai peur que tous ces choux, ces pommes de terre et ces carottes, que j’ai achetés pour les vendre à Mandera, ne soient gâchés ».

Isiolo se trouve au sud-ouest de Mandera. Plusieurs centaines de passagers, qui se rendaient dans les villes voisines de Garissa et Wajir, ont également été bloqués en chemin. Un chauffeur de bus a expliqué à IRIN que plusieurs véhicules avaient été pris pour cibles et que deux passagers avaient été tués.

Le gouvernement a imposé un couvre-feu interdisant la circulation et les activités commerciales dans la ville, après le meurtre d’au moins 20 personnes, au cours de ce dernier mois.

Publication originale IRIN

Sources Contre Info

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16 septembre 2008 2 16 /09 /septembre /2008 18:48

Bilan revu à la hausse après la coulée de boue meurtrière en Chine


13 septembre - Le bilan d'une coulée de boue et de roches lundi dans une ville du nord de la Chine, provoquée par l'exploitation illégale d'une mine, s'est alourdi avec la découverte de 27 corps, portant à 178 le nombre de morts, a indiqué vendredi l'agence Chine Nouvelle.

Selon Chine Nouvelle, 90% de la zone touchée a pu être inspecté dans la ville de Taoshi, de la province minière de Shanxi, où la rupture d'un bassin de rétention d'eau est à l'origine de l'éboulement de boue et de résidus. La coulée meurtrière s'est
déversée sur 30 hectares et a dévalé 500 mètres, ravageant notamment un marché de cette ville d'un millier d'habitants.

Selon un journaliste de l'AFP, l'épaisseur de boue dépassait six mètres par endroits. Des médias nationaux avaient précédemment cité le ministre de la Sécurité au travail Wang Jun qui faisait état de
"centaines" de disparus supposés encore ensevelis sous les décombres.

Mais, Chine Nouvelle a indiqué vendredi que le bilan, qui compte aussi 35 blessés, ne devrait plus beaucoup changer, car il n'y a que peu d'espoir de retrouver des survivants. Les recherches se poursuivaient cependant avec plus de 2.000 sauveteurs toujours mobilisés ainsi que plus de 100 engins de chantier pour déblayer les gravats.

Illégal
L'administration chinoise en charge de la sécurité au travail a indiqué que la coulée avait été provoquée par le débordement d'un réservoir d'eau et de résidus sur une mine illégale d'extraction de minerai de fer, à la suite de fortes pluies. Les certificats garantissant la sécurité de la mine avaient été abrogés en 2006, ce qui n'avait pas empêché un nouveau propriétaire de relancer l'exploitation récemment.

La police a arrêté 13 personnes impliquées dans cette activité illégale dont le patron de la mine Zhang Peiliang ainsi que plusieurs responsables locaux dont le maire de Taoshi et le secrétaire du Parti communiste qui ont été limogés.

Sources
7/7

Posté par Adriana Evangelizt

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