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  • : Le blog de Adriana Evangelizt
  • : La catastrophe planétaire qui s'est produite voilà 12 960 ans est en train de se reproduire mais nul n'en parle... il faut retrouver la Cosmogonie des Anciens pour Savoir.
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20 décembre 2008 6 20 /12 /décembre /2008 23:43

On découvre encore des espèces inconnues...


Singulière découverte suite à l'éclosion d'un œuf


A la fin de l’année 2006, après un périple de 20 000 km, un œuf ralliait la capitale française avant d’éclore et de révéler une espèce jusqu’alors inconnue de gecko, reptile appartenant à la famille des lézards. Aujourd’hui, après plus d’une année de soins en captivité, l’exilé est enfin parvenu à sa taille adulte dévoilant les caractéristiques morphologiques spécifiques à cette nouvelle espèce baptisée Lepidodactylus buleli.

Originaire d’Espiritu Santo, île de l’archipel du Vanuatu situé en plein cœur du Pacifique Sud, ce reptile mesurant en moyenne 8 cm pour un poids d’environ 1,5 gramme est une espèce arboricole. De fait, les nombreux œufs découverts sur l’île montagneuse avaient tous élu domicile au sein ou à proximité de plantes myrmécophiles (abritant des colonies de fourmis) suspendues en hauteur, cette dernière pouvant atteindre jusqu’à plus de 20 mètres de distance. Elles servent de refuges aux œufs qui, grâce à leur nature adhésive, se collent à la surface sur laquelle ils sont déposés.

Bien qu’il partage certaines particularités avec une autre espèce originaire d’îles de Papouasie Nouvelle-Guinée, notamment un nombre élevé d’écailles réparties sur l’ensemble du corps, l’individu adulte présente des critères particuliers qui le distinguent des espèces cousines. Il se démarque entre autres par une concentration importante d’écailles autour du milieu du corps, une faible dilatation des doigts et des orteils et par un dessin dorsal original à base de la queue.

Cette découverte a eu lieu dans le cadre de l’expédition scientifique internationale « Santo 2006 », organisée conjointement par le Muséum national d’histoire naturelle de Paris, Pro-natura international et l’IRD (Institut de Recherche pour le Développement). Menée d’août à décembre 2006 et réunissant près de 160 scientifiques de tous horizons, cette initiative a consisté en un inventaire de la faune et de la flore des milieux terrestres et marins d’Espiritu Santo, reconnue pour sa riche biodiversité.
A la lumière de la récente trouvaille, il semblerait que cette réputation ne soit pas usurpée.

Sources
Univers Nature

Posté par Adriana Evangelizt

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20 décembre 2008 6 20 /12 /décembre /2008 23:18
Le réchauffement climatique causé par l'homme affecte l'Antarctique et l'Arctique



Une étude publiée la semaine dernière apporte de nouvelles preuves au fait que le réchauffement climatique causé par l’homme, et notamment la combustion de carburants fossiles, affecte aussi bien l’Arctique que l’Antarctique, les deux régions polaires du Globe.

L’Antarctique et l’Arctique ont de moins en moins de glace à cause du réchauffement climatique, d’après ce que des scientifiques ont déclaré la semaine dernière dans le cadre d’une étude qui apporte de nouvelles preuves de l’effet qu’a le changement climatique provoqué par l’homme sur chaque continent.

 

La détection d’une cause humaine de réchauffement climatique aux deux pôles de la terre montre aussi à quel point il est nécessaire de comprendre l'évolution des calottes glaciaires de l’Antarctique et du Groenland qui feraient augmenter le niveau de la mer de 70 mètres si elles fondaient totalement, d’après les déclarations des scientifiques.

« Nous sommes capables, pour la première fois, d’attribuer directement le réchauffement climatique à l’influence des hommes en Antarctique et en Arctique » indique ainsi Nathan Gillett de l’Université d’East Anglia en Angleterre, à propos d’une étude qu’il a conduite avec des collègues venant des Etats-Unis, de Grande-Bretagne et du Japon.

Les scientifiques affirment que les températures ont augmenté d’environ 2°C au cours des quarante dernières années dans l’Arctique. Les températures en Antarctique, un continent gelé plus grand que les Etats-Unis, ont augmenté de plusieurs dizièmes de degré.

 

L’Arctique s’est considérablement réchauffé ces dernières années et la mer de glace a fondu en 2007 pour atteindre un niveau plus bas que tous les records établis précédemment.

 

Mais les tendances qu’a suivi l’Antarctique ont été plus confuses : certaines mers de glace d’hiver se sont étendues ces dernières années, ce qui a suscité des doutes quant au caractère mondial du réchauffement climatique.

 

Le Groupe Intergouvernemental d’Experts des Nations Unies sur l’Evolution du Climat, qui rassemble le travail de 2 500 experts, a déclaré l’an dernier que l’empreinte humaine sur le climat « avait été détectée sur chaque continent à l’exception de l’Antarctique » qui n’était pas assez bien couvert (du point de vue de l’observation) pour en faire une évaluation pertinente.

 

Les scientifiques, qui ont publié leur étude dans le journal Nature Geoscience, affirment que leurs découvertes comblent ce fossé.

 

L’étude, qui compare les archives de températures et quatre modèles climatiques informatiques, montre un réchauffement des deux régions polaires du globe, dont l’explication la plus plausible réside dans l’augmentation des gaz à effet de serre, provenant principalement de la combustion de carburants fossiles, plutôt que par des changements naturels.

 

Le lien avec les activités humaines est difficile à trouver dans les régions polaires parce qu’il y a moins de 100 stations de température en Arctique et seulement 20 en Antarctique.

 

Les scientifiques affirment que les températures ont augmenté d’environ 2°C au cours des quarante dernières années dans l’Arctique. Les températures en Antarctique, un continent gelé plus grand que les Etats-Unis, ont augmenté de plusieurs dizièmes de degré. L’Arctique se réchauffe plus rapidement parce que l’eau plus sombre et le sol absorbent plus de chaleur que la glace et la neige qui au contraire réfléchissent les rayons du soleil.

 

L’étude établit également un lien de manière officielle entre les émissions de gaz à effet de serre et l’augmentation des températures en Arctique, où les grandes variations naturelles comprennent une augmentation importante des températures dans les années 1930 et 1940.

 

Le lien avec les activités humaines a été souligné lors d’un congrès du GIEC l’an dernier, qui indiquait que l’impact humain « avait probablement contribué à la diminution récente de l’étendue de la mer de glace Arctique ».

 

Les scientifiques qui ont conduit l’étude ont recommandé que davantage de recherches soient faites sur la glace et les températures dans ces régions polaires.

 

Le GIEC prévoit que le niveau des mers augmentera entre 18 et 59 centimètres au cours du siècle, tandis qu’il y aura probablement plus de sécheresses, d’inondations, de canicules et de tempêtes plus dévastatrices.

 

« Nous devons vraiment être plus attentifs à ce qui se passe pour ces calottes glaciaires » a déclaré Andrew Monaghan, du Centre National des Etats-Unis pour la recherche Atmosphérique.


Sources Actualités News Environnement

Posté par Adriana Evangelizt

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20 décembre 2008 6 20 /12 /décembre /2008 22:45

Trois videos sur l'Ecole des Mystères venus d'une civilisation atlantéenne...



L'Oeil d'Horus






Posté par Adriana Evangelizt

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2 décembre 2008 2 02 /12 /décembre /2008 09:57
Voyage au centre de la Terre


traduction de Didier Jamet



Au cœur de notre planète se trouve une boule de fer solide, à peu près aussi chaude que la surface du Soleil (6000 ° centigrades). Les chercheurs l’appellent le noyau interne. C’est une sorte de monde à l’intérieur du monde :Il représente 70% du diamètre de la Lune et tourne sur lui-même de façon découplée d’avec le reste de la planète. Il tourne en effet de 0,2° de longitude plus vite que la surface de notre planète chaque année. Et il est même doté de son propre « Océan » : une très profonde couche de fer liquide connue sous le nom de « noyau externe »

Le champ magnétique terrestre vient de cet océan de fer, qui est un fluide conducteur d’électricité en mouvement permanent. Juché sur le chaud noyau interne, le noyau externe liquide entre en ébullition comme l’eau dans une casserole placée au-dessus du feu. Le noyau externe connaît également des « Ouragans », des tourbillons engendrés par les forces de Coriolis, lesquelles sont la traduction de la rotation de notre planète. Ces mouvements complexes génèrent le magnétisme au travers d’un processus appelé effet dynamo.

Recourant aux équations de la magnétohydrodynamique, une branche de la physique traitant des fluides conducteurs et des champs magnétiques, Glatzmaier et son collègue Paul Roberts ont crée un modèle informatique de l’intérieur de notre planète. Leur logiciel permet d’augmenter la température du noyau interne, ce qui met en ébullition le fer liquide au-dessus, à partir de quoi on calcule le champ magnétique résultant. Ils font tourner le programme en accéléré afin de simuler l’écoulement de centaines de milliers d’années, et regardent ce qui se passe.

Dans l’antre du Chaos

Ce qu’ils obtiennent reproduit à la perfection ce que l’on constate en réalité : l’intensité du champ magnétique va et vient, les pôles se déplacent et, occasionnellement, s’inversent. Pour le champ magnétique, le changement est la norme. Et ce n’est pas si surprenant. La source du champ, le noyau externe, est par essence lui même turbulent et inconstant. « C’est le chaos dans toute sa splendeur là-dedans » résume Glatzmaier. Les changements que nous percevons à la surface de la Terre ne sont que la résultante d’un processus chaotique interne.

Ils ont également appris ce qui se passe durant un renversement des pôles. Le processus d’inversion prend quelques milliers d’années, et durant cette période, contrairement à ce qui est répété ici ou là, le champ magnétique ne s’effondre pas : « il devient juste plus compliqué » confirme Glatzmaier. Les lignes de force du champ magnétique situées près de la surface terrestre se tordent et s’entremêlent, et on assiste en fait à une multiplication des pôles magnétiques, lesquels émergent en des lieux tout à fait inhabituels. On peut par exemple se trouver avec un pôle sud situé en Afrique et un pôle nord à Tahiti. S’il devient incontestablement bizarre, ça n’en restera pas moins un champ magnétique terrestre, et il nous protègera encore des radiations cosmiques ou des éruptions solaires.

Et il y aura même des avantages certains : observer des aurores polaires dans les eaux chaudes du Pacifique sud, ce sera tout de même plus confortable que dans le grand nord Canadien !

 

 

Quelques liens sur le sujet.

La dynamo terrestre

Le pôle nord magnétique

Le champ magnétique terrestre

Quand le Noyau pose des pépins.

Image du pôle nord magnétique

Origine du magnétisme terrestre

Quand les pôles perdent le nord

Sources Cidehome

Posté par Adriana Evangelizt

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2 décembre 2008 2 02 /12 /décembre /2008 09:55

Je pose cet article en rigolant pour vous montrer le comportement des scientifiques face à ceux qui pensent que le basculement des pôles est imminent. Cela commence par une question et vous avez la réponse...



Basculement des pôles



question de Charly Frog - Fontenay

On parle du basculement périodique des pôles qui engendrerait de façon cyclique de grandes catastrophes naturelles (déluge, Atlandide, ouverture de la mer Rouge, fin des grands animaux, disparitions de civilisations avancées...) Nous serions à la veille du prochain basculement et la fonte rapide de la calotte glaciaire, témoin du début d'une l'inclinaison du globe, en serait le prémice. Qu'en pensez-vous ?

réponse donnée le 23-10-2008
par Didier Jamet

Bien… Puisque l’homme de la pampa, parfois rude, doit s’efforcer de rester courtois en toutes circonstances même s’il est parfois tenté de perdre patience devant la fascination morbide de ses contemporains pour l’irrationnel et la spiritualité d’hypermarché, je vous répondrai :

- Que comme disait un de mes regrettés instituteurs, « On » est un pronom imbécile qui définit généralement celui qui l’emploie, et que le simple fait de vérifier vos sources devrait vous permettre de constater qu’elles ne mènent à rien de sérieux.

- Que l’Atlantide est un continent mythique inventé par Platon pour critiquer les travers de la société dans laquelle il vivait et qu’il ne pouvait attaquer frontalement, tout comme Montesquieu n’a en réalité croisé qu’assez peu de Persans.

- Que très paradoxalement, je ne considère pas les récits bibliques comme parole d’Evangile.

- Que la disparition possible de nombreux grands animaux dans les années à venir, grands singes, éléphants ou tortues luth, a plus à voir avec la folie et l’avidité des hommes qu’avec n’importe quelle autre cause.

- Que la rapide fonte actuelle des calottes glaciaires n’a rien, mais alors absolument rien à voir avec la variation de l’inclinaison de l’axe de rotation de notre planète, mais beaucoup à voir avec le fait que certains de nos concitoyens jugent comme un formidable progrès social le fait d’avoir deux 4x4 par famille lorsqu’on vit en plein centre ville.

- Que les travaux de l’astrophysicien Jacques Laskar ont montré que la présence de la Lune avait stabilisé l’axe de rotation de notre planète et l’avait empêché de basculer ou même de s’incliner exagérément, même s'il est impossible de garantir qu’il en sera toujours ainsi dans l’avenir puisque la Lune s’éloigne peu à peu de nous. Mais ça n’a de toute façon rien d’imminent.

- Que les seuls pôles qui s'inversent régulièrement sur notre planète sont ceux de son champ magnétique, ce qui n’a bien sûr rien à voir avec ses pôles géographiques, et que cette inversion de polarité est tout simplement sans danger, comme il est expliqué ici.

- Que les grenouilles ont des cuisses superbes que j’apprécie volontiers à l’occasion, mais qu’elles feraient bien de se muscler un peu plus le cerveau, ça leur éviterait de gober le premier chiffon rouge qu’on leur agite sous le nez.

SourcesCidehome

Posté par Adriana Evangelizt 

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2 décembre 2008 2 02 /12 /décembre /2008 09:55

Le scientifique dont il est question dans cet article est justement dans les videos sur l'inversion des pôles. Il est en contradiction totale avec un autre scientifique qui lui dit qu'on y est en plein dedans et que l'on ne connait pas avec certitude ses effets sur notre planète puisque personne n'en a été témoin jusqu'à présent.




Souvent champ magnétique varie...


traduction de Didier Jamet


Le champ magnétique de notre planète est-il en train de s’effondrer, prélude à une inversion de ses pôles ? Rien n’est moins sûr si l’on en croit les chercheurs associés aux travaux de la Nasa, pour lesquels le champ magnétique de notre planète est en constante évolution. On commence en effet à comprendre comment il se comporte, et pourquoi.

A intervalle régulier de quelques années, Larry Newitt, du bureau de recherche géologique du Canada, part à la chasse. Il enfile ses gants par dessus sa parka, emporte une boussole sophistiquée, puis saute dans un avion qui s’envole pour l’arctique canadien. La faune ne pullule pas sur la mer de glace parsemée d’îlots, mais pourtant la proie de Newitt est bien là, ses déplacements continuels la rendant insaisissable.

Quel est ce gibier d’un genre un peu particulier ? Le pôle magnétique nord de notre planète.

A l’heure actuelle, il se situe au nord du Canada, à peu près à 600 km de la zone habitée la plus proche, Resolute Bay, hameau fort de 300 âmes, où un T-Shirt fait fureur : « Resolute Bay n’est pas tout à fait le bout du monde, mais c’est le meilleur endroit pour l’observer ».

Newitt a l’habitude de s’y arrêter pour ravitailler, et y trouve refuge quand le temps devient trop mauvais. « Ce qui veut dire « souvent » plaisante-t-il ».

Un pôle à la dérive

Les scientifiques savent depuis longtemps que le pôle magnétique se déplace. L’explorateur James Ross a déterminé la position du pôle pour la première fois en 1831, au terme d’un épuisant périple durant lequel son navire se retrouva prisonnier des glaces pendant quatre ans. Personne ne s’avisa d’y retourner avant le siècle suivant. Ce n’est qu’en 1904 que Roald Amundsen redécouvrit le pôle, constatant alors qu’il s’était entre temps déplacé de quelque 50 km.

Il continua son bonhomme de chemin en direction du nord géographique tout au long du 20E siècle à la vitesse moyenne de 10 km par an, accélérant sur la fin jusqu’à 40 km par an. S’il continue à ce rythme, le pôle magnétique nord quittera l’Amérique du nord et atteindra la Sibérie d’ici quelques décennies.

La mission de Newitt consiste à suivre pas à pas la piste du pôle nord magnétique. « Jusque là nous partions à sa recherche tous les dix ans, mais il se déplace si rapidement en ce moment qu’il va nous falloir accélérer le rythme. »

Un catastrophisme déplacé

Le champ magnétique terrestre ne change pas que de position. L’aiguille d’une boussole située par exemple en Afrique dérive d’environ un degré par décennie. Et au niveau mondial, le champ magnétique terrestre s’est affaiblie de 10% depuis le 19E siècle. Lorsqu’il a été fait état de ces données à un récent congrès de l’Union Géophysique Américaine, certains journaux ont titré : « Le champ magnétique terrestre est-il en train de s’effondrer ? »

C’est probablement excessif. Aussi spectaculaire que puisse paraître ce changement, « il est assez modeste à côté de ce que le champ magnétique terrestre a déjà connu par le passé » recadre Gary Glatzmaier, professeur à l’Université de Californie.

Parfois le champ s’inverse complètement. Le Nord et le Sud magnétique inversent leur place. De telles inversions, qui ont laissé des traces dans le magnétisme de roches très anciennes, sont parfaitement imprévisibles. Elles se produisent à intervalle irrégulier, même si une moyenne de 300 000 ans semble séparer deux inversions. La dernière se serait produite il y a 780 000 années de cela. La prochaine serait elle en train d’arriver avec beaucoup de retard ? Personne ne le sait avec exactitude.

Pour sa part, Glatzmaier pense que la baisse constatée de 10% en deux siècles ne signifie pas que l’inversion de pôles est imminente. « L’intensité du champ varie en plus ou en moins en permanence. Nous le savons grâce à l’étude du magnétisme fossile. Le champ magnétique actuel est en réalité beaucoup plus fort que ce qu’il fut en moyenne au cours des âges. »

Le moment du dipôle, qui donne une mesure de l’intensité du champ magnétique, est à l’heure actuelle de 8 x 10E22 ampères par mètre carré, soit très exactement deux fois supérieur à l’intensité moyenne du champ sur le dernier million d’années.

Afin de comprendre ce qui se passe, Glatzmaier nous recommande de faire un voyage par la pensée vers… le cœur de notre planète, là où le champ magnétique est généré.

Sources : Cedehom

Posté par Adriana Evangelizt

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2 décembre 2008 2 02 /12 /décembre /2008 09:52

Il importe de faire TRES attention avec les découvertes archéologiques en Israël. Nous suivons, nous, Israël Finkelstein qui est un grand archéologue digne de foi. Et s'il dit d'attendre pour conclure c'est qu'il a ses raisons. Le problème qui se pose est que les archéologues diligentés par le Sionisme sis à Washington veulent à tout prix trouver des preuves que David et Salomon ont bien existé. Dans l'immédiat, on n'a rien trouvé allant dans ce sens, pas le moindre vestige, pas la moindre trace ou inscription prouvant ce fait et mieux, aucun pays de l'époque dans ses narrations n'évoque ces pseudos grands rois, pas même l'Egypte qui a pourtant envahi le pays pendant des centaines d'années. Pour nous, il est clair que derrière David et Salomon se cachent d'autres personnages ayant vécu dans d'autres pays. Il en est de même pour "Moïse" dont le nom camoufle aussi quelque chose. Ainsi, il y a de nombreuses similitudes entre lui et Akhenaton. J'ai trouvé un reportage justement que je vais bientôt poser qui peut faire penser que tout a commencé à Tell el Armana. Nous l'avons visionné à plusieurs et certains épisodes retrouvés dans l'Ancien Testament notamment à l'épisode Exode nous laissent très perplexes. L'exode pour les descendants d'Abraham pourrait bien avoir été le départ d'Amenophis IV avec sa cour de religieux lévites et ses esclaves et ouvriers de Thèbes jusqu'au site qu'il s'était choisi. Il y avait une distance de 400 km. Ensuite, la profusion des tables de sacrifices qui se comptent par centaines trouvent leur similitude renforcée par la demande des offrandes aux israélites dans le "désert". Autre étrange "coïncidence", la violence avec laquelle furent détruites les "idoles" des prêtres et temples d'Amon et les ordres de "dieu" donné à Moïse de détruire les idoles des autres peuples. Et enfin, il a été retrouvé des centaines de squelettes "d'ouvriers" morts très très jeunes, de 11 à 17 ans- avec de fortes caractéristiques d'anémie. Ce qui laisse supposer que cela pourrait être nos "Ancêtres" vraiment réduit en esclavage par une clique de prêtres qui ne pensaient qu'à s'enrichir et à tuer les "esclaves" au travail. La question qui nous est venu à l'esprit est "le Temple de Salomon ne serait-il pas celui d'Akhenaton". On sent dans l'Ancien Testament comme une nostalgie de la part de ceux qui l'ont écrit. La nostalgie d'un luxe et d'une gloire qui fut connu par leurs Ancêtres. Seuls ceux qui se sont transmis la tradition "orale" connaissent la vérité. Mais derrière ce qu'ils ont écrit pour "perpétuer quelque chose" se cache autre chose.  De surcroît la mort mystérieuse d'Akhenaton et celle de Moïse offrent aussi quelques similitudes. Il a, de toute façon, été assassiné et les prêtres d'Aton ont été obligés de s'enfuir lorsque le clergé d'Amon a repris le dessus. Où sont-ils allés ? Beaucoup de questions peuvent trouver une réponse dans l'absence de preuves et d'éléments en ce qui concerne David et Salomon. Et tout nous ramène à Akhenaton dont la ville située dans le désert n'a pas encore livré tous ses Mystères...



Une inscription remontant à trois millénaires découverte en Israël


Des archéologues israéliens annoncent avoir découvert à l'ouest de Jérusalem une inscription rarissime remontant à trois millénaires, sur le site d'une forteresse située à la frontière du royaume de Judée.

 

L'inscription en cinq lignes, très difficiles à déchiffrer, est écrite sur une poterie en proto-cananéen, la langue qui servait aussi bien aux Hébreux qu'aux Philistins et autres peuples de la région.

 

Elle a été découverte cet été, lors des fouilles du site de la forteresse antique d'Elah, située à une quarantaine de kilomètres à l'ouest de Jérusalem dans la vallée d'Elah, où selon le récit biblique David a combattu Goliath.

 

Le professeur Yosef Garfinkel, de l'université hébraïque de Jérusalem, responsable de la fouille, a annoncé dans un communiqué que la datation au carbone 14 avait permis de faire remonter cette inscription au Xème siècle avant JC, soit 1.000 ans avant les rouleaux de la mer Morte.

 

Selon lui, la forteresse était un avant-poste du royaume de Judée et le texte en hébreu ancien.

 

L'archéologue réputé Israël Finkelstein, auteur du best-seller La Bible dévoilée, estime cependant qu'il est prématuré de tirer de telles conclusions. «Il s'agit sans nul doute d'une importante découverte. Mais il faut noter qu'on a trouvé dans la même région des inscriptions philistines de même type, de sorte qu'il faut attendre que le texte soit décrypté pour en déduire l'origine

Sources AFP

Posté par Adriana Evangelizt

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8 novembre 2008 6 08 /11 /novembre /2008 11:12

En parlant de l'empreinte écologique de la planète, c'est  là que prend tout son sens le "Vous serez jugés à vos oeuvres...". Et le "Dieu" qui nous parle n'est pas perché sur des nuages mais, comme disait Yeshoua "Il est au milieu de vous... ici et maintenant." et on peut même dire que 99,9 pour cent de l'Humanité y marche dessus sans s'en rendre compte. On ne parlera même pas de ceux qui, juchés au sommet du monde,  plantent leur nez dans la Bible avant d'ordonner d'envahir un pays ou donnent des ordres pour piller encore et toujours du pétrole en Alaska ou ailleurs. On voit ce que ceux-là font de leur croyance en Celui qu'ils ont nommé Christ. Mais qui se nomme tout simplement Yeshoua.

Ici et maintenant
. Les mots sont clairs comme de l'eau de roche. Même Moïse n'a jamais parlé d'un autre monde lorsqu'il racontait l'Histoire de la Terre qui lui avait été transmise par d'autres traditions. Mais sur des faits réels ont été bâties des histoires à dormir debout par les religieux. Total et bénéfice, au lieu de prendre soin de la Terre, bien réelle elle, les crédules se sont mis à imaginer un royaume hypothétique avec un Paradis digne d'Hollywood et  la non moins éblouissante Jérusalem Céleste où serait perché un Messie fantasmagorique. Je dis aux croyants, la descente va être rude. Réveillez-vous, il vous reste trois ans. Trois ans pour mettre en pratique quelques commandements dont le "Aime ton prochain comme toi-même..." notamment en cette période de crise où le malheur ne manque pas. Le "Jugement Dernier" correspond à la Grande Catastrophe que nous prépare notre Mère la Terre...

Soyez sur vos gardes: je vous ai tout annoncé d'avance... Marc ch 13 v 23

Il y aura de grands tremblements de terre, et, en divers lieux, des pestes et des famines; il y aura des phénomènes terribles, et de grands signes dans le ciel. Luc ch 21 v 11


Puis il me dit: Je vais t'apprendre, ce qui arrivera au terme de la colère, car il y a un temps marqué pour la fin. Daniel ch 8 v 19

Il y a même fort à craindre que la chose arrivera très vite et que nul n'aura le temps de sauver quoique ce soit... et que ceci est déjà arrivé mais en moins pire... pensons aux centrales nucléaires... 
  

C'est pourquoi, lorsque vous verrez l'abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, établie en lieu saint, -que celui qui lit fasse attention! -

alors, que ceux qui seront en Judée
fuient dans les montagnes;

que celui qui sera sur le toit
ne descende pas pour prendre ce qui est dans sa maison;
et que celui qui sera dans les champs
ne retourne pas en arrière pour prendre son manteau.

Malheur aux femmes qui seront enceintes et à celles qui allaiteront en ces jours-là!
...
Car alors, la détresse sera si grande qu'il n'y en
a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu'à présent, et qu'il n'y en aura jamais. Mathieu 24 v 15 à 21

Je suis en train de répertorier dans la Bible tous les prophètes qui ont parlé de cette catastrophe, c'est impressionnant. Même Amos. Or, les prophètes israélites avaient eu dans leurs mains les tablettes sumériennes. Donc ils savaient. Et avant eux, Moîse savait... seulement, beaucoup de faux prophètes sont venus et ont raconté n'importe quoi. Les scribes et les religieux ont fait le reste.

Adriana Evangelizt

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8 novembre 2008 6 08 /11 /novembre /2008 10:59




L'empreinte écologique de l'humanité reste largement supérieure à la capacité biologique de la planète


Dans la dernière version de son rapport Planète vivante, le WWF revoit à la hausse ses estimations concernant l'évolution de l'empreinte écologique de l'humanité et prévoit que d'ici 2030, deux planètes seront nécessaires pour assurer ses besoins.

La dernière édition du rapport Planète vivante publié tous les deux ans par le Fonds mondial pour la nature (WWF), fait à nouveau une description inquiétante de l'état de la planète et surtout des impacts des activités humaines (empreinte écologique). Le rapport démontre que la consommation de ressources naturelles est plus intense et plus rapide que la capacité de la planète à les reconstituer (biocapacité). La demande de l'humanité en ressources dépasserait maintenant la capacité de régénération de la planète d'environ 30%.

Trois-quarts de la population mondiale vit dans un pays écologiquement débiteur

Cette tendance à la hausse de l'empreinte écologique globale s'observe dans la plupart des pays de l'OCDE. À l'échelle d'un pays, l'empreinte écologique mesure la surface biologiquement productive de terre et de mer nécessaire pour fournir les ressources consommées par le pays et absorber les déchets qu'il produit. Les Emirats Arabes Unis, les Etats-Unis d'Amérique, le Kowéit, le Danemark et l'Australie sont les pays dont l'empreinte écologique par habitants est la plus élevée. Certains de ces pays ont toutefois une biocapacité nationale importante qui ne les place pas parmi les états les plus critiques. C'est le cas des Etats-Unis et de l'Australie qui avec le Brésil, la Chine, l'Inde, le Canada et l'Argentine représentent plus de la moitié de la biocapacité de la planète.
À l'inverse le Bangladesh, le Congo, Haïti, l'Afghanistan et le Malawi sont les pays ayant le moins d'impacts et seuls les pays de l'Europe non membres de l'UE, l'Afrique et l'Amérique latine respectent leur biocapacité.

Selon le rapport du WWF, les pays d'Europe occidentale sont quant à eux tous des pays « débiteurs » et certains ont une empreinte écologique de 150% supérieurs à leur biocapacité : c'est le cas de la Grèce, du Royaume-Uni, de l'Italie ou encore de l'Espagne. L'Allemagne est dans une situation similaire mais son empreinte écologique diminue de manière régulière depuis le début des années 80.

L'empreinte écologique de la France excède de 62 % sa biocapacité

Concernant la France, si la situation est moins critique que pour ses voisins européens, le rapport du WWF révèle que le pays a augmenté son empreinte écologique de 85% entre 1961 et 2005. Cette hausse s'expliquerait par l'augmentation de l'empreinte carbone et de l'empreinte des terrains bâtis. Autrement dit la surface nécessaire pour absorber les émissions de CO2 du pays et celle occupée par les bâtiments et les routes a fortement augmenté depuis 1961. En 2005, chaque Français utilisait les ressources provenant de 4,9 hectares de terre et de mer. Mais ces ressources sont limitées et dans le cas de la France, la biocapacité du pays est estimée à 3 ha par personne. Résultat, l'empreinte écologique de la France excède de 62 % sa biocapacité et ce malgré la prise en compte des forêts de Guyane française !
Toutefois, depuis 1980 l'empreinte écologique du pays a tendance à se stabiliser alors que le PIB augmente toujours.

Une urgence planétaire

"Si nos demandes se maintiennent à la même cadence, nous aurons besoin, vers le milieu des années 2030, de l'équivalent de deux planètes pour maintenir notre mode de vie" - James P.Leape

Pour le WWF, il est donc plus qu'urgent d'inverser la tendance : si nos demandes se maintiennent à la même cadence, nous aurons besoin, vers le milieu des années 2030, de l'équivalent de deux planètes pour maintenir notre mode de vie, annonce James P.Leape, Directeur général du WWF International. Cette estimation est donc plus inquiétante que celle annoncée dans l'édition 2006 où il était question de deux planètes d'ici 2050.
Selon le WWF, différentes stratégies sont possibles pour réduire l'écart entre la demande de l'homme sur la nature et l'offre de celle-ci : efficacité énergétique et économies d'énergie dans l'industrie et le bâtiment, limitation de l'usage des véhicules, développement des énergies renouvelables…

Si rien n'est fait, le WWF s'attend à une crise majeure : la consommation inconsidérée épuise le capital naturel mondial à un point tel que nous mettons en danger notre prospérité future, explique James P.Leape Directeur général du WWF International. Pour appuyer son analyse, l'association fait un parallèle avec la crise financière et économique actuelle : nous sommes en train d'agir écologiquement de la même façon que les institutions financières se sont comportées économiquement, cherchant la satisfaction immédiate sans prendre en compte les conséquences, estime Jonathan Loh de la Société Zoologique de Londres (ZSL), partenaire pour l'élaboration du rapport. Seulement les conséquences d'une crise écologique seront bien plus graves que l'actuelle crise économique, prévient-il.

F.ROUSSEL

Télécharger le rapport Planète Vivante 2008

Sources :Actu-Environnement




Environnement: Crise écologique en vue


 
L'empreinte écologique de l'humanité, c'est-à-dire sa consommation de ressources naturelles, dépasse maintenant de 30 % les capacités de la planète à se régénérer, montre le rapport Planète vivante 2008.

La crise économique actuelle montre que l'humanité vit au-delà de ses moyens financiers.

Cette récession mondiale qui plane ne serait rien en comparaison de la menace d'un resserrement du crédit écologique, montre l'édition 2008 du rapport Planète vivante publiée par le Fonds mondial pour la nature (WWF).

En fait, l'humanité vivrait au-dessus de ses moyens, point.

Le document montre que la consommation planétaire de ressources naturelles excède désormais de 30 % les capacités de la planète à se régénérer.

La pression qu'elle exerce sur la planète a plus que doublé au cours des 45 dernières années en raison de la croissance démographique et de l'augmentation de la consommation individuelle, note le rapport.

Cette surexploitation vide les écosystèmes, et les déchets s'accumulent dans l'air, la terre et l'eau.

Les auteurs du rapport notent donc que le monde fait plus que jamais face à une consommation effrénée du capital naturel mondial. Selon eux, la consommation excessive de l'homme épuise les ressources naturelles à un point tel qu'il met en danger son propre avenir.

Sources
Radio Canada

Posté par Adriana Evangelizt

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8 novembre 2008 6 08 /11 /novembre /2008 10:50


Au Kenya, les inondations provoquent des affrontements claniques


IRIN (ONU), 24 octobre 2008


« La recrudescence de l’insécurité à Mandera, une région du nord-est du Kenya, a paralysé les transports et entraîné l’imposition d’un couvre-feu, aggravant la situation pour les habitants, déjà touchés par des inondations et de graves pénuries alimentaires. » Le changement climatique pourrait provoquer des conflits, nous a-t-on averti. Dans les régions les plus pauvres de la planéte, ce futur est déjà un présent. Pour des populations en situation de perpétuelle insécurité alimentaire, les dérèglements météorologiques deviennent une cause immédiate d’affrontements.

La recrudescence de l’insécurité à Mandera, une région du nord-est du Kenya, a paralysé les transports et entraîné l’imposition d’un couvre-feu, aggravant la situation pour les habitants, déjà touchés par des inondations et de graves pénuries alimentaires.

« La situation va de mal en pis et un couvre-feu a été imposé », a déclaré à IRIN Titus Mung’ou, chargé de communication de la Croix-Rouge kényane, le 22 octobre.

Au moins trois personnes ont également trouvé la mort, 300 personnes ont été déplacées et une trentaine de maisons ont été incendiées le 21 octobre dans le village voisin de Koromey, au cours d’attaques menées par des pilleurs armés. Koromey se situe à cinq kilomètres de la ville de Mandera.

Les échauffourées opposaient le clan des Garre à celui des Murule, qui par le passé se sont disputés l’exploitation de points d’eau pour l’abreuvement de leur bétail. Le 16 octobre, les clans se sont affrontés au sujet de terres sur lesquelles des habitants, déplacés par les inondations en ville, s’étaient installés temporairement.

Environ 13 habitants de Koromey étaient portés disparus le soir du 22 octobre, selon la Croix-Rouge.

« Les dernières victimes des affrontements claniques ont besoin d’urgence de vivres et de denrées non-alimentaires, notamment d’un lieu d’hébergement », selon un communiqué publié par l’organisme le 23 octobre. « La Croix-Rouge kényane travaille avec le gouvernement et d’autres ONG pour porter secours aux personnes déplacées par les crues éclairs et les récents affrontements claniques. L’assistance humanitaire est en cours, après avoir été interrompue par les affrontements ».

Une grave pénurie alimentaire et une augmentation spectaculaire des prix ont été signalées dans la ville frontalière depuis que les trois seules sociétés de transport desservant la région ont suspendu leurs activités pour des raisons de sécurité.

Mandera, qui souffre d’insécurité alimentaire, dépend en effet des vivres acheminés depuis d’autres régions du pays et depuis les zones frontalières. La ville est limitrophe de l’Ethiopie et de la Somalie.

Amina Shekh Abdullahi, commerçante de produits alimentaires locale, a expliqué à IRIN qu’elle se trouvait bloquée à Isiolo, une ville de la province Orientale voisine, avec ses produits frais de la ferme. « J’ai peur que tous ces choux, ces pommes de terre et ces carottes, que j’ai achetés pour les vendre à Mandera, ne soient gâchés ».

Isiolo se trouve au sud-ouest de Mandera. Plusieurs centaines de passagers, qui se rendaient dans les villes voisines de Garissa et Wajir, ont également été bloqués en chemin. Un chauffeur de bus a expliqué à IRIN que plusieurs véhicules avaient été pris pour cibles et que deux passagers avaient été tués.

Le gouvernement a imposé un couvre-feu interdisant la circulation et les activités commerciales dans la ville, après le meurtre d’au moins 20 personnes, au cours de ce dernier mois.

Publication originale IRIN

Sources Contre Info

Posté par Adriana Evangelizt

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